mindalajinka a dit :
Oui, tu sauras ou te reconvertir.
Je suis d'accord pour le vent, on parlait de tornades aussi, enfin tu l'avais compris, toi. (et toi aussi, ça te fait rire le terme "faire voler" 
)
Oui, tu sauras ou te reconvertir.
Je suis d'accord pour le vent, on parlait de tornades aussi, enfin tu l'avais compris, toi. (et toi aussi, ça te fait rire le terme "faire voler" )
A
AnonymousUser
Guest
-Asthenia a dit :
Je me suis renseignée auprès de mon père, passionné par la météo. Et effectivement c'est possible
.Vous ne faisiez pas ça, quand z'êtiez jeunes ?! Avec mon frère on adorait ça : on allait sur une jetée, près de la mer, en vacances ; ensuite on sautait sur place, normalement ; mais quand le vent était très fort, on bougeait en arrière de plusieurs centimètres. On volait, quoi !
(et sinon dans Smallville, eh ben même que Lana Lang est emportée par la tornade ! )
Avec mon frère on adorait ça : on allait sur une jetée, près de la mer, en vacances ; ensuite on sautait sur place, normalement ; mais quand le vent était très fort, on bougeait en arrière de plusieurs centimètres. On volait, quoi ! (et sinon dans Smallville, eh ben même que Lana Lang est emportée par la tornade !
)Je suis assez mitigée. A priori, je pense que ça ne me rendrait tout au moins pas malheureuse, parce que ce qui pourrait dans cette situation éventuellement engendrer cela, ce serait de n'avoir rien à faire pour 1) m'occuper l'esprit, et 2) m'épanouir; je pense que ça me rendrait barge. Or j'ai la chance (enfin, je sais bien que je ne suis heureusementpourlemonde pas privilégiée en la matière) d'avoir assez d'imagination pour sans cesse imaginer des tas de trucs que je pourrais/devrais faire avec passion. Ce n'est peut-être pas très clair... En fait, je pense que si j'étais femme au foyer, je consacrerai mon temps à mes enfants, ma maison, etc. mais aussi beaucoup à la création. Mais a posteriori, je pense que ce train de vie ne pourrait me satisfaire que très temporairement. Je suis trop versatile, et mon inconstance n'est ? je crois ? pas seulement un caprice d'adulescente, mais qu'elle fait véritablement partie de ma personnalité et devoir me passer d'elle serait sûrement, à la longue, oppressant puisque dénaturant.
Ça... dépend de la nature de l'engueulade, de son "degré", et, surtout, dudit copain et de sa manière de m'engueuler parce que ma réaction et plus particulièrement mon adaptation à la crise varient selon ces paramètres. S'il est du genre écrabouillant (je me comprends), je n'aurais pas la force de l'affronter et j'encaisserai, ferai l'autruche tout en gisant de douleur à l'intérieur sans rien n'y laisser paraître. Bien sûr, avec ce genre de types, la relation sera de toutes façons vouée à un cuisant échec.
Mais quant à ceux qui "en valent la peine", c'est vraiment aléatoire... Je suis une handicapée de la rancune car je prends tout sur moi, mais lorsque j'accumule trop de culpabilité, forcément, j'ai du mal à avancer et la relation en subit nécessairement les conséquences. Avec ces garçons-là, j'ai beaucoup plus de mal à faire semblant.Je pourrais m'en passer. En tout cas, si je suis un jour mariée, ce sera surtout symbolique. Mh, j'en pense pas grand-chose en fait, du mariage. Je n'ai jamais pris le temps d'y réfléchir sérieusement.
Ma mère appelle ça de "l'enculage de mouche": selon elle, philosopher n'a pas vraiment de rationalité. C'est vrai que disserter sur des problèmes philosophiques est un luxe en tant qu'un individu qui subissant des conditions de vie misérables aura peut-être plus primordial à faire que de "perdre" son temps à se demander des heures durant En quoi l'art peut-il nous donner à voir la réalité? ou à essayer d'expliquer le passage x de l'ouvrage y d'un auteur z ? si prestigieux soit-il. Mais bref, pour moi l'expression de ma mère est un peu exagérée; j'aime la philosophie. Étant en terminale et scientifique, je ne fais qu'en effleurer le galbe du bout des doigts et ce depuis quelques mois seulement. Néanmoins, j'attendais cette première approche avec impatience, j'avais hâte de découvrir cette matière qui est, et qui m'a toujours semblée complètement à part du reste de l'enseignement scolaire. Ce qui me plaît, c'est sans doute le fait que je n'aie pas vraiment à faire d'effort pénible pour faire de la philosophie, contrairement à la dose de motivation qu'il m'est nécessaire de cultiver afin de pouvoir faire des maths, de la géologie ou de la chimie, par exemple (totalement pris au hasard, il en va de soi
). J'aime apprendre les idées que l'on m'instruit, je trouve cette culture enrichissante et parfois même, je n'ai pas l'impression de "découvrir quelque chose" quand je lis certains textes, mais j'ai juste l'impression d'une sorte redécouverte, en mieux détourée, en mieux dit. Comme si les choses étaient déjà là, confusément, et que l'auteur y avait "seulement" mis un peu d'ordre et de discernement par ses mots.Wesley a dit :Vous ne faisiez pas ça, quand z'êtiez jeunes ?!
(et sinon dans Smallville, eh ben même que Lana Lang est emportée par la tornade !
Je n'avais jamais fais ça :o
J'y suis plutôt réfractaire. Je trouve ça inutile en plus de ne pas représenter une preuve d'amour à mes yeux, vu que le mariage peut se faire pour mille et une raisons... pas toujours fondées. Et puis ça me fait peur surtout. j'ai terriblement peur de me lier de la sorte avec quelqu'un, même si je l'aime beaucoup et que je sais que je ferai un bon bout de chemin avec lui. Une liaison sans mariage reste improbable, et c'est ce que je préfère. Le mariage n'est vraiment pas mon truc en fin de compte.
La philo m'attire, c'est indéniable. De là à dire que je l'aime? Je ne sais pas. Je la trouve souvent trop prise de tête, trop cérébrale, trop théorique, trop de paroles dans le vent... mais aussi paradoxalement, je pense qu'elle est capable de sauver des gens. La réflexion peut nous sauver, quand on est au plus bas et qu'on n'arrive plus à réfléchir correctement, qu'on n'a plus les idées claires. S'y intéresser par le biais de discussions, de lectures, d'exercices du type dissert, commentaires de textes permet de s'approprier peu à peu une pensée nouvelle. C'est fragile certes, puisque ce ne sont jamais que des mots, mais ça réconforte.
Donc, je suis partisane d'une philo à petite dose : il faut que l'expérience vienne se souder à côté, parce que l'une ne va pas sans l'autre.
Un partage d'impressions ( à propos de ce qu'on a sous les yeux ou pas ), racontage de vie plus ou moins involontaire, des banalités du genre " C'est pas mal ici, tu connaissais? ", parler de tout ce qui peut nous passer par la tête et qui peut être intéressant, on ne sait jamais.
En fait, c'est vachement dur de décrire comme ça. Ca se trouve sur le moment, c'est comme les gamines qui veulent savoir comment on embrasse, on répond à l'instinct. Là aussi, je répondrais à l'instinct. Et plus on se sent bien avec la personne, en osmose, moins on a besoin de chercher quelque chose à dire. On se laisse parler.
En fait, c'est vachement dur de décrire comme ça. Ca se trouve sur le moment, c'est comme les gamines qui veulent savoir comment on embrasse, on répond à l'instinct. Là aussi, je répondrais à l'instinct. Et plus on se sent bien avec la personne, en osmose, moins on a besoin de chercher quelque chose à dire. On se laisse parler.
Raconter les faits marquants de ton présent, poser des questions à l'autre, parler de choses que vous faites en commun dans la vie et débattre là-dessus eeeuh... elle est dure ta question ! Ca doit surtout être naturel, je pense.
A
AnonymousUser
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Atsu=> Je me reconnais exactement dans ce que tu dit. Je ne me trouve pas intéressante et quand les gens me posent des questions sur moi, j'évince et je les fait parler d'eux. Mais c'est vrai qu'au bout d'un moment, les gens finissent par s'en rendre compte...Mais parler de moi est vraiment quelque chose que j'ai en horreur.
Et moi aussi j'envie tellement les gens qui voient quelqu'un de sympa et qui engage la conversation, comme ça, avec tout et rien....
Et moi aussi j'envie tellement les gens qui voient quelqu'un de sympa et qui engage la conversation, comme ça, avec tout et rien....
