Ce que j'aimerais lui dire...

[lualdi]

J'aimerais lui demander ce qu'elle fait cette année, vu que logiquement elle a eu son bac en juillet dernier. J'aimerais lui dire qu'elle me manque, qu'une amie comme elle y en a pas deux sur Terre et qu'on continue de penser à elle malgré les années qui passent. J'aimerais lui demander aussi si elle pense à nous des fois, si on lui manque...

Bref, ce genre de choses qu'on se pose quand on perd une super copine pour des mauvaises raisons.

 

[olaxo]

Décide-toi. Soit je te manque vraiment et on reprend la même relation qu'avant, soit on coupe les ponts définitivement mais ne m'envoie pas un sms si c'est pour ne pas répondre ensuite.

 

[Nééra]

A mon "mec" : il faudrait peut-être que tu te décides sur ce que tu veux vivre avec moi. Et je suivrais. Je suivrais parce que je m'en fous en fait. Ca fait un mois maintenant et je m'en fous, j'ai juste envie de vivre donc de vivre n'importe quoi. Mais il faudra en accepter les conséquences. Je ne sais que je ne serais jamais amoureuse de toi. Je sais que je ne pourrais jamais être totalement fidèle, physiquement oui peut-être mais mentalement ? Désolée pour tout ça ...

A mon voisin : tu as très bien compris mon texto de la dernière fois. Tu ne pouvais pas ne pas comprendre la question mais tu l'as esquivé. Alors cette fois je te demande : pourquoi as-tu esquivé cette question ? Je ne veux plus de toi maintenant, tu étais simplement un défi pendant que je m'ennuyais. Maintenant je veux juste une réponse claire à ma question pour tout mettre derrière moi.

 

[Cygnus]

C'était bien, avec vous. Comme à chaque fois.
Vous m'apaisez.
Il me tarde de vous revoir

 

[YEP]

Je ne veux pas que tu t'en ailles..

 

[marion##]

Reviens. Je t'aimais bien.

 

[olaxo]

Tu n'aurais pas dû revenir tu sais, surtout si c'est pour disparaitre en fin de chapitre. Je n'avais pas besoin de toi, je n'ai toujours pas besoin de toi, je t'ai beaucoup apprécié, mais c'est fini. Tout est derrière moi, toi y compris.

 

[Blodeuwez]

Tu es la personne la plus abjecte qui m'ait été donnée de rencontrer. Le pire c'est que tu ne t'en rends pas compte.

Un jour tu m'as dit "Je ne comprends pas, je n'arrive pas à garder mes ami(e)s, ils finissent tous par me lâcher", maintenant je comprends pourquoi... Il est peut être temps d'une petite remise en question.

Edit : Et en plus tu n'assume même pas tes dires (bitch) !

 

[bubblegom]

Tu me manques.

 

[N.Y.C.Baby]

Je ne t'oublie pas. Loin de là.
Je pense à toi, tous les jours.

 

[Mamzelle_drey]

Mon coeur se serre chaque début de semaine quand tu viens me faire un dernier bisous au lit tôt le matin avant que tu ne partes à l'aéroport. Certes tu ne pars que 3 à 5 jours à chaque fois, mais le vide est immense

 

[Mademoiselle_Patate]

Je sais pas où poster, j'ai hésité entre ici et le mur des lamentations, mais bon j'ai beau écrire à la deuxième personne du pluriel, t'es le seul visé dans ma tête. Alors voilà.

"Faut arrêter de mentir. Faut arrêter de prendre les gens pour des cons. On fait pas de promesses quand on n’a pas l’intention de les tenir. Vos « promis ! » , « j’te jure ! » et autres daubes, j’en ai plus rien à foutre. Parce que moi j’y ai cru putain, à vos conneries. J’vous croyais. J’croyais vos mots, j’croyais en vous. Mais non, merde non. Vous aviez pas le droit de faire ça. Bordel c’est pas compliqué, quand on a rien à dire, on ferme sa gueule. On balance pas des « tu me manques » pour faire croire aux gens qu’ils ont de l’importance alors qu’on s’en touche jusqu’au coude. Non. On dit pas aux gens qu’on les aime alors qu’on leur parle que pour ne pas devoir bouffer tout seul comme un clochard. Non, non, NON. J’vous enmerde, tous. Vous tous qui m’avez fait croire que vous étiez des gens bien qui méritaient que je les attende, qui avez utilisé des mots sans que leur importance et leur signification n’effleure vos neurones. Vous comprenez pas hein ? Ouais bah moi non plus j’ai rien compris. Quand j’ai fait la pigeonne à croire vos belles paroles, à me dire que j’avais rencontré des personnes qui pouvaient en valoir la peine, à attendre, encore et encore, indéfiniment qu’elles me prouvent que j’avais raison d’y croire, pour me rendre compte qu’elles ont dit que de la merde, et que je valais rien à leurs yeux. C’est dégueulasse de me faire rire à en pleurer, de me promettre qu’on recommencera, de faillir à vos mots, et de rire quand je pleure. Sans même savoir que je pleure. Vous ne pouvez pas savoir, puisque vous ne voulez pas savoir. J’vous déteste d’avoir pu me faire croire que je pouvais vous aimer. Vous êtes tous des cons. Allez vous faire mettre. Putain que j’ai la haine. J’suis en pleure à cause de vos mots, ceux que vous avez oublié 2 secondes après les avoir prononcés, et que j’ai chéri comme la prunelle de mes yeux. Je suis dans un état pittoyable là, devant mon clavier, à ressasser nos conversations, les messages, les lettres, les embrassades, et pire que tout : les promesses. Promis, je t’appelle ! Promis, on se voit la semaine prochaine ! Promis, je reviendrais te voir ! Promis, je te raconterai ! Promis que dalle ouais, vos promis c’est de la merde, c’est des mots que vous rajoutez pour faire joli. Vous promettez rien du tout. Vous rajoutez des mots comme ça vient, ça décore c’est mignon. Et mes larmes, elles décorent bien ma face, mes larmes ? J’suis blessée. J’suis en colère. J’vous en veux. J’ai la haine d’avoir pu être aussi naïve. Vous me faites gerber. "

Et ça, pour se mettre dans l'ambiance.
Cry - Jason Walker - YouTube

En vérité, ej t'en veux pas tant que ça, parce que je me doutais de ce qui allait arriver. La preuve c'est que la première fois que tu m'as promis qu'on se reverrait, je t'ai ri au nez. J't'ai pas cru, après ce qu'il venait de m'arriver, j'avais pas le coeur à croire qui que ce soit. T'étais bien gentil, tu m'as changé les idées pendant une semaine, et c'était pas gagné d'avance. Ca fait un mois ce soir que t'as pris mon numéro. J'me repasse la soirée en boucle. Demain ça sera pire, parce que ça fera un mois que j'ai passé ma plus belle soirée de l'été. J'imagine déjà mes grosses traces de mascaras en plein milieu de mon faciès. Mais la question n'est pas là. La question, c'est que malgré tout, j'ai finir par te croire, quand tu me disais que tu voulais qu'on se revoit, que tu m'appellerai vite, que je te manquais. Ca fait plus d'une semaine que tu m'as pas donné de nouvelles, alors j'ai plutôt l'impression que j'aurais du rester sur mes positions et continuer de croire qu'on était fini le jour où mes vacances se sont finies aussi. Mais non, j'ai fait ma débile, j'me suis dit que y'avait moyen de moyenner, et j'ai encore fait ma pigeonne à attendre pour rien. J'le savais, j'le sentais, pourtant. Finalement c'est peut être que de ma faute. N'empêche qu'entre toi et l'autre qui m'a trucidé le coeur et démoli le cerveau quelques semaines plus tôt, vous êtes bien gentils mais je suis au bout du rouleau là. J'en ai marre de tomber sur des cons. Enfin non, j'en ai marre de tomber pour des cons. Enfin toi t'es pas vraiment con, t'es juste pas doué avec les mots, ou pas doué avec moi. Je sais pas trop. Mais bref. J'ai plus de mouchoirs.


En vrai, j'ai écrit ça hier vers une heure et demi du mat’, mais mon réseau a bugué, alors je le poste maintenant. Parce qu'il fallait que je le poste quand même, fallait que ça sorte.