Mur des Lamentations

[Powpy]

J'ai vraiment peur de reprendre les cours.
J'ai peur que le même schéma que l'année dernière se répète. J'ai fait une dépression pendant quelques mois parce que je me sentais trop seule et je suis devenue dépendante de mon petit ami.
Je sais pourtant que je suis loin d'avoir un problème avec les autres : j'ai pas mal d'amies dans ma ville natale et je n'ai aucun souci lorsqu'elles me présentent leurs amis à leur tour.
C'est juste... A vrai dire je ne sais pas. L'an dernier je crois que j'ai beaucoup trop compté sur les autres. Je m'attendais à des sorties, des travaux de groupe, etc... Et me rendre compte que mes sois disant "potes" m'avaient totalement oublié pendant les vacances m'a fait tomber de très haut. Surtout qu'à côté de ça mon copain était très bien entouré lui.
Cette année j'ai l'occasion de tout reprendre à zéro. D'oublier toutes ces fausses amitiés qui m'ont empoisonné la vie. De prouver à mon copain que je ne suis pas aussi faible qu'il le croit.

Le problème c'est que je ne pars pas gagnante... J'ai des soucis familiaux qui ont commencé cet été. Ma mère m'a fait comprendre qu'en ce début d'année scolaire je ne pourrai compter que sur moi. En gros je n'ai pas intérêt à déprimer dans mon appart d'étudiante parce que le temps où mon père pouvait me rendre visite pendant son jour de congés est révolu.

Voilà. En plus j'ai conscience qu'avec mes problèmes familiaux je ne vais pas pouvoir endurer en plus de ça une déprime due à la solitude. Je ne suis pas assez forte.

 

[Nissana]

Pour faire dans l’originalité cette rentrée  me stresse tellement..
Je flippe de ne pas savoir parler aux gens et de me retrouver seule comme l'année dernière..
J'ai juste envie d'accélérer le temps jusque mi/novembre pour que tout les moments gênants des débuts soient passés..

En plus de cela mon copain va aller a la Fac également ce qui ne fait que me stresser encore plus pour trop d'éléments.

Bref je suis une stressé de la vie et c'est fatiguant dans la tête quand même. 

 

[novacaine]

J'ai l'impression de marcher sur des oeufs en ce moment, c'est pénible et en même temps je me complais dans cette pseudo-nostalgie destructrice mais confortable (et propice à la réflexion)…
J'aimerais lâcher prise, que ce soit avec lui ou un autre, mais juste lâcher prise sur cette vie calibrée et raisonnée que je me borne à suivre. Vivre autre chose, garder le coeur au bord des lèvres, comme avant, mais en mieux. Putain, j'ai tellement besoin de cet amour.

 

[leina-2]

Les 3 premiers jours de cours m'ont dépité.. J'étais sûre d'avoir trouvé enfin une formation qui me correspondait, sûre d'avoir fait le bon choix. Et finalement ses 3 jours furent les plus ennuyeux de ma vie... ça n'était pas des "vrais" cours mais plutôt une remise à niveau, alors j'espère que la suite sera mieux. ça m'a vraiment déprimé, surtout que tout le monde dans la classe semblait intéressé à part moi. Je me demandais vraiment ce que je faisais là..

Et puis j'ai peur de ne me lier à personne, j'ai parlé à quelques filles de ma classe, elles sont gentilles. Sans plus. Elles me semblent toutes si lisses et normales, sages, j'ai l'impression que je ne pourrais pas "m'adapter" à ça, je suis trop bizarre, alors j'ai besoin d'être amie avec des gens bizarres . J'aime le genre de personnes adeptes du second degrés, qui comprennent le cynisme, avec qui je peux partir dans des conversations totalement barrées..
Mes amies sont loin de moi et elles me manquent, je me sens vraiment seule. En plus je n'aime pas ma nouvelle ville, il y a beaucoup de beaufs et de kéké, et pas grand chose à faire pour s'occuper.

 

[Rayher]

L'emploi du temps bordel de la fac et puis le cours nul et puis mon manque de sommeil et puis j'habite seule et puis ma soeur me réponds pas et puis Il m'ignore et puis j'ai pas pu passer 30 seconde seule avec Y et puis je veux voir mes parents et puis mon "froid" avec elle et puis je les vois jamais et puis je pleure trop et puis les trajets et puis le bruit et puis septembre et puis voilà.

Trop d'angoisses pour ma conscience trop fragile en septembre. Trop d'adaptations à faire. Je suis fatiguée. Je veux du temps pour MOI.

 

[Mitchie]

J'ai pas trop le moral depuis quelques jours; l'an passé j'ai décide de passer les concours pour la formation dans lesquelles je voulais m'orienter.
M'y prennant un peu tard (étant à l'étranger pendant le premier semestre) je postules pour les concours dans les ecoles qui sont encores ouverte.
Je décides de passer le concours dans plusieurs ecoles dans ma ville et une autre école dans une ville d'une région plus éloigné car c'est le seul établissement venant d'une organisation  public (enfin dépendant de l'état) qui est encore disponible et je suppose que c'est ce genre d'établissement qui donne la meilleur formation pour la profession que je voulais et j'étais attirée par le fait que ce soit dans une autre région car j'avais très envie de quitter ma ville de changer cadre et de prendre mes distances avec certaines personnes de ma famille avec qui j'étais en froid.
Je suis prises dans presque toutes les écoles mais je décides de prendre la dernière pour les mêmes raisons cité plus tot, meilleur organisation, et envie de déménager.
Ma mère ne comprend pas mon choix car j'ai été prise dans les écoles de ma ville mais je lui expliquer que l'école de l'autre region est mieux, elle décide de m'aider financièrement avant que je recoive des aides et se porte cautionnaire de mon appart.
J'ai un peu de doute avant mais plus sur le ait d'avoir peur de pas aimer la formation, et puis sur le ait de partir loin dans une nouvelle ville.
Et la premier jour de rentrée, on dit que l'école vit une période difficile qu'elle a faillis fermer et son avenir est en encore très incertain (j'étais au courant de rien).
Et bien sur je commence à regretter mon choix je viens de si loin pour aller dans une ecole qui va peur etre fermer ou en tout cas mal fonctionner en cas de probleme, alors que j'aurais pu rester dans ma ville dans une des écoles certes privés moins connus mais qui fonctionnent mieux.
Le pire c'est que j'ose pas en parler à ma mère car je sais qu'elle va mal le prendre..
Et du coup ça me fait hésité aussi sur la profession que j'ai choisis si j'avais choisis un secteur qui marchait mieux j'aurais pas eu ce genre de problème.

 

[Zoïzzz]

J'ai pas trop le moral depuis quelques jours; l'an passé j'ai décide de passer les concours pour la formation dans lesquelles je voulais m'orienter.
M'y prennant un peu tard (étant à l'étranger pendant le premier semestre) je postules pour les concours dans les ecoles qui sont encores ouverte.
Je décides de passer le concours dans plusieurs ecoles dans ma ville et une autre école dans une ville d'une région plus éloigné car c'est le seul établissement venant d'une organisation  public (enfin dépendant de l'état) qui est encore disponible et je suppose que c'est ce genre d'établissement qui donne la meilleur formation pour la profession que je voulais et j'étais attirée par le fait que ce soit dans une autre région car j'avais très envie de quitter ma ville de changer cadre et de prendre mes distances avec certaines personnes de ma famille avec qui j'étais en froid.
Je suis prises dans presque toutes les écoles mais je décides de prendre la dernière pour les mêmes raisons cité plus tot, meilleur organisation, et envie de déménager.
Ma mère ne comprend pas mon choix car j'ai été prise dans les écoles de ma ville mais je lui expliquer que l'école de l'autre region est mieux, elle décide de m'aider financièrement avant que je recoive des aides et se porte cautionnaire de mon appart.
J'ai un peu de doute avant mais plus sur le ait d'avoir peur de pas aimer la formation, et puis sur le ait de partir loin dans une nouvelle ville.
Et la premier jour de rentrée, on dit que l'école vit une période difficile qu'elle a faillis fermer et son avenir est en encore très incertain (j'étais au courant de rien).
Et bien sur je commence à regretter mon choix je viens de si loin pour aller dans une ecole qui va peur etre fermer ou en tout cas mal fonctionner en cas de probleme, alors que j'aurais pu rester dans ma ville dans une des écoles certes privés moins connus mais qui fonctionnent mieux.
Le pire c'est que j'ose pas en parler à ma mère car je sais qu'elle va mal le prendre..
Et du coup ça me fait hésité aussi sur la profession que j'ai choisis si j'avais choisis un secteur qui marchait mieux j'aurais pas eu ce genre de problème.

Je comprend très bien ce que tu ressens. J'ai suivi une filière pendant 4 ans et cette année, décisive car la dernière ne m'est pas ouverte et j'ai fait 4 ans d'étude pour rien.
Mais si on voyait toujours les débouchés, on ferait tous charpentier. Vaut mieux faire une métier qui t'intéresse même si tu en chie pour y accéder plutôt qu'un métier très demandé mais où tu te fait gravement chier …

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[Mitchie]

Je comprend très bien ce que tu ressens. J'ai suivi une filière pendant 4 ans et cette année, décisive car la dernière ne m'est pas ouverte et j'ai fait 4 ans d'étude pour rien.
Mais si on voyait toujours les débouchés, on ferait tous charpentier. Vaut mieux faire une métier qui t'intéresse même si tu en chie pour y accéder plutôt qu'un métier très demandé mais où tu te fait gravement chier …

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Merci beaucoup là c'est un mélange de choses même si la formation me plait est ce que je suis prêt à faire le sacrifice d'être dans une ecole qui fonctionne mal et qui risque de fermer sans que je sois diplomé, et c'est pas une fac je peux changer facilement.
Je me demandes si la profession vaut vraiment le coup de galérer a avoir ce diplome, si ca soit pas mieux que j'ailles dans des études qui m'ont fait rever mais qui sont aussi bouchés, et je sais pas du tout si j'ai les compétences pour (sachant que j'ai fais beaucoup de sacrifices pour la formation que je fais là); ou faire des étude des plus surs.
Quand je vois mes copines qui ont des vois plus serieuses surs, par exemple prepa maths sups qui ont eu du mal galérer mais qui maintenant se trouvent dans ecoles qui fonctionnent super bien qui risquent pas de fermer d'un jour à l'autre et avec pleins d'opportunités après.
Enfin compliqué, mais merci pour ta réponse .

 

[Pseudo Déjà Pris]

Je me sens profondément malheureuse.

1. Cela fait plus d'un an que je cherche, mais je n'ai toujours pas de boulot.
2. Je n'ai pas de mec, à entendre un mec sérieux, une relation construite, où on sent qu'on a bâti quelque chose de solide. En découle le sentiment d'une grande solitude, d'un profond mal-être, l'impression de n'être aimée par personne, d'être transparente, d'être seule à porter ce fardeau insupportable.
3. Cela fait 4 mois que je me ruine avec mon permis (cours de conduite) et je ne suis pas du tout prête pour l'examen.

Parfois, je me demande pourquoi je me lève le matin, je me demande si la vie vaut vraiment la peine d'être vécue, s'il ne vaut pas mieux tout abandonner.

 

[Amanite Phalloïde]

Je me sens totalement vide.

Je n'ai pas vraiment de raisons de continuer à vivre en fait quand je regarde bien. Je n'ai pas d'amis, pas de passions, je ne fais pas un métier que j'aime, pas du tout, c'est purement alimentaire et le pire c'est que je ne sais absolument pas par où commencer pour changer les choses. Je ne me plais pas physiquement, je n'ai plus été à la salle de sport depuis un mois et c'était à peu près l'une des seules choses dont j'étais fière.

Ça fait une semaine que j'ai peur de sortir de chez moi, je suis en arrêt et je suis censée reprendre le boulot vendredi, je ne m'en sens absolument pas capable. Devoir être aimable avec tous ces clients, irrespectueux au possible, mes patronnes qui passent leur temps à me dire noir pour ensuite dire que non c'est blanc, cette collègue qui me bouffe les nerfs petit à petit.

Ma vie est à chier tandis que tous mes ex amis eux, sont encore dans leurs études qu'ils réussissent. Ils font leur rentrée, font des soirées, rencontrent des gens, apprennent chaque jour de nouvelles choses. Je me sens comme une merde.

 

[Treize]

Je crois qu'il va falloir que je m'avoue à moi-même que ça ne va pas du tout..

 

[Blodeuwez]

Parfois je me dis que me faire virer serait la meilleure chose qui pourrait m'arriver. Ça me foutrait un gros coup de pieds au cul et j'arrêterai de me complaire dans un job qui me fait chier et je commencerai enfin à cherche un boulot qui me plait et dans lequel je m’épanouis.