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Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
Tu sais que je me suis retrouvée dans cet état là à cause de toi. Tu m'as conditionnée pour que je te vienne en aide, alors que je voulais rester en dehors de ça, mais je me suis impliquée parce que je pensais que je pouvais faire la différence.
Je ne te demande pas de me comprendre parce que ta peine est au delà de ce qu'on peut imaginer, mais tu n'as pas cherché à te mettre à ma place. Et j'aime pas tes remarques sur ma réaction. Tu voulais simplement que je rende service et je ne t'en tiens pas rigueur, j'aurais aimé que tu gardes tes remarques pour toi c'est tout.
On peut pas dire que tu as été complètement honnête avec moi, tu as fais ton choix.
Je ne te demande pas de me comprendre parce que ta peine est au delà de ce qu'on peut imaginer, mais tu n'as pas cherché à te mettre à ma place. Et j'aime pas tes remarques sur ma réaction. Tu voulais simplement que je rende service et je ne t'en tiens pas rigueur, j'aurais aimé que tu gardes tes remarques pour toi c'est tout.
On peut pas dire que tu as été complètement honnête avec moi, tu as fais ton choix.
J'ai été malade pendant toute la semaine presque, je sais que c'est ta faute, j'ai été angoissée toute la semaine. J'ai pas réussi a dormir pendant trois nuits. J'étais à bout de nerfs, j'avais envie de pleurer, la moindre secousse était insupportable. Le seul à comprendre que j'étais mal, je pouvais même pas lui en parler parce que la cause de mon mal être c'était toi.
Je sais que tu n'es pas le seul en cause, je sais que je suis au fond du trou en ce moment, mais tu es venu te greffer à tous mes soucis et ça à déborder.
Je ne veux plus t'aimer, je voudrais que tu rentres à Paris et que tu disparais, je veux plus que tu m'écrives, tu me fais le même coup à chaque fois, tu me fais espérer et tu ne me donnes rien. Je ne sais pas si tu joues avec moi, et j'en suis arrivé à un point où je crois que je m'en fous. J'ai envie de te haïr de tout mon être. Je veux qu'à chaque fois que ton image me viennes en tête, je ressentes du dégoût. Tu me donnes envie de vomir. Tu es un poison, je ne dois pas me laisser mourir.
Un jour, je serais guérie, mais putain, qu'est ce que c'est long.
Je sais que tu n'es pas le seul en cause, je sais que je suis au fond du trou en ce moment, mais tu es venu te greffer à tous mes soucis et ça à déborder.
Je ne veux plus t'aimer, je voudrais que tu rentres à Paris et que tu disparais, je veux plus que tu m'écrives, tu me fais le même coup à chaque fois, tu me fais espérer et tu ne me donnes rien. Je ne sais pas si tu joues avec moi, et j'en suis arrivé à un point où je crois que je m'en fous. J'ai envie de te haïr de tout mon être. Je veux qu'à chaque fois que ton image me viennes en tête, je ressentes du dégoût. Tu me donnes envie de vomir. Tu es un poison, je ne dois pas me laisser mourir.
Un jour, je serais guérie, mais putain, qu'est ce que c'est long.
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J'aimerais lui dire que je craque pour lui au point où je me retrouve aussi intimidé face à lui que lorsque j'avais 16 ans face à mon premier coup en plein cœur, que ses dents du bonheur me font fondre, qu'il est beau, sexy, que sa voix me donne des frissons, que je pense à lui, que je rêve de lui, que j'aimerais juste être dans ses bras au moins une fois.
Que meme le foot me paraît intéressant lorsqu'il m'en parle.
Que meme le foot me paraît intéressant lorsqu'il m'en parle.
Tu m'as brisé le cœur en partant. C'était si brutal... et depuis je ne te reconnais plus. On dirait que tu n'es plus toi. Ça m'inquiète, ça me perturbe, ça me ronge... j'ai l'impression de ne t'avoir jamais connu. Et du coup j'ai du mal à m'y retrouver, j'ai du mal à comprendre ce que j'ai été pour toi, et ce que je suis maintenant.
J'ai envie de te détester, mais je suis trop triste pour laisser de la place à la colère.
J'ai envie de te détester, mais je suis trop triste pour laisser de la place à la colère.
Tu me manques tellement.
J'ai hâte de me blottir dans tes bras, de me plonger dans ton regard, de t'embrasser tendrement...
J'espère simplement que tout sera comme avant, sans distance, malgré l'espacement de nos appels.
J'ai hâte de me blottir dans tes bras, de me plonger dans ton regard, de t'embrasser tendrement...
J'espère simplement que tout sera comme avant, sans distance, malgré l'espacement de nos appels.
On peut arrêter de jouer au Roi du Silence, s'il te plait? Tu as gagné, je n'aime plus ce jeu, ça fait trop de mal à mon coeur ce sentiment d'abandon. 
Parfois, j'aimerais te revoir, j'aimerais entendre à nouveau ton rire, revoir ce sourire, écouter tes blagues, tes jeux de mots... Tu sais, quand je regarde tes photos et tes vidéos, j'ai toujours ce petit truc dans le coeur, comme si notre histoire n'était pas encore terminée. Je me demande ce que tu penses de moi ? Si tu me considères comme toutes les autres ? Ou si toi aussi, tu ressens autre chose...
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