"En cas d'échec, j'arrête la politique. Oui, c'est une certitude." Ces mots que notre président a prononcés ce week-end devant des journalistes lors de son voyage en Guyane font jaser le Tout-Paris politico-médiatique et inquiètent sérieusement ses partisans.
Car c'est bien la première fois que Nicolas Sarkozy évoque l'hypothèse de sa défaite !
Coup de blues ou coup de bluff ? les avis sont partagés.
Pour les uns, le président sortant est bel et bien affecté par les sondages qui lui sont systématiquement défavorables et par la belle entrée en campagne de François Hollande, dimanche, au Bourget.
Pour les autres, c'est une manoeuvre qui vise à montrer aux Français qu'il n'est pas obsédé par le pouvoir. Il s'agirait d'esquisser un profil de futur candidat en phase avec cette maxime que Nicolas Sarkozy répète à qui veut l'entendre : "quand on est sortant, il faut être le challenger, sinon c'est foutu!".
Quoi qu'il en soit, sa petite phrase colle le bourdon aux militants de l'Ump à tel point que les ténors du parti se sont employés aujourd'hui à remonter le moral de leurs troupes (Le Monde).
François Fillon, entre autres, s'est évertué à mobiliser les députés UMP : "le combat est commencé, il faut nous déployer et nous devons montrer que nous sommes sûrs que le combat que nous menons est un combat juste. Il faut que cela se voit sur nos visages et dans les discours que nous tenons" a-t-il dit.
Qu'en pensez-vous les madmoiZelles, blues ou bluff ? Sarkozy dépressif, c'est crédible ?
Pensez-vous qu'il a encore des chances de gagner l'élection présidentielle ?
Car c'est bien la première fois que Nicolas Sarkozy évoque l'hypothèse de sa défaite !
Coup de blues ou coup de bluff ? les avis sont partagés.
Pour les uns, le président sortant est bel et bien affecté par les sondages qui lui sont systématiquement défavorables et par la belle entrée en campagne de François Hollande, dimanche, au Bourget.
Pour les autres, c'est une manoeuvre qui vise à montrer aux Français qu'il n'est pas obsédé par le pouvoir. Il s'agirait d'esquisser un profil de futur candidat en phase avec cette maxime que Nicolas Sarkozy répète à qui veut l'entendre : "quand on est sortant, il faut être le challenger, sinon c'est foutu!".
Quoi qu'il en soit, sa petite phrase colle le bourdon aux militants de l'Ump à tel point que les ténors du parti se sont employés aujourd'hui à remonter le moral de leurs troupes (Le Monde).
François Fillon, entre autres, s'est évertué à mobiliser les députés UMP : "le combat est commencé, il faut nous déployer et nous devons montrer que nous sommes sûrs que le combat que nous menons est un combat juste. Il faut que cela se voit sur nos visages et dans les discours que nous tenons" a-t-il dit.
Qu'en pensez-vous les madmoiZelles, blues ou bluff ? Sarkozy dépressif, c'est crédible ?
Pensez-vous qu'il a encore des chances de gagner l'élection présidentielle ?