J'ai lu Dostoïevski lit Hegel en Sibérie et fond en larmes de László Földényi.
C'est un livre de mon Papa, par conséquent il traînait dans le salon. Je ne pouvais pas résister à un titre pareil et comme il fait à peine cent pages ... C'est un drôle de livre. Une espèce de réflexion sur la pensée d'Hegel à travers le prisme de la souffrance de Dostoïevski, lorsqu'il était dans les camps sibériens. L'essai met le lecteur (ici, ce cher Dosto) et ses souffrances face à la froide rationalité d'Hegel, provoquant cette perspective terrifiante qui voudrait que le désespoir de chacun disparaîtrait sans jamais être reconnu, ni d'être aucune utilité, en soi. "Nous ne sommes pas vus, seulement perçus."
Ça fait très branlade intellectuelle, vu comme ça
C'est un livre de mon Papa, par conséquent il traînait dans le salon. Je ne pouvais pas résister à un titre pareil et comme il fait à peine cent pages ... C'est un drôle de livre. Une espèce de réflexion sur la pensée d'Hegel à travers le prisme de la souffrance de Dostoïevski, lorsqu'il était dans les camps sibériens. L'essai met le lecteur (ici, ce cher Dosto) et ses souffrances face à la froide rationalité d'Hegel, provoquant cette perspective terrifiante qui voudrait que le désespoir de chacun disparaîtrait sans jamais être reconnu, ni d'être aucune utilité, en soi. "Nous ne sommes pas vus, seulement perçus."
Ça fait très branlade intellectuelle, vu comme ça