Shield;1978037 a dit :Mais par contre, Lu, j'avoue que je comprends pas l'intérêt d'être sous-a pour être sous-a, mis à part la satisfaction de pas avoir trop trop foiré les écrits. Parce que deux ans plus tard, ça semble déjà assez loin. Autant être ambitieuse et se donner les moyens. A moins d'être vraiment fragile ou de t'être rendue malade à la tâche, tu vas pas te suicider ou faire une dépression ou même juste faire la gueule pendant une semaine si tu ne réussis pas. Et si tu ne vises pas le meilleur, tu ne sauras jamais ce que ça aurait donné si tu t'étais complètement donnée. Je suis sûre et certaine qu'il vaut mieux essuyer un échec (surtout que ce genre d'échec donne à relativiser, et apporte aussi quelque chose de bon) plutôt que de vivre avec des regrets.
Pas bête... C'est vrai qu'il faut être exigeant vis-à-vis de soi-même. Mais bon, comme tu dis, si je déclarais ouvertement "bin oui, moi je veux être admise", les gens me regarderaient bizarrement.
Etre sous-a, c'était avant tout en ce qui concerne les équivalence au niveau de la BEL: (d'après ce que j'ai compris) les sous-a à l'ENS peuvent passer des oraux à l'ESIT pour obtenir une place directement en master, et après la 3ème année pour valider la licence se ferait à l'étranger.
Demain, conseil de classe. En tant que déléguée, je peux assister au cas par cas. Les profs nous ont prévenu, ça va chauffer :s