Pour moi c'est le studded kiss de Kat Von D couleur Cathedral, je mets quasiment plus que celui là
Par contre c'est pas du tout un nude, on voit que c'est du rouge à lèvres 
Je ne comprends pas
- Initiateur de la discussion Hawley
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Pour moi c'est le studded kiss de Kat Von D couleur Cathedral, je mets quasiment plus que celui là
Par contre c'est pas du tout un nude, on voit que c'est du rouge à lèvres 
@Plune : Je trouve pas ça choquant, et au contraire ça montre que ces personnes sont bien conscientes des dangers liés aux réseaux sociaux et ont une notion de ce qui peut être public vs ce qui doit rester privé, ce qui est vraiiiiment pas le cas de tout le monde et encore moins de tous les ados !
Du reste, on peut trouver choquant la mise en scène de sa vie comme le font les "influenceur.euses", perso c'est un phénomène qui m'attriste, mais le fait est que ça peut être un business de vendre du rêve sur Instagram. Et je comprends qu'on cherche à protéger son business ou ce qu'on espère voir devenir un business en séparant le public et le privé.
Du reste, on peut trouver choquant la mise en scène de sa vie comme le font les "influenceur.euses", perso c'est un phénomène qui m'attriste, mais le fait est que ça peut être un business de vendre du rêve sur Instagram. Et je comprends qu'on cherche à protéger son business ou ce qu'on espère voir devenir un business en séparant le public et le privé.
M
Membre supprimé 225371
Guest
@Flowercream- Une amie m'a dit une fois que les carottes n'étaient pas digestes s'il n'y avait pas un peu d'huile avec :hesite (je doute que tu manges des tonnes de carottes crues tel un lapin mais on sait jamais ^^). Pour les poivrons certaines personnes les tolèrent mal, surtout avec la peau.
@Flowercream- Après il vaut mieux cuire les poivrons aussi, on les digère mieux ainsi.
@Plune merci pour tes explications mais maintenant que j'ai mieux compris je rejoindrais plutôt @Rosenrot_: si tu as un compte public qui est basé sur ton image, ton lifestyle, je trouve ça plutôt sain de se protéger en gardant les choses intimes là où elles doivent l'être (en public certes mais dans un espace plus restreint) et personnellement j'apprécie aussi cette pudeur parce que les déballages me gênent.
Dernière édition :
Je ne comprends pas pourquoi je ne bronze pas 
Je suis blanche, et les seules fois où je bronze, c'est quand je prends des coups de soleil, mais comme je mets de la crème, bah je bronze pas
Bon, en soit, je m'en fous, mais c'est vrai que ça me questionne quand je vois certaines de mes potes qui passent un aprèm au soleil et on voit à la fin de la journée la trace de leur maillot (sans que ce soit un coup de soleil), alors que moi, je peux passer plusieurs semaines en Afrique dans une zone tropicale, bien chaude, avec beaucoup de soleil, et je changerais à peine de nuance de blanc
Je suis blanche, et les seules fois où je bronze, c'est quand je prends des coups de soleil, mais comme je mets de la crème, bah je bronze pas
Bon, en soit, je m'en fous, mais c'est vrai que ça me questionne quand je vois certaines de mes potes qui passent un aprèm au soleil et on voit à la fin de la journée la trace de leur maillot (sans que ce soit un coup de soleil), alors que moi, je peux passer plusieurs semaines en Afrique dans une zone tropicale, bien chaude, avec beaucoup de soleil, et je changerais à peine de nuance de blanc
Je ne comprends pas pourquoi certaines personnes veulent à tout prix être considérées comme spéciales et différentes.
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@Clematis : Disons que je sais que je n'appartiens pas à la norme des autres (on me l'a trop souvent dit pour que j'oublie) mais vis à vis de moi je me sens normale. L'impression d'être différent c'est vis à vis des autres, je ne crois pas que ce soit incompatible avec le fait de se sentir sois-même parfaitement normal. Enfin si on a personne à qui se comparer, la norme c'est nous-même donc il y a pas de raison de se sentir différent.
D'ailleurs pour moi je vise plus l'acceptation des différences en disant que toutes ces particularités sont normales que de faire en sorte d'être dans la norme. Je trouve que les normes n'ont pas de sens en fait. Chacun a sa propre norme, pour moi c'était les autres qui étaient différents de ma norme. Qu'est ce qui les rendaient plus légitimes de me reprocher de ne pas être dans leur norme ? Rien au final, juste qu'iels ont décidé que leur norme valait mieux que la mienne.
C'est un peu pareil quand il y a effectivement diagnostique (handicap, maladie etc ...), ça reste la norme pour ces personnes. C'est la confrontation aux autres qui fait se poser des questions. J'imagine le potentiel soulagement, ce diagnostic ça peut être vu comme un bouclier face aux remarques des autres. On a un nom pour ça, ce qu'on est est reconnu et fait partie d'une forme de norme.
Edit : Sans compter les potentiels traitement qui peuvent aider si notre particularité engendre de la souffrance. Même s'il y a une certaine ambivalence dans ces cas là, la réduction de la souffrance est un soulagement mais on peut se sentir moins "nous" et en souffrir d'une certaine manière.
Après je parlais surtout des cas comme celui évoqué par @Margay , j'en ai croisé plusieurs dans ma vie et je suis toujours un peu interloquée. Merci d'ailleurs Margay, ça me permet de comprendre un peu mieux.
D'ailleurs pour moi je vise plus l'acceptation des différences en disant que toutes ces particularités sont normales que de faire en sorte d'être dans la norme. Je trouve que les normes n'ont pas de sens en fait. Chacun a sa propre norme, pour moi c'était les autres qui étaient différents de ma norme. Qu'est ce qui les rendaient plus légitimes de me reprocher de ne pas être dans leur norme ? Rien au final, juste qu'iels ont décidé que leur norme valait mieux que la mienne.
C'est un peu pareil quand il y a effectivement diagnostique (handicap, maladie etc ...), ça reste la norme pour ces personnes. C'est la confrontation aux autres qui fait se poser des questions. J'imagine le potentiel soulagement, ce diagnostic ça peut être vu comme un bouclier face aux remarques des autres. On a un nom pour ça, ce qu'on est est reconnu et fait partie d'une forme de norme.
Edit : Sans compter les potentiels traitement qui peuvent aider si notre particularité engendre de la souffrance. Même s'il y a une certaine ambivalence dans ces cas là, la réduction de la souffrance est un soulagement mais on peut se sentir moins "nous" et en souffrir d'une certaine manière.
Après je parlais surtout des cas comme celui évoqué par @Margay , j'en ai croisé plusieurs dans ma vie et je suis toujours un peu interloquée. Merci d'ailleurs Margay, ça me permet de comprendre un peu mieux.
Dernière édition :
@MaryJAnna je suis d'accord avec toi quand tu parles de référentiel. A chaque fois que j'entend, un-e tel-le est bizarre quand même, je répond que cette personne est peut-être bizarre de l'extérieur, mais que pour elle-même bah elle est normale. Et que la normalité/anormalité c'est très subjectifs en fait. Je suppose que pour certaines personnes je suis moi aussi anormale... Bref, ça me pertube ce besoin de "normaliser" les gens !
@pépé le moko : Ah non mais clairement le problème vient d'elleux pas de moi. Ton hypothèse ne me choque pas, je le pense depuis gamine. (Nan mais dire d'une enfant qu'elle est pas humaine et mérite de pleurer alors qu'on est adulte ... 
)
Fort heureusement mes ami.e.s et mon compagnon ne pensent pas ça du tout. Iels sont même très choqués quand je raconte tout ça. Iels voient pas du tout en quoi je serais "space" (un diminutif de spécial au fait) comme dirait ma sœur.
)Fort heureusement mes ami.e.s et mon compagnon ne pensent pas ça du tout. Iels sont même très choqués quand je raconte tout ça. Iels voient pas du tout en quoi je serais "space" (un diminutif de spécial au fait) comme dirait ma sœur.
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