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Je me demande comment on fait en pratique si on veut aller vivre dans une région à des centaines de kilomètres de la sienne et qu'on ne connait personne sur place.
Bon déjà avec la prouesse de la technologie, je pense qu'on peut réussir à tomber sur des entreprises qui acceptent de te voir en visio et qui te font venir que si tes chances sont très solides. Mais je suppose que ça doit pas être le cas de toutes.
Allez imaginons qu'on a un poste et qu'on commence dans 1 mois.
Sachant qu'aujourd'hui, il est très difficile de trouver un appartement sans être en CDI (et que dans ce cas, beaucoup de bailleurs demandent plusieurs fiches de paie), comment on fait pour trouver un logement dans une ville dans laquelle on a pas encore commencé à bosser ?
Je sais que pour les personnes de moins de 30 ans, il y a des foyers de jeunes travailleurs mais pour les autres ? C'est hôtel jusqu'à trouver un appart ?
Est-ce que les gens cherchent d'abord un appart avant de chercher un boulot mais sans emploi comment trouve t-ils un appartement ? Surtout qu'un entretien d'embauche en visio, c'est chiant mais une visite d'appart, c'est encore plus risqué.
Par curiosité, si vous êtes concerné, ça s'est passé comment ?
Et je ne parle pas d'aller vivre à Lyon pendant sa licence pro et puis d'être allé vivre à Grenoble 3 ans après avoir trouvé son premier travail à Lyon
@Raccoon_Jesus Fut un temps, pôle emploi avait des aides financières à la mobilité pour financer en partie le déplacement pour les entretiens et/ou l'aide au déménagement. A voir si c'est toujours le cas (j'avais eu une aide pour le train pour faire un Lille paris pour un entretien d'embauche qui s'est révélé catastrophique mais bref).
Ce n'est pas exactement pareil, mais pour une reconversion d'étude, j'ai dû bouger de région rapidement. Avant la rentrée j'ai enchaîné les visites d'appart qui étaient pas dans mes critères (je dormais dans un formule 1), le temps passant la rentrée est arrivée sans que j'ai d'appart, j'ai donc passé une semaine ou 15jours dans un gîte rural avant de tomber sur un coup de bol monstrueux pour avoir mon studio. Je l'ai eu tout de suite puisque mes parents se portaient garants et en étant étudiante, j'avais l'apl d'assuré.
Pôle emploi ne propose plus d'aide au déménagement depuis plusieurs années.
Il reste simplement les aides à la mobilité dans le cadre de la recherche d'emploi (comme un entretien) ou d'une reprise d'emploi, si le contrat visé ou repris dure au moins 3 mois et que la personne est peu (31,59 euros ou moins par jour) ou pas indemnisée. Ces aides à la mobilité peuvent couvrir les déplacements, le repas et l'hébergement mais dans le cadre d'une reprise d'emploi, elles sont limitées au premier mois.
Je viens de voir qu'Action Logement proposait des logements temporaires mais je n'ai pas l'impression qu'ils aient eux aussi maintenu leur aide au déménagement (de mémoire, elle existait encore l'année dernière mais à un moment donné, l'enveloppe était vide donc il n'était plus possible de faire de demande d'aide. Je pensais que le dispositif serait renouvelé cette année mais ça n'en a pas l'air). Autant ils ont une aide au logement pour les jeunes en alternance, autant sur la question du déménagement, je n'ai pas l'impression qu'il y ait une réponse à cette question.
@Raccoon_Jesus Je suis une habituée de ce genre de choses depuis 3 ans Toujours pour des CDD, j'ai pu faire des visios pour les entretiens en 2021 et 2022, sinon je me suis déplacée soit en faisant l'aller-retour sur la journée, soit en étant hébergée la nuit avant l'entretien. Et pour les apparts... Le Bon Coin, des bons garants, un profil "qui rassure" et de la chance (même si mon ancien proprio fait le mort depuis que je suis partie et ne me rend pas la caution...).
Et je n'ai même pas demandé l'aide à la mobilité à Pôle Emploi, alors que j'aurais pu en bénéficier 2 fois cette année, c'est con ^^" J'aurais bien aimé que mon conseiller m'en parle.
Merci de vos réponses. ^^
En gros, j'ai l'impression que pour le logement, ça marcherait presque comme si je cherchais un appart maintenant dans ma ville. Sans emploi mais avec des garants, il faudrait tenter, tenter jusqu'à ce que quelqu'un morde à l'hameçon.
Bon ça va que c'était une question par curiosité et que je ne compte pas changer de région (pas envie de m'éloigner de mes rares proches sauf le jour où une partie partira ) parce que ça a quand même l'air stressant (à mes yeux d'anxieuse )
Le seul truc que je commence à noter c'est que parfois, il parle assez mal à ma coloc. Je pense que je suis assez sensible aux gens qui manifestent leur agacement/ont des réactions excédées ou saoulée pour des broutilles, donc je suis peut-être un peu trop sensible à sa manière de réagir parfois alors que si ça se trouve ma coloc s'en fout, mais je n'aime pas trop son comportement par moment et j'ai l'impression que c'est le genre de comportement qui créé un climat un peu malsain où on est toujours en stress de peur de déplaire à la personne en face.
Bref, compte tenu de ma personnalité, ce sont des inconvénients mineurs, je m'en fous un peu d'autant que le reste du temps, on s'entend vraiment très bien au quotidien, même si je comprends que ça pourrait saouler des gens qui partagent des choses quotidienne avec elle. Donc je peux comprendre que son copain puisse trouver son je-m'en-foutisme relou.
Du coup, je l'ai déjà vu s'agacer parce que, de ce que je comprenais, il lui avait demandé de faire des trucs et ce n'était toujours pas fait. Mais déjà, je trouvais ça un peu gonflé, car il lui demandait de faire des trucs concernant NOTRE APPART et bah gars, t'habites pas dedans. Par exemple, elle a laissé un gros carton (plein) dans le salon depuis mon arrivée, donc depuis des mois. L'autre jour, il s'agace en lui disant qu'il faut qu'elle s'en débarrasse parce que ça encombre le salon et il en peut plus, il a besoin de vivre dans une maison plus aérée. Et j'étais là euh WTF? C'est pas toi qui VIS là en fait??? Si moi je trouve ça pas idéal mais je m'en plains pas, d'où tu la harcèles pour ranger ça? Je sais pas, ronge ton frein et si c'est toujours là à ton retour dans SIX MOIS, tu pourras lui prendre la tête. Mais là, je vois pas en quoi c'est ton problème en fait? Ou pourquoi tu te permets de lui exiger de faire de la place à un endroit où tu es EN VACANCES et pas censé rester plus d'une ou deux semaines de plus mais où ELLE VIT? A un moment franchement, je me suis demandé s'il prévoyait de jamais rentrer chez lui et qu'ils avaient oublié de me prévenir que son retour était définitif tellement il commençait à tout vouloir organiser comme s'il vivait là au quotidien
Et encore bon, je peux comprendre ça. Je me dis : il considère que c'est chez lui car c'est lui sur le bail, il a emménagé là avec elle et il va revenir là plus tard, c'est un peu comme s'il faisait ses tâches d'entretien annuelles pendant qu'il est là, OK.
Mais un truc que j'ai noté souvent, c'est qu'il se montre vraiment excédé quand il est j'imagine stressé ou contrarié par une activité qu'il fait (sans rapport avec me coloc ou l'appart) et qu'elle intervient d'une manière qui ne lui convient pas.
Par exemple, hier il était énervé car il essayait de monter le barbecue et n'y arrivait pas. Il demande à ma coloc de lui apporter un truc, elle n'avait pas bien compris ce qu'il voulait car elle était à l'intérieur et lui dehors, et il a commencé à s'énerver en voyant qu'elle touchait à un truc qui n'était pas ce qu'il voulait et il s'est approché en disant "mais non mais c'est pas vrai, mais laisse ça comme c'est, je te parle du truc sur l'évier!!!!!!!". Et souvent, la manière dont il parle, il n'utilise pas de formulation ou de mots déplacés, mais il a un ton vraiment excédé ou énervé, ce qui est un gros trigger pour moi (les situations un peu passives/agressives comme ça ou le mec n'est pas objectivement agressif par les mots mais plutôt par le langage non verbal, le ton, etc., ça me crispe énormément), donc souvent ça me stresse car en plus, il fait ça sans complexe devant moi au lieu d'aller par exemple lui faire part de son agacement dans une autre pièce. Je trouve à la fois ça déplacé pour moi et pour elle, car je trouve ça quand même un peu humiliant de faire ça avec un public.
Une autre fois, elle lui posait une question complètement anodine (du genre "tu as mis où la spatule?") alors qu'il était saoulé pour je ne sais quoi (un jeu vidéo ou autre) et il a paru vraiment excédé par sa question comme si elle était la meuf la plus relou qui puisse exister. Il a tendance à lui répondre "QUOI???" d'un ton saoulé avec un soupir exaspéré si elle lui demande un truc et qu'il n'a pas entendu ou compris ce qu'elle disait, comme si elle était en tort.
Encore tout à l'heure, il faisait à manger et elle lui demande un truc du genre "tu cuisines des poissons panés du congélo ou des poissons panés du frigo?". Il a répondu "comment ça?" d'un ton un peu agacé, elle a répété, et là il a dit d'un ton en apparence neutre voire presque sympa "je ne sais pas quelle est la différence entre des poissons panés du congélo ou des poissons panés du frigo, est-ce que c'est quelque chose qui existe vraiment ou un concept sorti de ton imagination?", mais vu que j'étais déjà un peu sur le qui-vive ces derniers jours à cause de sa capacité à s'énerver facilement quand elle lui pose une question, j'ai vraiment eu l'impression que c'était une question ultra condescendante et un peu humiliante, pas une question neutre.
Le truc aussi, c'est que du coup, on pourrait se dire que c'est un gars pas très sympa qui contrôle mal ses humeurs. Mais pas du tout. Parfois, je vois bien qu'il a l'air énervé par un truc qu'il fait comme un jeu vidéo, du bricolage ou la cuisine, et je me mets à faire une blague ou un commentaire sur le sujet (parce que je considère qu'il n'y a aucune légitimité à être sincèrement énervé pour ça et son énervement encombre mon espace donc je ne me gêne pas pour ignorer sa mauvaise humeur), et il me répond très courtoisement, sans signe d'agacement aucun, voire plaisante avec moi. Mais 100% sûre que certains de mes commentaires, si c'était SA MEUF, donc ma coloc, qui les faisait, il ne se gênerait pas pour l'envoyer chier (alors qu'il n'aurait aucune raison de le faire).
Bref, de son côté, je ne la vois jamais s'énerver sur lui ou lui faire des reproches devant moi. Quand il l'envoie balader avec agacement, elle a tendance à essayer de le prendre à la rigolade ou de s'expliquer patiemment (du genre "je te posais la question car je pensais que tu avais utilisé la spatule tout à l'heure, mais je n'avais pas vu que tu l'avais rangée à sa place"). Du coup, cette dissymétrie me met mal à l'aise et je me demande si je devrais lui dire que je trouve pas ça ouf comment son mec lui parle parfois.
Je ne pense que ce soit un couple toxique ou quoi (j'en sais rien), mais je me dis que parfois, ça peut arriver qu'on soit saoulé et qu'on passe nos nerfs sur quelqu'un qui ne le mérite pas parce que la dynamique fait que cette personne est une cible facile et qu'elle ne proteste pas ou qu'on n'a pas peur de la perdre (par exemple, je le fais parfois avec mes parents). Et ça peut être bien que le "punching-ball" le réalise pour mettre le holà parfois. Mais je ne sais même pas si ça dérange ma coloc ou juste moi Parfois, j'ai l'impression que ce genre de choses lui glissent dessus grâce à son optimisme alors que si c'était moi, je ne le tolèrerais pas bien du tout
J'avais déjà fait remarquer à mon ancienne coloc que je trouvais que sa meilleure amie lui parlait mal, et elle m'avait remerciée de lui avoir dit, et ça lui a permis de mieux mettre des limites ensuite. Mais je m'étais permis de le faire, parce que déjà sa meilleure pote m'avait déjà mal parlé aussi, donc c'était pas juste "de quoi je me mêle", je trouvais ça aussi beaucoup plus flagrant et je voyais bien que mon ancienne coloc n'avait aucune conscience que c'était anormal (elle s'excusait auprès de sa meilleure pote quand celle-ci lui parlait mal).
Là, c'est moins flagrant et puis je me dis qu'un couple c'est pas la même dynamique qu'une relation d'amitié, et que ce serait ptete plus me mêler de ce qui ne me regarde pas... Et puis je ne veux pas la rendre triste et qu'elle se dise que c'est vrai que son mec lui parle mal à elle mais tolère sans problème la même chose venant de moi par exemple.
Mais jusqu'à présent, je n'ai jamais vu aucun mec de mes copines leur parler comme ça ouvertement devant moi, à l'exception des mecs hyper toxiques de deux de mes copines... mais après, c'est aussi que j'imagine ne pas avoir partagé le quotidien de couple de copines de cette manière... (même si ça fait que deux semaines pour l'instant).
Bref, je ne sais pas si ce serait me mêler de ce qui ne me regarde pas ou pas Par contre, je pense que je me permettrais au moins de dire à ma coloc que je ne vois pas pourquoi il lui prend la tête pour qu'elle range le salon alors que c'est moi que ça dérange ou non à la base, parce qu'elle a déjà râlé auprès de moi qu'il avait une frénésie de rangement incompréhensible (mais tout en le présentant de manière très sympa pour lui, sans sembler vraiment agacée, plus sur le ton de l'humour)
@MorganeGirly peut-être que tu peux lui en parler en lui demandant "comment ça te fait sentir quand il te dit ça ?" ? Je lis qu'elle a une personnalité un peu "je-m'en-foutisme", très optimiste (et qu'elle lui répond déjà très patiemment) donc il y a des chances pour qu'elle te réponde qu'elle ne voit pas le souci, qu'elle s'en fiche... Mais tu peux lui faire juste un petit avertissement, du genre "moi en entendant ça je me suis sentie comme ça, alors je me suis dit...". Tu peux aussi intervenir dans la discussion quand la situation se présente pour prendre la défense de ta colocataire, sous couvert d'humour (ou pas, mais en essayant de ne pas être trop agressive )... Je ne sais pas ce que vaut ce dernier conseil, je sais que je l'ai déjà appliqué mais c'était avec ma meilleure amie et son mec qui faisait pas grand chose avec leur fille (et qui pour le coup est très chill donc il ne l'a évidemment pas mal pris), et aussi avec mon cousin qui disait "ma mère va faire ça, elle doit faire ça, pourquoi elle le fait pas" (qui faisait déjà beaucoup) donc je suis intervenue en disant "mais fais-le toi" et j'ai juste eu droit à "je sais pas faire" mais rien de plus.
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Sinon à la base je venais demander des conseils pour survivre à deux mois sans canapé Je déménage dans un superbe appartement dans une petite ruelle, avec un minuscule escalier et un minuscule ascenseur donc pour des gros meubles (type canapé, c'est important pour plus tard), on a forcément besoin d'un monte-meubles.
On a commandé notre canapé, mais il ne sera livré que dans 2 mois, l'enfer.
On a proposé notre canapé actuel aux parents de mon chéri, et on leur donne juste avant le déménagement parce qu'on s'est dit que ça serait trop difficile de le faire monter pour le faire redescendre deux mois après. Finalement je me dis que peut-être qu'on aurait pu le garder et le faire descendre par le monte meuble du futur canapé mais bref, ça c'est décidé comme ça.
Du coup, ok va avoir un super salon sans canapé, avec top chef qui vient de reprendre () et je me demandais si vous aviez des idées simples pour combler l'absence de canapé. J'avais pensé à mettre une grosse couette et des oreillers à la place du futur canapé, mais si vous avez d'autres idées à proposer, ou pour améliorer celle-là, je suis preneuse
@OhRose dans ta situation, j'irais chercher des fauteuils genre Poang sur le bon coin, c'est confort, ça fait quand même salon, c'est pas galère à transporter et ça se revend facile