Mur des Lamentations
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
Message violent et insultant :
"Tu me soules à toujours me critiquer dès que je fais quelque chose sur irc. Certes, pour toi, je suis instable car je peux passer du coq à l'âne mais sache qu'en me critiquant comme ça, tu es un gros CON qui ne passe pas à autre chose. J'en peux plus de tes remarques à la noix dès que j'ouvre ma bouche.
Tu es vraiment un gros CON qui n'a rien d'autre à faire de sa vie que de critiquer les autres, je te PLAINS.
Heureusement que je n'ai pas vu en vrai car là je t'aurai tabassé à quel point tu me gaves.
Et puis reste avec les gens de ton espèce et ça ira beaucoup mieux!"
"Tu me soules à toujours me critiquer dès que je fais quelque chose sur irc. Certes, pour toi, je suis instable car je peux passer du coq à l'âne mais sache qu'en me critiquant comme ça, tu es un gros CON qui ne passe pas à autre chose. J'en peux plus de tes remarques à la noix dès que j'ouvre ma bouche.
Tu es vraiment un gros CON qui n'a rien d'autre à faire de sa vie que de critiquer les autres, je te PLAINS.
Heureusement que je n'ai pas vu en vrai car là je t'aurai tabassé à quel point tu me gaves.
Et puis reste avec les gens de ton espèce et ça ira beaucoup mieux!"
J'en peux plus des cours.
Je viens à peine de reprendre et j'ai déjà besoin de vacances.
Celles de février n'en étaient pas, j'ai passée mon temps à bosser sur mes rendus.
Je ne pense qu'aux cours, tout le temps, je n'arrive pas à relâcher le pression.
La journée ça va mais en ce moment, dès que je rentre chez moi, je craque, j'ai la nausée, impossible de manger, le ventre noué, j'ai envie de pleurer pour rien et de hurler.
Je supporte de moins en moins d'être seule à l'appart.
J'aurais tellement besoin qu'il soit là, mais je sais même pas si je pourrais rentrer le voir ce week-end.
Vivement que tout ça se tasse, que je redevienne normale.
Je viens à peine de reprendre et j'ai déjà besoin de vacances.
Celles de février n'en étaient pas, j'ai passée mon temps à bosser sur mes rendus.
Je ne pense qu'aux cours, tout le temps, je n'arrive pas à relâcher le pression.
La journée ça va mais en ce moment, dès que je rentre chez moi, je craque, j'ai la nausée, impossible de manger, le ventre noué, j'ai envie de pleurer pour rien et de hurler.
Je supporte de moins en moins d'être seule à l'appart.
J'aurais tellement besoin qu'il soit là, mais je sais même pas si je pourrais rentrer le voir ce week-end.
Vivement que tout ça se tasse, que je redevienne normale.
H
Harpo
Guest
Bon et bien c'est génial, les amis de mon père qui sont là ce soir ne savaient même pas que j'existais. La majorité d'entre eux a cru que j'étais là pour faire le service. Ok, je suis issue de son premier mariage, mais je trouve ça quand même relativement dingue qu'ils ne soupçonnaient même pas mon existence avant ce soir.
Je devrais poster dans les amis en carton mais en fait la, je suis juste super triste et déçue...
Ma meilleure amie (qui ne l'est plus d'ailleurs puisque quand je lui ai demandé "tu fais quoi ce week end" "je pars voir ma meilleure amie" euh ah ok) change terriblement et je ne la reconnais plus... Déjà je suis juste un peu déçue qu'on habite grand max a 80km l'une de l'autre et qu'elle ne veuille jamais me voir, mais qu'elle n'hésite pas a dépenser 200 euros pour voir une de ses potes qui habite carrément dans un autre pays, mais soit, je me suis tellement fait traiter comme une merde dans mes amitiés passées que je suis limite habituée. Mais ça me gaves juste qu'elle ne m'appelle, ne m'envoi des messages, ne me parle que pour me parler de ses mecs, et ça me gaves d'autant plus que je fais des efforts pour m'imaginer à sa place pour ainsi pouvoir mieux la conseiller, l'épauler, la consoler, l'aider, et l'écouter. Quand à moi, jamais elle ne me demande, jamais elle ne s'inquiète de s'avoir si tout va bien alors qu'elle est la seule à savoir certaines choses dures que j'arrive pas à avaler, et quand je prends les devants et que je lui dis que moi bah non, j'ai une baisse de régime, je repenses à certaines choses et ça me fait du mal, la seule chose qu'elle trouve à faire c'est, d'une part, de me répondre à moitié, mais en plus de se "réveiller" et en pleine conversation de me dire "attends, c'était pas y a genre 3 ans cette histoire" et moi, la cruche de dire "euh si mais tu sais bien que ça a duré sur beaucoup plus que ça, que ça m'a un peu marqué au fer rouge quoi. Mais bon, j'ai jamais pu en parler à personne et de toute façon personne ne m'aurait compris, d'ailleurs personne n'a remarqué que j'étais blessé, d'ailleurs c'est la ou tu mas manqué car je savais que sans mots tu aurais su me comprendre" , et elle de me dire ... "oui enfin bon, les gens blessent parce que y a peut être des raisons aussi, puis de toute façon au bout de tant de temps, les gens font ce qui veulent, tu vas pas exiger d'eux des trucs à la con non plus"
Wooh ... Quand on reçoit ça, ça fait un électrochoc. Surtout quand c'est une personne hyper proche ... J'attends toujours de mes amis de faire preuve de discernement et d'être franc avec moi, mais la c'est de la froideur qui n'était pas justifiée car je n'ai rien fait de ce dont elle me parle ... Et elle sait à quel point l'histoire dont on parlé m'a blessé et changé à vie ... Enfin bref, encore une fois je suis déçue déçue déçue, et ça ne sert à rien de mettre des putain de coeur sur mon mur facebook, j'en ai rien à foutre des coeurs sur mon mur, c'est tellement vide de sens quoi...
Je suis lassée et fatiguée de constater que TOUTES, toutes mes amitiés finissent par me décevoir. Peut être être ce que j'en attends trop ? Je voudrais tant avoir quelqu'un a qui me confier, qui saurait comprendre certaines choses, mais que je pourrais écouter aussi bien sur. Ou envoyer un message et dire "un resto ou un verre ce soir", qu'on puisse parler de tout et de rien, rire un peu. Mais j'ai l'impression que je ne mérites pas ça, je me sens enfermée dans quelque chose et ça me pompe l'air, parce que je suis sans arrêt de la recherche, mais j'ai l'impression que c'est ma personnalité qui cloche, comme si je ne méritais pas d'avoir de véritables amis à mes cotés .
Ma meilleure amie (qui ne l'est plus d'ailleurs puisque quand je lui ai demandé "tu fais quoi ce week end" "je pars voir ma meilleure amie" euh ah ok) change terriblement et je ne la reconnais plus... Déjà je suis juste un peu déçue qu'on habite grand max a 80km l'une de l'autre et qu'elle ne veuille jamais me voir, mais qu'elle n'hésite pas a dépenser 200 euros pour voir une de ses potes qui habite carrément dans un autre pays, mais soit, je me suis tellement fait traiter comme une merde dans mes amitiés passées que je suis limite habituée. Mais ça me gaves juste qu'elle ne m'appelle, ne m'envoi des messages, ne me parle que pour me parler de ses mecs, et ça me gaves d'autant plus que je fais des efforts pour m'imaginer à sa place pour ainsi pouvoir mieux la conseiller, l'épauler, la consoler, l'aider, et l'écouter. Quand à moi, jamais elle ne me demande, jamais elle ne s'inquiète de s'avoir si tout va bien alors qu'elle est la seule à savoir certaines choses dures que j'arrive pas à avaler, et quand je prends les devants et que je lui dis que moi bah non, j'ai une baisse de régime, je repenses à certaines choses et ça me fait du mal, la seule chose qu'elle trouve à faire c'est, d'une part, de me répondre à moitié, mais en plus de se "réveiller" et en pleine conversation de me dire "attends, c'était pas y a genre 3 ans cette histoire" et moi, la cruche de dire "euh si mais tu sais bien que ça a duré sur beaucoup plus que ça, que ça m'a un peu marqué au fer rouge quoi. Mais bon, j'ai jamais pu en parler à personne et de toute façon personne ne m'aurait compris, d'ailleurs personne n'a remarqué que j'étais blessé, d'ailleurs c'est la ou tu mas manqué car je savais que sans mots tu aurais su me comprendre" , et elle de me dire ... "oui enfin bon, les gens blessent parce que y a peut être des raisons aussi, puis de toute façon au bout de tant de temps, les gens font ce qui veulent, tu vas pas exiger d'eux des trucs à la con non plus"
Wooh ... Quand on reçoit ça, ça fait un électrochoc. Surtout quand c'est une personne hyper proche ... J'attends toujours de mes amis de faire preuve de discernement et d'être franc avec moi, mais la c'est de la froideur qui n'était pas justifiée car je n'ai rien fait de ce dont elle me parle ... Et elle sait à quel point l'histoire dont on parlé m'a blessé et changé à vie ... Enfin bref, encore une fois je suis déçue déçue déçue, et ça ne sert à rien de mettre des putain de coeur sur mon mur facebook, j'en ai rien à foutre des coeurs sur mon mur, c'est tellement vide de sens quoi...
Je suis lassée et fatiguée de constater que TOUTES, toutes mes amitiés finissent par me décevoir. Peut être être ce que j'en attends trop ? Je voudrais tant avoir quelqu'un a qui me confier, qui saurait comprendre certaines choses, mais que je pourrais écouter aussi bien sur. Ou envoyer un message et dire "un resto ou un verre ce soir", qu'on puisse parler de tout et de rien, rire un peu. Mais j'ai l'impression que je ne mérites pas ça, je me sens enfermée dans quelque chose et ça me pompe l'air, parce que je suis sans arrêt de la recherche, mais j'ai l'impression que c'est ma personnalité qui cloche, comme si je ne méritais pas d'avoir de véritables amis à mes cotés .
Je ne pas supporter la souffrance animale. L'abattage, la maltraitance, le spécisme. J'en suis malade toutes les secondes de ma vie.
Je fuis et il serait peut-être tant que je me l'avoue.
Autant, en temps "normal" je suis quelqu'un de fort, ma famille est sûre qu'elle peut se reposer sur moi, mais depuis quelques mois, je crois que je craque et que plus personne ne peut miser sur moi.
Depuis cet été, ma vie est un merdier sans fond. Mon père frôle la mort, sa copine a le cancer, l'homme que j'aime par vivre loin de moi, ma grand-mère tombe malade et ne peut plus vraiment être autonome (et comme je suis la seule disponible je m'occupe d'elle sauf que j'ai parfois l'impression d'être la seule), à force d'angoisses, j'ai lâché mes études et finalement mon père risque la rechute onnesaitpasquandmaisçaarrivera.
Au début j'étais là pour qui le voulait, mais là c'est trop. J'en fais toujours plus et ce n'est jamais suffisant pour qui que ce soit. Je suis toujours la "conne/méchante" de service dès qu'une merde se profile à l'horizon.
Alors, je craque : je n'appelle plus, ne donne plus de nouvelles (je me dis même parfois que je pourrais être morte, ça ne changerait pas grand chose : certains s'en foutent pas mal et les autres ont bien trop de problèmes pour penser à moi), je m'occupe moins des autres et je pars.
Sauf que voilà, ça me tue : je m'en veux, j'ai peur que les gens qui m'entourent ne sachent pas que je les aime. Et puis je perds tout.
Je me dis que si je m'éloigne, j'aurai plus de temps pour penser à moi, à ma vie, sauf que voilà ce n'est même pas le cas : je m'allonge et j'attends.
On m'a plusieurs fois dit que j'étais quelqu'un de très humain et que c'était vraiment appréciable. Ceux qui m'ont dis ça vont mal, mais j'ai peur de prendre de leurs nouvelles, parce que ça pourrait m'enfoncer un peu plus.
Alors voilà, je ne suis plus si humaine, je fuis et je perds tout alors je fuis encore plus. Je suis empêtrée dans un cercle vicieux et je n'ose pas taper du pied parce que je me dis que ça ne sers plus à grand chose vu le peu qu'il me reste.
Et puis merde, il n'y a personne pour moi, comme souvent : je suis bonne pour écouter, conseiller, consoler sauf que quand il s'agit, une fois de temps en temps, de m'écouter peu de portes sont encore ouvertes. Alors je fuis peut-être aussi parce qu'à force de me dire d'être moins gentille, ça finit par rentrer et je commence à le devenir, même si ça me fait chier !
@Solemnia : Big-up de compréhension.
Autant, en temps "normal" je suis quelqu'un de fort, ma famille est sûre qu'elle peut se reposer sur moi, mais depuis quelques mois, je crois que je craque et que plus personne ne peut miser sur moi.
Depuis cet été, ma vie est un merdier sans fond. Mon père frôle la mort, sa copine a le cancer, l'homme que j'aime par vivre loin de moi, ma grand-mère tombe malade et ne peut plus vraiment être autonome (et comme je suis la seule disponible je m'occupe d'elle sauf que j'ai parfois l'impression d'être la seule), à force d'angoisses, j'ai lâché mes études et finalement mon père risque la rechute onnesaitpasquandmaisçaarrivera.
Au début j'étais là pour qui le voulait, mais là c'est trop. J'en fais toujours plus et ce n'est jamais suffisant pour qui que ce soit. Je suis toujours la "conne/méchante" de service dès qu'une merde se profile à l'horizon.
Alors, je craque : je n'appelle plus, ne donne plus de nouvelles (je me dis même parfois que je pourrais être morte, ça ne changerait pas grand chose : certains s'en foutent pas mal et les autres ont bien trop de problèmes pour penser à moi), je m'occupe moins des autres et je pars.
Sauf que voilà, ça me tue : je m'en veux, j'ai peur que les gens qui m'entourent ne sachent pas que je les aime. Et puis je perds tout.
Je me dis que si je m'éloigne, j'aurai plus de temps pour penser à moi, à ma vie, sauf que voilà ce n'est même pas le cas : je m'allonge et j'attends.
On m'a plusieurs fois dit que j'étais quelqu'un de très humain et que c'était vraiment appréciable. Ceux qui m'ont dis ça vont mal, mais j'ai peur de prendre de leurs nouvelles, parce que ça pourrait m'enfoncer un peu plus.
Alors voilà, je ne suis plus si humaine, je fuis et je perds tout alors je fuis encore plus. Je suis empêtrée dans un cercle vicieux et je n'ose pas taper du pied parce que je me dis que ça ne sers plus à grand chose vu le peu qu'il me reste.
Et puis merde, il n'y a personne pour moi, comme souvent : je suis bonne pour écouter, conseiller, consoler sauf que quand il s'agit, une fois de temps en temps, de m'écouter peu de portes sont encore ouvertes. Alors je fuis peut-être aussi parce qu'à force de me dire d'être moins gentille, ça finit par rentrer et je commence à le devenir, même si ça me fait chier !
@Solemnia : Big-up de compréhension.
Tristana;2986941 a dit :
Ça me donne la gerbe plus que tout au monde aussi.Surtout en ce moment,avec cette polémique sur les conditions d?abatage des animaux.Des 'conditions d'abatage' quoi...Rien que le mot 'abatage' me dégoûte,et je ne parle même pas de ce qu'il évoque.
Quant à la viande hallal,que dire.Je tend à respecter tous les cultes religieux,mais certaines traditions ancestrales me répugnent au plus au point et me font regarder avec effroi certaines religions.
Et dire que j'étais encore venue me plaindre,Tristana,tu m'as retournée les tripes...
Mais puisque je suis là autant aller jusqu'au bout.
En effet,je ne m'étais pas connectée depuis deux semaines et voilà que je fais mon grand comme-back sur le mur des lamentations.C'est reparti.Je suis dans une période de tel stress en ce moment,que je suis presque tétanisée par mes angoisses.Je n'ai qu'un seul mot dans ma tête:le concours.Le pire dans tout ça,c'est que je ne suis absolument pas efficace.Plus l'échéance approche,et plus la pression me paralyse.J'ai vraiment pas envie de foirer,sinon c'est sûr,c'est une autre année de merde qui m'attend.Je suis une boule de nerfs là,et il faut absolument que je relègue tout au second plan si je veux optimiser mon temps libre.Amis,conservatoire,baby-sittings et sport vont passer à la trappe,et putain,qu'est-ce que ça m'angoisse.
Des fois je me demande vraiment ce que je fais ici.
J'ai rien, je veux dire je suis pas jolie, ni intelligente, je suis ni gentille, ni drôle, ni mignonne, ni rien. J'ai pas de personnalité, je change d'humeur toutes les cinq minutes.
Et je m'énerve à critiquer toutes les filles de mon lycée juste parce-qu'au fond elles ont toutes quelque chose de bien : celle-ci est super jolie, celle-là est trop gentille, l'autre trop amusante, elle a un super look, celle-ci est super intelligente. Et moi je suis rien. Je suis moche, bête, j'ai pas de personnalité et je suis pas drôle.
J'ai rien, je veux dire je suis pas jolie, ni intelligente, je suis ni gentille, ni drôle, ni mignonne, ni rien. J'ai pas de personnalité, je change d'humeur toutes les cinq minutes.
Et je m'énerve à critiquer toutes les filles de mon lycée juste parce-qu'au fond elles ont toutes quelque chose de bien : celle-ci est super jolie, celle-là est trop gentille, l'autre trop amusante, elle a un super look, celle-ci est super intelligente. Et moi je suis rien. Je suis moche, bête, j'ai pas de personnalité et je suis pas drôle.
