Je ne supporte pas...

[Alpha]

Après dix ans de voisins invisibles et silencieux, ça y est, j'ai des voisins relous
Pourquoi ? Parce qu'ils ont des gosses et un panier de basket juste de l'autre côté de la clôture. Donc outre le bruit du ballon qui tape depuis 3 heures (ça encore, ma chienne et moi on tolère), ça fait 3 fois que ces crétins de gamins font tomber le ballon dans mon jardin. Évidemment ça stresse beaucoup ma chienne qui ne comprend pas et qui du coup se met à aboyer comme une folle, et tout simplement bah moi, ça me gonfle de devoir aller ouvrir le portail à ces cons de gosses tout l'après-midi, en fait
Entre les chats qui divaguent dans mon jardin et les ballons qui divaguent eux aussi, j'attends qu'un seul voisin vienne se plaindre des aboiements de ma chienne, on va rigoler

Édit : ils ont l'air réglo, encore ça va. J'ai râlé au 2e ballon chez moi, et là personne n'est venu réclamer le 3e ballon, les gamins (ou leurs parents) ont dû se dire tant pis pour eux !

Édit 2 : ah ben non ils avaient juste un autre ballon. Comme ils l'ont aussi envoyé chez moi, ils sont venus sonner. Putain de gosses

 

[Rocksteady]

@Lylia-B

Spoiler

Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.

 

[Le Poireau]

@Lylia-B Oulaaa ! Effectivement, ton ex avait du niveau ! Je n'ai pas ce sentiment de supériorité du tout avec mon copain, au contraire, il m'invite souvent à donner mon avis sur des sujets qu'il maitrise moins, pour essayer de comprendre de manière assez humble. Mais, les discussions restent parfois frustrantes, parce que, par définition, on n'a pas le même niveau de recul face à la situation...

 

[MorganeGirly]

Un peu fort comme je ne supporte pas car en vrai qui suis-je pour trouver ça insupportable
Mais ça m'agace vraiment une obsession d'une collègue. En gros, on a des horaires de début de journée très souples, et elle a une obsession pour commencer le plus tôt possible. Sauf qu'elle n'est pas une lève-tôt donc elle a vraiment du mal à arriver à l'heure qu'elle s'est fixée et donc se sent perpétuellement en retard et "paresseuse" parce qu'elle a trop trainé au lit.
On a eu cette discussion 100 000 fois car je n'arrive pas à comprendre la pression qu'elle se met et ça m'irrite aussi un peu parce qu'elle en parle comme si arriver tôt était plus sain et vertueux que dormir plus tard le matin, ce que je fais moi. Je sais qu'elle ne me juge pas du tout, mais en tant que personne qui est une couche tard lève tard, je suis assez sensible à ce genre de discours car j'ai eu l'impression de faire les choses "mal" en termes de sommeil toute ma vie (par exemple, quand je révèle l'heure à laquelle je me lève le samedi - en début d'après-midi - j'ai souvent l'impression qu'on me prend pour une excentrique hédoniste avec un côté assez négatif/jugeant plutôt que juste "son corps fonctionne comme ça").
Bref, le truc qui m'irrite ce n'est vraiment pas que ma collègue ait envie de commencer tôt, car beaucoup de mes collègues commencent tôt. C'est juste que cette collègue-là déjà a DU MAL à se lever tôt alors qu'elle n'a AUCUN impératif, et surtout qu'à chaque fois que je lui demande pourquoi elle tient tant à commencer tôt, elle me répond "je n'ai pas envie de rester tard au boulot". Et comme bah les heures passées au bureau restent les mêmes, a priori ce serait qu'elle veut profiter de son après-midi ou soirée mais... elle rentre chez elle faire la sieste pendant une ou deux heures. Et le truc c'est qu'elle insiste sur l'importance pour elle de faire la sieste plusieurs fois par semaine car sinon elle est trop fatiguée. Je lui ai donc déjà demandé si elle ne pensait pas que se lever plus tard la rendrait moins fatiguée (vu qu'elle se couche tard aussi, donc elle se lève en fait 2 heures plus tôt pour pouvoir rentrer plus tôt faire une sieste de 2 heures au lieu de simplement dormir plus tard le matin et profiter de sa soirée tranquillement), et elle m'a répondu que non car elle ne veut pas finir tard.
Donc OK bon chacun ses manies, j'essaye de ne pas juger, mais elle est vraiment obsédée par son échec permanent à arriver à l'heure qu'elle se fixe au bureau le matin. Genre notre entreprise veut revoir les services qui nous sont proposées le matin et nous a envoyé un sondage, et elle a menti en disant qu'elle arrivait au travail à la première heure plutôt que la vraie heure. Je lui ai dit que c'était pas une bonne idée car du coup, si moins de gens sont là plus tard, on aura moins de services plus tard, quand elle est en fait vraiment au bureau. Et elle m'a répondu qu'au moins, ça la forcera à vraiment arriver plus tôt. Mais pourquoi être obnubilée par ça si elle n'arrive vraiment pas à le faire????
Et aujourd'hui, elle m'a dit que demain, ça allait être dur pour elle de se lever pour être au bureau à la première heure car elle sort ce soir, donc je lui ai répondu qu'elle n'était pas obligée de commencer si tôt, et elle m'a rétorquée qu'elle n'avait "aucune envie" de finir 1 heure plus tard. Alors que si elle sort ce soir et se lève vraiment à l'heure prévue, c'est SUR qu'elle va juste faire la sieste demain pendant cette heure supplémentaire qu'elle aura gagné.
Vraiment je ne comprends pas et ce manque de logique qui me parait provenir d'une sorte de vision négative du fait de se lever tard, et donc me donne l'impression d'être indirectement jugée, m'agace énormement.
Mais comme je le disais en intro, ce n'est pas non plus mes affaires donc c'est vraiment un "je ne supporte pas" léger.

@Le Poireau
Je pense qu'il y a un truc assez français quand même dans le fait d'aimer la beauté du débat, donc le cas que tu présentes ne me parait pas si inhabituelle personnellement. Je pense que ça arrive plus souvent de la part de mecs car c'est plus facile de débattre pour le sport et de dire des trucs qu'on pense pas forcément pour déclencher une discussion quand on ne se sent pas personnellement concerné. Mais je ne pense pas que ce soit toujours de la condescendance ou de l'arrogance, je pense qu'il y a un vrai goût français pour les joutes verbales, que bien sûr tout le monde ne partage pas et qu'un certain nombre de gens ont en France. Je le dis en ayant vécu de nombreuses années dans plusieurs pays, je n'ai jamais autant retrouvé cette passion pour contredire son interlocuteur et s'engager dans des clashs enflammés en ne pensant pas qu'on est en train de se disputer.
Et j'avoue que parfois, je me surprends en train de faire ça - mon trigger c'est vraiment les gens trop péremptoires sur un sujet où j'ai un avis plus nuancé (donc ce sont plus souvent des mecs, mais aussi parfois des femmes avec une personnalité assez extravertie ou égocentrée), ça déclenche chez moi une volonté de les contredire impérieuse, parfois d'aller trop loin dans la contradiction et de me retrouver à défendre un point de vue auquel je n'adhère même pas tant que ça.

Mais pour le reste, je suis d'accord sur le profil insupportable que vous décrivez, qui est très présent chez certains mecs.

 

[alice-louve]

@Lylia-B olala ton ex me fait penser au mien (were we dating the same guy )

Spoiler: Mon ex

Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.

 

[Rocksteady]

Je me suis mise à lire un peu de livres YA/romantasy, histoire de pas mourir idiote.
Le truc qui frappe quand tu as lu beaucoup d'autres littératures avant, et qui est à la fois est énervant et triste, c'est que hyper-transparent à quel point ces récits répétitifs sont faits pour venir chatouiller les plaies d'anciennes ados filles classiques, c'est à dire à la fois ultra-matérialistes et méprisant ça, à la fois harcelées et semi-misogynes.
Et en même temps ces livres font leur possible pour que surtout on reste comme ça. Ce récit-type vient "panser" ces plaies d'une façon qui en même temps légitime ce qui les a causées, en venant confirmer tous les clichés sexistes qu'on t'a déja fait avaler depuis la naissance.

1) C'est ouf mais le scénario amoureux c'est quasi toujours "Son bully qui est dans sa classe de magie/dragonnier/assassin/autre était en fait amoureux d'elle depuis le début et c'était pour ça qu'il la bullyait.
(avec du vrai bullying de collège classique hein, l'humilier en groupe, parfois la frapper, etc, mais en version +++, faire de sa vie un enfer.)

Tu vois à quel point les gens qui lisent ça on besoin d'une "wish-fullfillement fantasy" où ils peuvent réécrire l'histoire, où leur bully pendant des mois/années l'aurait effectivement fait "parce qu'il était secrètement amoureux" .

Et tu constate à quel point le truc que les adultes te disent en primaire ("si il t'embête c'est qu'il est amoureux de toi " dit dès qu'un garçon te frappe ou te harcèle) a infusé. Et bien sûr, les livres confirment ça.

2) ça se passe au moins en partie dans la cour royale de ce monde, avec que des gens super riches qui s'habillent super bien, et à un moment l'héroïne aura des robes magnifiques et sera coiffée et maquillée par des servantes ou autres, mais bon en vrai elle-même n'aime pas ça hein ! Elle n'est pas comme les autres filles ! Mais le livre passera toujours beauuucoup de temps à décrire amoureusement les étoffes et la richesse des vêtements et décrire les tenues de toutes les femmes et la magnifique coiffure de l'héroïne le jour du bal...

C'est toujours dans des milieu où la lectrice pourra vivre son fantasme matérialiste tout en pouvant se dire "attention celles qui sont superficielles c'est les autres, pas moi, moi j'y suis forcée hein "

3) L'héroïne n'aura aucune amie fille (ou alors une seule). Les autres femmes se révèlent toujours être "en réalité méchante et de la concurrence". Toujours. Ta soeur adoré deviendra pas sympa parce que son mec te drague, toutes les filles de l'école te détesteront car le chef de l'armée te traite comme un être exceptionnel, les autres filles te haïront car tes pouvoir sont plus puissants, les fées font semblant de te mépriser car tu n'es pas une fée mais en réalité elles sont jalouses de toi, etc etc.

Et bien sûr la plupart des autres femmes sont super superficielles et adorent les belles robes alors que l'héroïne non

4) Bien sûr le love interest masculin présenté comme désirable est toujours plus vieux (d'un an, 20 ans, mille ans) et plus expérimenté sexuellement que le personnage féminin.
Ah et si c'est pas son bully c'est son prof


Alors à la limite, que ça existe, c'est pas le problème. Le problème c'est que c'est DEJA tous les clichés sexistes qu'on nous fait bouffer, et l'autre problème c'est que c'est difficile de trouver autre chose. Si je veux un truc aussi simple que de la romantasy où le personnage masculin présenté comme désirables est plus jeune ne serait-ce que D'UN AN, plus inexpérimenté sexuellement que l'héroïne, qu'il n'est ni son prof, ni son bully, que l'héroine a plusieurs femmes amies...ben je ne vais pas trouver (ou je vais devoir demander conseil)

Faudrait SURTOUT PAS que les femmes puissent se construire des fantasmes différents et une vision des femmes différente, hein

Mais en vrai effectivement, si tu as surtout lu ces récits, c'est super difficile d'imaginer autre chose.

 

[MorganeGirly]

Ça m’insupporte vraiment dans les matches sportifs quand la caméra choisit de filmer des supportrices jeunes, très jolies, très apprêtées, très souriantes et qui prennent des poses plutôt charmantes quand elles acclament les joueurs ou se serrent dans les bras, rarement une femme montrée comme accompagnant un groupe d’hommes ou mixte (en âge ou sexe) ou hurlant avec le visage déformé mais souvent une femme filmée ou avec d’autres jeunes femmes très jolies et gracieuses.
J’en ai déjà parlé pour la Coupe du monde de rugby mais je le vois à nouveau pour les 6 nations (rugby) et ça me sort du match parce que je trouve ça sexiste. Déjà parce que ce profil de supportrices est minoritaire dans les stades de rugby, les supportrices typiques sont plus âgées (genre 40-60 ans plutôt que 25 ans), souvent avec des hommes ou si jeunes et entre filles rarement aussi apprêtées, alors que je trouve ce profil de jolies jeunes filles majoritaire dans les femmes filmées pour certains matchs. Pour moi, ça veut dire que la réalisation est intéressée essentiellement par plaire aux spectateurs hommes en montrant ces jolies jeunes femmes ou à perpétuer des stéréotypes sur ce à quoi ressemble une femme qui mérite de l’attention et non à réellement représenter l’ambiance du stade. Je vois rarement des gros plans sur des femmes de 50 ans alors qu’à l’inverse les supporters hommes filmés sont totalement banals en termes de standards de beauté, voire pas très séduisants. Ils sont souvent dans des costumes rigolos ou juste avec un maillot et l’air enthousiaste, on filme beaucoup d’hommes vieux, ils crient de joie avec le visage déformé, font des têtes pas gracieuses. Les mecs filmés sont juste des fans, alors que les femmes doivent être sexys et séduisantes. Les seuls hommes plutôt beaux sur lesquels la caméra s’attarde systématiquement sont généralement des célébrités, des joueurs dans les gradins ou un homme accompagné d’une belle femme, rarement un homme ou groupe de potes mis en valeur pour leur beauté comme le sont les supportrices.
Et attention, les jolies femmes maquillées et apprêtées ont évidemment complètement leur place dans les stades, ce n’est pas elles qui m’énervent mais le fait que la caméra les mettent en avant et invisibilisent la majorité des autres femmes alors que ce n’est pas du tout le cas pour les hommes.

J’ai envie d’envoyer une lettre de plainte mais je ne sais pas qui est responsable du choix des images, l’organisateur du championnat? Le stade?

 

[Plummpy]

@Rocksteady Hahaha, mais oui, c'est tellement ça! Je reconnais certains de ces clichés dans une trilogie que j'avais lue et qui m'avait transportée d'esclaffade parce que c'est un récit humoristique, Scorpi, de Roxanne Dambre.

Charlotte, l'héroïne, est trouvée par un mercenaire paranormal ténébreux et charismatique qui lui annonce que bon, comme ils sont parfaitement assortis, ils vont se mettre en couple MAIS il est séduisant alors bon, c'est pas trop dur d'accepter sa proposition.

Le gars est super riche, oui MAIS elle devient pote avec la domesticité.

Le gars lui donne des ordres, oui MAIS elle ne fait jamais que ce qu'elle veut et il ne l'engueule pas pour ça et reconnaît sa liberté.

Elle n'est jamais décrite physiquement. On ne sait pas à quoi elle ressemble. En revanche, il y a un gros indice montrant qu'elle n'est ni mince, ni grande, ni élancée.

Elle n'a pas de pouvoirs magiques, elle n'a pas de talent spécial MAIS son mec l'admire pour ce qu'elle est, sincèrement. Il ne la comprend pas ("Comment ça, tuer des gens, c'est mal?"), mais il l'accepte sans vouloir la changer, même pas sexuellement.

Un de mes moments préférés, c'est quand elle est suivie par des flics qui l'espionnent. Elle décide alors de leur mener la vie dure. Comment? En s'offrant une longue, très longue journée de plaisirs féminins, variés et coûteux qu'elle savoure d'autant plus qu'ils plongent les mecs au mieux dans l'ennui, au mi-mieux dans l'inconfort, au pire dans la honte et l'embarras. Et elle kiffe. C'est pas son délire de base, mais elle en profite pour s'amuser.

Et... il y a un harceleur dans cette histoire. Jamais présenté comme quelqu'un d'attirant, sans aucune excuse.

Alors oui, le roman exploite des clichés sexistes dans le sens où elle ne se sauve pas elle-même du connard, qu'elle n'est pas très expérimentée, que son mec est riche, tout ça... et ces clichés sont toujours un peu tordus pour leur faire faire un pas de côté.

Bon, les scènes de sexe sont mièvres à mon goût, mais dans mon souvenir, il est respectueux.

Et tout le roman baigne dans un humour noir redoutable, j'ai passé mon temps à me marrer

Après, si tu veux de l'original en YA, j'ai été très marquée par Flora Banks, d'Emily Barr.

Flora ne peut plus acquérir de nouveaux souvenirs depuis qu'elle a dix ans. A dix-sept ans, un mec l'embrasse et elle va s'en souvenir.

Alors, c'est pas du tout l'aspect "truc chelou" de ce baiser, ni l'histoire d'amour de Flora qui font l'intérêt du roman, parce qu'il n'y a vraiment pas d'histoire d'amour malgré ce que Flora en dit.

En revanche, il y a une expérience littéraire incroyable, un récit de quête, de voyage, d'émancipation et de débrouillardise.

Hélas, je n'ai pas trouvé de romans YA à la hauteur, mais faut dire que je ne lis plus guère, en ce moment^^°

 

[Aesma]

@Rocksteady Hmm en YA qui m'a marqué y a La Déclaration de Gemma Maley, c'est vraiment un bouquin qui m'a retourné la tête vu que l'histoire ne tourne pas tant sur la romance mais sur des questions éthiques. Le 3e tome fait parti des rares livres que j'ai lu d'une traite. Avec le tome 1 de Hunger Games

Je découvre également via la page Wiki que Little Women de Louisa May Alcott serait un précurseur du genre (je viens de commencer et c'est si doux )

En tous cas ce que tu décris semble presque mignon en comparaison de la Dark Romance, souvent lu par des ados et où les relations ne sont pas justes toxiques mais également violentes (et romantisées telles quelles)

 

[Rocksteady]

@Aesma

Spoiler

Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.

 

[Lylia-B]

@Rocksteady

Ce que tu décris, c'est vraiment EXACTEMENT ce que je ressens avec le YA depuis des années, amen franchement.

En fait, je trouve limite que quand tu veux de la romance avec de la fantasy, il vaut mieux se tourner sur un livre qui est d'abord fantasy et qui incorpore de la romance, que le contraire. Quand la fantasy est un prétexte, tu as toujours un world building faible, bancal voir incohérent, et TOUT ne semble que prétexte pour créer des scènes de tension entre les protagonistes.

Je pense à Sorcery of Thorns de Margaret Rogerson qui est d'abord de la fantasy, la romance est légère mais vraiment agréable.
Dernièrement, j'ai lu au contraire Powerless de Lauren Roberts, qui fait plus de 600 pages alors que 300 auraient été nécessaires, tout ça pour checker tous les tropes dont tu parles.

J'en peux plus de cette misogynie intériorisé des autrices et des héroïnes "I'm not like other girls". C'est simple : dès les premiers chapitres, si l'héroïne est décrite comme une nana "pas comme les autres" qui a du mal à se mêler aux autres nanas, qui a des centres d'intérêt "atypiques" (déjà ça, ça suinte la misogynie, si t'aime pas la mode t'es pas comme les autres ? oscours) et qui passe son temps de son côté parce que vraiment, les gens c'est pas pour elle (MAIS qui va être proche d'une seule personne, genre sa meilleure amie d'enfance / un gamin malade / un SDF / le perso "outsider" de votre choix pour faire comprendre qu'elle a bon coeur au fond), BREF, je sais que je vais passer une mauvaise lecture. Et 9 fois sur 10, l'héroïne est tellement insupportable et misogyne que j'ai envie de jeter le livre.

@Plummpy Ca me donne TROP envie de lire ce livre ! Je vais voir pour le trouver à ma médiathèque, merci pour la reco en tout cas !

@Aesma En même temps, Hunger Games La lecture du 1er tome sera un souvenir à jamais gravé dans ma mémoire je pense.

 

[nip33]

JNSP

Spoiler: mentalité famille maternelle

Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.