Si finalement je t’écris, c’est que je n’ai pas su te dire les choses au moment où il fallait les dire.
Je ne cherche pas par cette lettre à te faire part de mes états d’âme même si je vais devoir en parler beaucoup pour que tu comprennes.
Voilà ; je ne me résous pas à l’idée que nous puissions faire tout simplement comme si l’autre n’existait pas. Parce que pour moi tu existes. Et peut-être même un peu trop. Et je pense que c’est dans ce trop que subsiste le désaccord, le quiproquo, ou je ne sais quel autre terme qui pourrait illustrer l’état total d’incompréhension qui s’est installé entre nous deux.
Episode I ; Il faut que tu comprennes, ou plutôt que tu saches, que tu m’as toujours fasciné et que tu me fascines toujours autant .Quand tu es là, j’ai souvent l’impression d’être une petite fille et de courir après une réciprocité ou une reconnaissance illusoire. J’aimerai pouvoir réduire cette « attraction » par un « je suis amoureuse de toi » mais ce que je ressens n’est pas dans la même sphère, même si il y a de ça dans ce que je tente de t’exprimer. Il est inutile d’enfoncer des portes ouvertes.
Episode II ; tu me terrifies. Depuis longtemps, bien avant que tout ce malaise s’installe, même si je savais passer outre autrefois. Voilà aussi ce qui me pousse à t’écrire. Cela fait quelques semaines que je suis terrorisée à l’idée même de te croiser ou de devoir t’adresser la parole. Parce que je ne saurais pas quoi te dire. Je n’ai plus vraiment grand-chose à te dire d’ailleurs. Un coin de mon esprit (celui qui aspire à la tranquillité) espère d’ailleurs que cette lettre sera la dernière pensée que je t’adresserai.
Tout cela m’éreinte le cœur beaucoup plus que ça ne le devrait.
Il ne se passe pas une heure sans que je ne pense à toi.
Mais
je ne veux pas faire fleurir des rancunes imaginaires aussi longtemps.
Je ne te demande rien en retour, mes sentiments sont les miens et j’accepte ton choix de ne pas les partager, de ne pas vouloir me faire une place dans ta vie. s’il te plait épargne-moi ton mépris .et je ferais de même.
Voilà
C’est tout.
Je ne cherche pas par cette lettre à te faire part de mes états d’âme même si je vais devoir en parler beaucoup pour que tu comprennes.
Voilà ; je ne me résous pas à l’idée que nous puissions faire tout simplement comme si l’autre n’existait pas. Parce que pour moi tu existes. Et peut-être même un peu trop. Et je pense que c’est dans ce trop que subsiste le désaccord, le quiproquo, ou je ne sais quel autre terme qui pourrait illustrer l’état total d’incompréhension qui s’est installé entre nous deux.
Episode I ; Il faut que tu comprennes, ou plutôt que tu saches, que tu m’as toujours fasciné et que tu me fascines toujours autant .Quand tu es là, j’ai souvent l’impression d’être une petite fille et de courir après une réciprocité ou une reconnaissance illusoire. J’aimerai pouvoir réduire cette « attraction » par un « je suis amoureuse de toi » mais ce que je ressens n’est pas dans la même sphère, même si il y a de ça dans ce que je tente de t’exprimer. Il est inutile d’enfoncer des portes ouvertes.
Episode II ; tu me terrifies. Depuis longtemps, bien avant que tout ce malaise s’installe, même si je savais passer outre autrefois. Voilà aussi ce qui me pousse à t’écrire. Cela fait quelques semaines que je suis terrorisée à l’idée même de te croiser ou de devoir t’adresser la parole. Parce que je ne saurais pas quoi te dire. Je n’ai plus vraiment grand-chose à te dire d’ailleurs. Un coin de mon esprit (celui qui aspire à la tranquillité) espère d’ailleurs que cette lettre sera la dernière pensée que je t’adresserai.
Tout cela m’éreinte le cœur beaucoup plus que ça ne le devrait.
Il ne se passe pas une heure sans que je ne pense à toi.
Mais
je ne veux pas faire fleurir des rancunes imaginaires aussi longtemps.
Je ne te demande rien en retour, mes sentiments sont les miens et j’accepte ton choix de ne pas les partager, de ne pas vouloir me faire une place dans ta vie. s’il te plait épargne-moi ton mépris .et je ferais de même.
Voilà
C’est tout.
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