@LovelyLexy Tout d'abord bon courage à toi.
Je dirais aussi d'y aller franchement - dis-leur que tu es raciste, validiste, d'extrême-droite, et pour l'ébouillantage des petits chatons. Ces harceleurs, tu ne les repousses pas parce qu'ils sont racisés, handicapés, ou souffrent d'une quelconque oppression, mais parce qu'ils te harcèlent. La raison pour laquelle tu les repousses n'est pas raciste, validiste, ou oppressive en soi.
Et je dirais même que là, dans cette situation, c'est l'inverse : c'est toi qui souffre d'une oppression : tu subis le sexisme. Je dirais aussi que c'est sûrement volontaire de leur part que de te faire du chantage avec ton sens de la justice : "si tu ne fais pas ce que je veux, c'est que tu es raciste". C'est se servir de ta gentillesse ou de ta droiture pour mieux te coincer, parce qu'ils te mettent dans une situation où la seule façon de t'en sortir est d'utiliser un comportement qui serait condamné comme offensant. C'est de leur part manipuler sciemment les règles de vie en société et les règles de politesse pour obtenir ce qu'ils veulent.
Tu n'es pas l'oppresseure dans cette situation, mais la victime.
Pour ce qui est de la personne en état de handicap mental, il est possible qu'elle ne mesure pas toutes les conséquences de ses actes (je n'en sais rien en fait, mais je crois que le cas est spécifique et doit être traité à part) et qu'elle ne soit pas forcément malveillante, mais, même là, non c'est non. Tu as aussi le droit au respect de l'intégrité de ton corps et de ta personne, et il ne faut pas avoir peur de l'affirmer (c'est plus facile à dire qu'à faire ) ; il n'est pas normal que tu ne te sois pas sentie en possibilité de dire non, et que ce non ne soit pas respecté. On doit toujours avoir la possibilité de dire non. On doit toujours pouvoir affirmer son consentement ou son non-consentement, et ce quelle que soit la situation. Et n'ayant donné ton accord en rien, tu ne l'as trahi en rien.
Je dirais aussi d'y aller franchement - dis-leur que tu es raciste, validiste, d'extrême-droite, et pour l'ébouillantage des petits chatons. Ces harceleurs, tu ne les repousses pas parce qu'ils sont racisés, handicapés, ou souffrent d'une quelconque oppression, mais parce qu'ils te harcèlent. La raison pour laquelle tu les repousses n'est pas raciste, validiste, ou oppressive en soi.
Et je dirais même que là, dans cette situation, c'est l'inverse : c'est toi qui souffre d'une oppression : tu subis le sexisme. Je dirais aussi que c'est sûrement volontaire de leur part que de te faire du chantage avec ton sens de la justice : "si tu ne fais pas ce que je veux, c'est que tu es raciste". C'est se servir de ta gentillesse ou de ta droiture pour mieux te coincer, parce qu'ils te mettent dans une situation où la seule façon de t'en sortir est d'utiliser un comportement qui serait condamné comme offensant. C'est de leur part manipuler sciemment les règles de vie en société et les règles de politesse pour obtenir ce qu'ils veulent.
Tu n'es pas l'oppresseure dans cette situation, mais la victime.
Pour ce qui est de la personne en état de handicap mental, il est possible qu'elle ne mesure pas toutes les conséquences de ses actes (je n'en sais rien en fait, mais je crois que le cas est spécifique et doit être traité à part) et qu'elle ne soit pas forcément malveillante, mais, même là, non c'est non. Tu as aussi le droit au respect de l'intégrité de ton corps et de ta personne, et il ne faut pas avoir peur de l'affirmer (c'est plus facile à dire qu'à faire ) ; il n'est pas normal que tu ne te sois pas sentie en possibilité de dire non, et que ce non ne soit pas respecté. On doit toujours avoir la possibilité de dire non. On doit toujours pouvoir affirmer son consentement ou son non-consentement, et ce quelle que soit la situation. Et n'ayant donné ton accord en rien, tu ne l'as trahi en rien.
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