Le réseau des MadZ entrepreneuses
- Initiateur de la discussion Hawley
- Date de début
@P'tite Ju'
Merci pour ta réponse ! Ca me semble être l'idéal de faire ça pour le coup !
Merci pour ta réponse ! Ca me semble être l'idéal de faire ça pour le coup !
Coucou @Taina. !Je suis toujours là, grosse baisse de travail ces derniers mois forcément, mais j'ai bon espoir que ça se redresse un peu ce mois-ci ! Et toi ?
Hello!
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Voilà pour le neuf. Un pavé, bien sûr.
Et vous comment ça va?
(ne pas citer)
M
Membre supprimé 128106
Guest
Dites les entrepreneuses, y en a-t-il parmi vous qui se sont lancées sur le tard ? Est-ce que vous pensiez genre à 30 ans que jamais vous vous lanceriez et finalement, quelque chose vous a poussé à le faire ?
Hé bien, ça dépend ce que tu entends par "entrepreneuse"? Beaucoup "d'entrepreneurs" sont simplement freelances dans un métier intellectuel, et c'est limite la norme dans certains métiers/secteurs. Est-ce que tu parles plutôt de vivre d'une activité où tu dois faire d'importants investissements?
Bon bah finalement, le client a mis plus de 2 ou 3 semaines à me répondre pour me dire qu'ils avaient trouvé quelqu'un d'autre mais qu'ils avaient "adoré" ma candidature et qu'ils espéraient faire appel à moi si leur "projet grandit". Je présume que le prix a bloqué du coup ou alors c'est le fait que je n'ai pas très bien compris leur process de travail extrêmement bizarre et inefficace... Mais bref, c'est dommage, j'aimais bien le job mais d'un autre côté, j'ai pas l'impression qu'ils étaient super familier du boulot avec des freelances ou même de ces missions tout court (j'ai vu certains de leurs "produits" faits par des salariés et c'est pas de la hauté qualité je trouve), donc ça m'aurait ptete pris la tête au final.Mais bon, comme beaucoup de freelances j'imagine, maintenant que j'ai envoyé ma proposition commerciale, je suis prise de douteJ'ai donné un prix qui me semble correct pour le premier format et un prix qui reflétait le temps passé mais du coup très élevé pour le deuxième format. J'ai bien précisé qu'en changeant un peu le format, mes tarifs seraient moins élevés, mais maintenant je me dis que j'aurais pas dû donner de tarif et plutôt discuter des possibilités d'alléger le travail, car ça va leur faire peur.
J'ai bien aimé le boulot et ce serait utile pour mes références de le faire, donc ça me ferait chier de perdre ce client. J'ai passé toute la journée à googler des prix pour voir si celui que j'ai proposé pour le premier format était pas trop élevé car même là, je commençais à douter.
J'avais calculé que ça représenterait environ 30 à 35 euros pour 1 heure de boulot et j'alterne entre des moments où je me dis "c'est tout à fait normal pour un freelance et c'est même plutôt dans la tranche basse" et d'autres où je me dis "mais c'est trop élevé, je me suis beaucoup trop surévaluée!!! j'étais payée 14 euros brut de l'heure comme salariée!! J'aurais dû demander l'équivalent de 20 à 25 euros de l'heure en fait!!" (un de mes clients actuels me paye l'équivalent de 20 euros de l'heure justement, mais c'est supposé être bas et je le fais parce que j'adore le job, que c'est très agréable de bosser avec ce client et que c'est un peu du travail garanti à des volumes conséquents - là, mon prospect me disait que ça représenterait probablement 1 ou 2 jours de travail par mois seulement).
Je regrette de ne pas avoir proposé de discuter du prix plutôt que de l'annoncer direct, mais d'un autre côté, je ne pense pas que mon travail valait beaucoup moins que ça.
Sinon, comme le coronavirus a vraiment épuisé les sources de revenus freelance sur lesquelles je comptais avant de lâcher mon job salarié, bah je me suis résignée à proposer mes services freelance dans mon ancien métier. C'est un secteur de niche où il y a de gros besoins donc je savais que j'aurais des retours.
Et une fois encore, je me prends la tête pour les tarifs
Dans ce métier, j'ai presque 5 ans d'expérience à temps plein, ce qui est assez rare dans le milieu car beaucoup de gens arrêtent avant ou font ça à temps très partiel. En plus, quand j'étais salariée, mon travail était très plébiscité par les clients et ma hiérarchie, et j'ai souvent travaillé avec des freelances, et eu l'occasion de constater que beaucoup sont vraiment NULS mais que comme il y a un gros besoin permanent et beaucoup de turn-over, bah mes boss faisaient quand même appel à eux, quitte à demander à un salarié de repasser derrière après. Donc je pense que je suis vraiment un profil supérieur à la moyenne des freelances du milieu et du coup, j'avais pas spécialement envie de brader mes tarifs.
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Bref, voilà, j'espère qu'on ne va pas recaler mon offre car j'ai "trop demandé", mais j'ai l'impression que mon tarif est quand même très justifié!!
Quand vous connaissez le budget du client et qu'il s'agit d'une agence ou d'un prestataire qui revend vos services derrière, vous demandez combien en pourcentage en général?
M
Membre supprimé 128106
Guest
@MorganeGirly : je posais plutôt la question en pensant à celles qui fondent par exemple leur propre boutique 
Est-ce que certaines d'entre vous qui exercent des métiers intellectuels ont souscrit une assurance responsabilité civile professionnelle et une assurance professionnelle du domicile? Un client m'a demandé de lui fournir l'attestation si j'avais souscrit cette assurance. Je suis autoentrepreneur donc je n'en ai pas l'obligation mais surtout, je ne m'étais même pas posé la question!
Globalement, je suis exposée à peu de risques professionnels, à part faire du mauvais boulot et que mon client se retourne contre moi (mais ce serait pas facile à prouver que j'ai mal fait mon travail et comme mon job a des enjeux relativement limités, il faudrait avoir vraiment envie de me faire un procès, et je ne vois pas trop quelle erreur très grave je pourrais faire du fait de la nature de mon job), ou éventuellement provoquer un accident dans les locaux d'un client en renversant du café, en trébuchant ou un truc dans le genre, ou encore envoyer un PDF avec un virus qui infecte le système informatique du client - bref, des cas assez hypothétiques, rares et probablement peu graves dans la majorité des cas mais qui peuvent quand même avec de la malchance me causer quelques soucis. En outre, mon matériel pro est limité puisque je fais une prestation intellectuelle donc au pire je dois me racheter un ordinateur (que j'utilise également pour mes affaires persos), et j'ai du mal à voir quels autres dommages pros je pourrais avoir chez moi
Les explications sur la responsabilité civile professionnelle pour les entrepreneurs que je trouve en ligne sont soit très généraux (incluant notamment artisans et commerçants qui ont plus de risque d'avoir des ennuis pour un produit défectueux) soit écrits par des assureurs qui veulent vendre leur marchandise donc je ne sais pas trop à quoi m'en tenir
Et vous savez combien ça coûte? J'ai souvent l'impression que c'est plus cher pour les pros que les particuliers. Je me demande d'ailleurs si casser l'ordinateur d'un client lors d'une prestation ne pourrait pas être couvert par la responsabilité civile privée?
Globalement, je suis exposée à peu de risques professionnels, à part faire du mauvais boulot et que mon client se retourne contre moi (mais ce serait pas facile à prouver que j'ai mal fait mon travail et comme mon job a des enjeux relativement limités, il faudrait avoir vraiment envie de me faire un procès, et je ne vois pas trop quelle erreur très grave je pourrais faire du fait de la nature de mon job), ou éventuellement provoquer un accident dans les locaux d'un client en renversant du café, en trébuchant ou un truc dans le genre, ou encore envoyer un PDF avec un virus qui infecte le système informatique du client - bref, des cas assez hypothétiques, rares et probablement peu graves dans la majorité des cas mais qui peuvent quand même avec de la malchance me causer quelques soucis. En outre, mon matériel pro est limité puisque je fais une prestation intellectuelle donc au pire je dois me racheter un ordinateur (que j'utilise également pour mes affaires persos), et j'ai du mal à voir quels autres dommages pros je pourrais avoir chez moi
Les explications sur la responsabilité civile professionnelle pour les entrepreneurs que je trouve en ligne sont soit très généraux (incluant notamment artisans et commerçants qui ont plus de risque d'avoir des ennuis pour un produit défectueux) soit écrits par des assureurs qui veulent vendre leur marchandise donc je ne sais pas trop à quoi m'en tenir
Et vous savez combien ça coûte? J'ai souvent l'impression que c'est plus cher pour les pros que les particuliers. Je me demande d'ailleurs si casser l'ordinateur d'un client lors d'une prestation ne pourrait pas être couvert par la responsabilité civile privée?
Bonjour ! Je travaille depuis un an à la création d'une marque de lingerie écoresponsable, je pense que je vais venir un peu plus souvent par ici !
Coucou, je sais pas pourquoi je ne reçois plus les notifs du sujet mais il y a du neuf 
Déjà j'ai réussi à régler mon problème de non-existence aux côtés de l'urssaf. Que la maison des artistes, l'urssaf ou les deux aient fait de la merde, c'est derrière, je peux enfin cotiser. J'ai appelé la Chambre des Métiers, la personne sur mon dossier précisément pour comprendre pourquoi en 6 mois je n'avais pas eu de nouvelles.
Il se trouve que je "n'existais pas" dans la base de données urssaf parce que j'étais artiste-auteure depuis 2017 et donc ne pouvais pas prétendre à cotisation dans le cadre d'un numéro siret qui n'est pas "supporté" par l'urssaf (depuis quand les artistes-auteurs ne cotisent pas, je vous le demande. Leur histoire n'est pas claire du tout.) Mon numéro siret n'ayant pas été changé malgré l'adjonction d'une activité, le problème ne pouvait pas être réglé.
J'ai donc eu la joie de recevoir le courrier que j'attendais depuis 2017 (oui) me donnant accès en ligne pour me faire taxer de 24% (oui, joie).
Breeeef.
Mis à part ça, je me suis bien bougé le trognon pour faire ma promotion, chercher des clients, nouer des partenariats. Financièrement, j'ai donc eu quelques modestes entrées + mon premier "gros" contrat. J'ai pas un CA de fou, considérant que je me suis lancée à l'aube du covid et qu'on est grosso modo six mois après le début de l'aventure, mais j'ai déjà engrangé plus que ce que je n'espérais cette année. Je me suis donnée 3 ans pour être autonome financièrement. Je pense que c'est jouable, mais faut surtout pas relâcher mes efforts.
Mais ça m'empêche pas de bosser à plein temps et d'être bien occupée, et d'avoir vécu de belles aventures au cours de mes premières prestas
l'été n'a pas du tout été synonyme de vacances.
Déjà j'ai réussi à régler mon problème de non-existence aux côtés de l'urssaf. Que la maison des artistes, l'urssaf ou les deux aient fait de la merde, c'est derrière, je peux enfin cotiser. J'ai appelé la Chambre des Métiers, la personne sur mon dossier précisément pour comprendre pourquoi en 6 mois je n'avais pas eu de nouvelles.
Il se trouve que je "n'existais pas" dans la base de données urssaf parce que j'étais artiste-auteure depuis 2017 et donc ne pouvais pas prétendre à cotisation dans le cadre d'un numéro siret qui n'est pas "supporté" par l'urssaf (depuis quand les artistes-auteurs ne cotisent pas, je vous le demande. Leur histoire n'est pas claire du tout.) Mon numéro siret n'ayant pas été changé malgré l'adjonction d'une activité, le problème ne pouvait pas être réglé.
J'ai donc eu la joie de recevoir le courrier que j'attendais depuis 2017 (oui) me donnant accès en ligne pour me faire taxer de 24% (oui, joie).
Breeeef.
Mis à part ça, je me suis bien bougé le trognon pour faire ma promotion, chercher des clients, nouer des partenariats. Financièrement, j'ai donc eu quelques modestes entrées + mon premier "gros" contrat. J'ai pas un CA de fou, considérant que je me suis lancée à l'aube du covid et qu'on est grosso modo six mois après le début de l'aventure, mais j'ai déjà engrangé plus que ce que je n'espérais cette année. Je me suis donnée 3 ans pour être autonome financièrement. Je pense que c'est jouable, mais faut surtout pas relâcher mes efforts.
Mais ça m'empêche pas de bosser à plein temps et d'être bien occupée, et d'avoir vécu de belles aventures au cours de mes premières prestas
l'été n'a pas du tout été synonyme de vacances.
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