@Lylia-B Il n'y a que lui qui le sait (rien ne l'y obligeait ni ne l'y poussait). Ça peut être stratégique, ça peut être de la connerie pure, en tout cas c'est dangereux.
Je ne comprends pas
- Initiateur de la discussion Hawley
- Date de début
-
- Mots-clés
- les essentiels
@Margay @Birgul @Elvira-Tajkowsky Merci beaucoup 
J'ai compris qu'on ne pouvait pas être sûrs du pourquoi du comment, mais ça me semble beaucoup plus clair comme ça !
J'ai compris qu'on ne pouvait pas être sûrs du pourquoi du comment, mais ça me semble beaucoup plus clair comme ça !
Désolé pour le DP mais un je ne comprends pas totalement différent
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@Lylia-B
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@pikalovescoke
@humblerumble
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@Lylia-B
C'est vrai que ça fait penser à un trouble de l'oralité alimentaire, ou une néophobie ou un TCA. À voir s'il est toujours comme ça ou si c'est contextuel, mais vous n'aurez sûrement pas votre réponse (et puis après tout c'est sa vie à lui).
Par rapport à une anecdote perso : est-ce qu'il a l'air d'aller bien ? Un jour j'ai fait un voyage scolaire dans lequel j'étais tellement mal (pas envie de quitter ma maison, forme de "harcèlement" de la part d'autres élèves, angoisses constantes...) que je n'arrivais vraiment rien à avaler à part un peu de fromage blanc. Absolument rien d'autre ne passait, je n'avais aucun appétit.
C'est vrai que ça fait penser à un trouble de l'oralité alimentaire, ou une néophobie ou un TCA. À voir s'il est toujours comme ça ou si c'est contextuel, mais vous n'aurez sûrement pas votre réponse (et puis après tout c'est sa vie à lui).
Par rapport à une anecdote perso : est-ce qu'il a l'air d'aller bien ? Un jour j'ai fait un voyage scolaire dans lequel j'étais tellement mal (pas envie de quitter ma maison, forme de "harcèlement" de la part d'autres élèves, angoisses constantes...) que je n'arrivais vraiment rien à avaler à part un peu de fromage blanc. Absolument rien d'autre ne passait, je n'avais aucun appétit.
@Asphalte- Justement, je me suis demandée s'il allait bien... Je me suis dit qu'il était peut-être très stressé et perturbé d'être loin de chez lui, et il semble beaucoup au téléphone avec sa maman (ou une autre personne, je ne sais pas, mais quelqu'un en tout cas).
Hier je suis allée le voir dans sa chambre (mon conjoint m'a dit que s'il était souvent au téléphone avec sa maman, peut-être qu'une présence féminine arriverait mieux à le rassurer / lui parler qu'un homme). / d'ailleurs je nous félicite d'avoir mis les 2 frères et soeurs ensemble dans la même chambre, il a son intimité au moins.
Je lui ai demandé s'il allait bien, je lui ai dit qu'il avait l'air un peu fatigué (ce qui était le cas), il m'a dit que tout allait bien. J'ai hésité entre 1) insister lourdement et potentiellement le mettre mal à l'aise 2) tracer ma route 3) insister légèrement.
J'ai fait la solution 3, en lui redemandant s'il était sûr que ça allait, que s'il y avait quoi que ce soit il pouvait nous en parler, qu'il n'avait vraiment pas à hésiter.
Je sais pas si je me fais des idées parce que je suis un peu angoissée de la situation, mais j'avais l'impression qu'il allait pleurer, alors bon je lui ai fait un grand sourire et je l'ai laissé.
Un de mes chats est collé à lui (elle sent souvent quand les gens vont pas bien), du coup j'y suis retournée après manger en prenant le prétexte du chat, et il avait l'air heureux qu'elle soit là, il m'a dit "je crois qu'elle m'aime bien". I LOVE MY CAT.
Au repas on a décrété "only in english" pour parler, histoire qu'il se sente inclu. Je lui ai posé des questions sur lui, il s'est détendu un peu. Après je lui ai demandé de me parler de chez lui, de situer sa maison sur la carte de sa ville qu'il avait emmené, une fois qu'il avait trouvé j'ai mis une petite marque dessus en lui disant "comme ça, on oubliera pas où tu habites !". Il était beaucoup plus ouvert, il souriait.
En gros, j'essaye de "l'apprivoiser"
de lui faire comprendre qu'on est là pour lui, même si il nous connait que depuis 3 jours.
Hier je suis allée le voir dans sa chambre (mon conjoint m'a dit que s'il était souvent au téléphone avec sa maman, peut-être qu'une présence féminine arriverait mieux à le rassurer / lui parler qu'un homme). / d'ailleurs je nous félicite d'avoir mis les 2 frères et soeurs ensemble dans la même chambre, il a son intimité au moins.
Je lui ai demandé s'il allait bien, je lui ai dit qu'il avait l'air un peu fatigué (ce qui était le cas), il m'a dit que tout allait bien. J'ai hésité entre 1) insister lourdement et potentiellement le mettre mal à l'aise 2) tracer ma route 3) insister légèrement.
J'ai fait la solution 3, en lui redemandant s'il était sûr que ça allait, que s'il y avait quoi que ce soit il pouvait nous en parler, qu'il n'avait vraiment pas à hésiter.
Je sais pas si je me fais des idées parce que je suis un peu angoissée de la situation, mais j'avais l'impression qu'il allait pleurer, alors bon je lui ai fait un grand sourire et je l'ai laissé.
Un de mes chats est collé à lui (elle sent souvent quand les gens vont pas bien), du coup j'y suis retournée après manger en prenant le prétexte du chat, et il avait l'air heureux qu'elle soit là, il m'a dit "je crois qu'elle m'aime bien". I LOVE MY CAT.
Au repas on a décrété "only in english" pour parler, histoire qu'il se sente inclu. Je lui ai posé des questions sur lui, il s'est détendu un peu. Après je lui ai demandé de me parler de chez lui, de situer sa maison sur la carte de sa ville qu'il avait emmené, une fois qu'il avait trouvé j'ai mis une petite marque dessus en lui disant "comme ça, on oubliera pas où tu habites !". Il était beaucoup plus ouvert, il souriait.
En gros, j'essaye de "l'apprivoiser"
de lui faire comprendre qu'on est là pour lui, même si il nous connait que depuis 3 jours.
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