Whitemountain
- You see the moon is bright in that treetop night
@marie2306 Oui moi aussi car les pensées des personnages avaient une grande place dans le livre en plus. Mais si j'arrive à la trouver, je regarderai par curiosité...
Quel livre lisez-vous en ce moment ?
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
-
- Mots-clés
- les essentiels
Pas très drôle ni très divertissant ce que je propose mais un livre très, très intéressant :
La disparition de Josef Mengele d'Olivier Guez
Pour resituer le personnage, Josef Mengele, enfant de la bourgeoisie industrielle de Bavière, docteur en anthropologie et en médecine, entré au parti nazi en 1937 et dans la SS en 1938, effectua une partie de sa carrière comme médecin à Auschwitz en 1943, après un passage sur le front de l'est qui lui vaut de la décoration militaire, se spécialise dans la génétique, à Auschwitz trie les déportés et se réserve les jumeaux et jumelles pour se livrer à d'horribles expériences médicales n'aboutissant à rien. En 1945, bien qu'ayant gardé son identité, les Américains (mais aussi les Soviétiques) ne le coincent pas comme criminel de guerre. Il n'est pas jugé à Nuremberg ni lors du procès des blouses blanches. Néanmoins, se sachant répertorié, En 1949, aidé par un réseau d'anciens SS, il se rend en Italie où la Croix-Rouge lui délivre un passeport pour l'Argentine sous un nouveau nom.
La disparition de Josef Mengele ne s'étale pas sur ce qu'il a fait dans les camps même si cela est bien situé dans le livre. O.Guez s'est attaché à la cavale de J. Mengele depuis son départ en 1949 pour l'Argentine jusqu'à son décès en 1976 au Brésil alors qu'il prenait un bain de mer. Olivier Guez explique la mécanique qui a permis à ce criminel d'échapper à ses poursuivants dont le Mossad. Et cette cavale bien que pas prévue ni même imaginée pendant l'adolescence, la jeunesse et la carrière nazie de Mengele, prend racine dans la classe bourgeoise dont il est issu. Si on ajoute à cela les organisations d'entraides SS après la guerre depuis l'Amérique du Sud, les ratlines, le Vatican, la complaisance des états argentin, brésilien, le je m'en bats l'oeil de la CIA etc...J. Mengele avait plus de chances de s'en sortir qu'un Adolf Eichmann kidnappé par le Mossad au tout début des années 60, embarqué en Israël, jugé et pendu ou d'un Klaus Barbie repéré officiellement en 1972, extradé vers la France en 1983, jugé en 1987 et décédé lors de sa détention en 1991. Pourquoi J. Mengele échappe à ce sort ?
C'est ce que nous explique Olivier Guez en mettant sur la table toutes les failles, tous les bénéficies, toutes les ficelles, tout l'argent, tous les stratagèmes de la famille Mengele restée en Allemagne pour protéger son rejeton etc...consacrés et au service de J. Mengele qui avait pu récupéré sa vraie identité dès les années 50 auprès de l'ambassade d'Allemagne.
C'est un livre qui se lit comme une enquête policière et journalistique. C'est pas très long mais c'est prenant.
J'avoue ce n'est pas joyeux mais au détour de certaines pages l'auteur sait faire preuve d'un certain humour noir (vu le personnage).
La disparition de Josef Mengele d'Olivier Guez
Pour resituer le personnage, Josef Mengele, enfant de la bourgeoisie industrielle de Bavière, docteur en anthropologie et en médecine, entré au parti nazi en 1937 et dans la SS en 1938, effectua une partie de sa carrière comme médecin à Auschwitz en 1943, après un passage sur le front de l'est qui lui vaut de la décoration militaire, se spécialise dans la génétique, à Auschwitz trie les déportés et se réserve les jumeaux et jumelles pour se livrer à d'horribles expériences médicales n'aboutissant à rien. En 1945, bien qu'ayant gardé son identité, les Américains (mais aussi les Soviétiques) ne le coincent pas comme criminel de guerre. Il n'est pas jugé à Nuremberg ni lors du procès des blouses blanches. Néanmoins, se sachant répertorié, En 1949, aidé par un réseau d'anciens SS, il se rend en Italie où la Croix-Rouge lui délivre un passeport pour l'Argentine sous un nouveau nom.
La disparition de Josef Mengele ne s'étale pas sur ce qu'il a fait dans les camps même si cela est bien situé dans le livre. O.Guez s'est attaché à la cavale de J. Mengele depuis son départ en 1949 pour l'Argentine jusqu'à son décès en 1976 au Brésil alors qu'il prenait un bain de mer. Olivier Guez explique la mécanique qui a permis à ce criminel d'échapper à ses poursuivants dont le Mossad. Et cette cavale bien que pas prévue ni même imaginée pendant l'adolescence, la jeunesse et la carrière nazie de Mengele, prend racine dans la classe bourgeoise dont il est issu. Si on ajoute à cela les organisations d'entraides SS après la guerre depuis l'Amérique du Sud, les ratlines, le Vatican, la complaisance des états argentin, brésilien, le je m'en bats l'oeil de la CIA etc...J. Mengele avait plus de chances de s'en sortir qu'un Adolf Eichmann kidnappé par le Mossad au tout début des années 60, embarqué en Israël, jugé et pendu ou d'un Klaus Barbie repéré officiellement en 1972, extradé vers la France en 1983, jugé en 1987 et décédé lors de sa détention en 1991. Pourquoi J. Mengele échappe à ce sort ?
C'est ce que nous explique Olivier Guez en mettant sur la table toutes les failles, tous les bénéficies, toutes les ficelles, tout l'argent, tous les stratagèmes de la famille Mengele restée en Allemagne pour protéger son rejeton etc...consacrés et au service de J. Mengele qui avait pu récupéré sa vraie identité dès les années 50 auprès de l'ambassade d'Allemagne.
C'est un livre qui se lit comme une enquête policière et journalistique. C'est pas très long mais c'est prenant.
J'avoue ce n'est pas joyeux mais au détour de certaines pages l'auteur sait faire preuve d'un certain humour noir (vu le personnage).
J'ai été dans les librairies avec mon père 
J'ai pris
4 livres de James Rollins : La clé de l'apocalypse et la Colonie du diable dans la série Sigma Force + deux stands alone La civilisation des Abysses et Le fléau d'Eden. Et le mois prochain sort le tout dernier tome de Sigma Force en grand format ET celui d'avant en poche
On a tué mes enfants de Ann Rule. Une mère de famille arrive à l'hôpital (ou la police je sais plus) en prononçant ses mots, mais et si c'était elle qui avait tué sa famille ?
Jeu de dames de Nicolas Druart. Un meurtre, trois témoins qui prennent la fuite et un tueur en série dans la nature.
Je l'ai lu entre hier soir et aujourd'hui pour le laisser à mon père, et j'ai compris très vite qui était le tueur en série, mais pas tout le truc autour des SMS reçus par les témoins.
Et mon père s'est acheté 10 livres
"Faut que je le range vite avant que ta mère les voit sinon elle va me tuer" je lui piquerai Quarantaine de Peter May quand je les reverrai dans quelques mois, à moins que je le trouve à la médiathèque avant.
Also j'ai commandé 3 livres que Amazon
After the silence de Louise O'Neill, un thriller irlandais
After the fire de Jo Spain, un thriller irlandais ()
Wanderers de Chuck Wendig, un sf post apo. Il vient de sortir en français (Les Somnambules) et je me demande comment ils ont réussi à faire un livre de presque 1200 pages en français alors qu'il en fait "que" 800 en anglais, 400 pages de rab ça me semble énorme (et apparemment les caractères et les marges sont pas particulièrement larges)
J'ai pris
4 livres de James Rollins : La clé de l'apocalypse et la Colonie du diable dans la série Sigma Force + deux stands alone La civilisation des Abysses et Le fléau d'Eden. Et le mois prochain sort le tout dernier tome de Sigma Force en grand format ET celui d'avant en poche
On a tué mes enfants de Ann Rule. Une mère de famille arrive à l'hôpital (ou la police je sais plus) en prononçant ses mots, mais et si c'était elle qui avait tué sa famille ?
Jeu de dames de Nicolas Druart. Un meurtre, trois témoins qui prennent la fuite et un tueur en série dans la nature.
Je l'ai lu entre hier soir et aujourd'hui pour le laisser à mon père, et j'ai compris très vite qui était le tueur en série, mais pas tout le truc autour des SMS reçus par les témoins.
Ce contenu est réservé aux membres inscrit.es. Inscris-toi par ici.
Et mon père s'est acheté 10 livres
"Faut que je le range vite avant que ta mère les voit sinon elle va me tuer" je lui piquerai Quarantaine de Peter May quand je les reverrai dans quelques mois, à moins que je le trouve à la médiathèque avant. Also j'ai commandé 3 livres que Amazon
After the silence de Louise O'Neill, un thriller irlandais
After the fire de Jo Spain, un thriller irlandais (
) Wanderers de Chuck Wendig, un sf post apo. Il vient de sortir en français (Les Somnambules) et je me demande comment ils ont réussi à faire un livre de presque 1200 pages en français alors qu'il en fait "que" 800 en anglais, 400 pages de rab ça me semble énorme (et apparemment les caractères et les marges sont pas particulièrement larges)
J'ai terminé samedi les 3 tomes de La quête d'Ewilan.
Livre pour adolescents, j'avoue que je n'ai plus du tout l'habitude de lire des romans donc mon avis est peut être assez tranché.
J'ai beaucoup aimé le T3, apprécié le T2 et pas accroché au T1 qui pose les bases de l'histoire. Après je dois dire que l'idée du livre est pas mal, donc je vais continuer la saga (surtout par curiosité). Par contre j'ai eu quelques soucis avec un personnage "important" qui dans cette trilogie se présente comme un peu le "boulet".
Et j'ai terminé le T1 de Narnia.
Hier j'ai voulu attaquer une nouvelle série, j'hésitais entre les deux suivants ; Le sorceleur et Red Rising.
Mon idée était de continuer celui qui allait m'intéresser le plus, bien qu'ils soient complètement différents.
Je pense continuer le Sorceleur ce soir.
En fait, Red Rising était vendu comme le genre "Hunger game" (à cause des classes et du pouvoir qu'on leur attribut), mais en fait c'est beaucoup, beaaaaau-coup plus cru et moins pipou que ce que je pensais (je pense aussi être passée à côté d'une information importante, donc il faut que je le reprenne depuis le début). Par contre l'histoire a l'air intéressante, donc il n'est pas impossible que je switch entre les 2 livres quelques fois..
Livre pour adolescents, j'avoue que je n'ai plus du tout l'habitude de lire des romans donc mon avis est peut être assez tranché.
J'ai beaucoup aimé le T3, apprécié le T2 et pas accroché au T1 qui pose les bases de l'histoire. Après je dois dire que l'idée du livre est pas mal, donc je vais continuer la saga (surtout par curiosité). Par contre j'ai eu quelques soucis avec un personnage "important" qui dans cette trilogie se présente comme un peu le "boulet".
Et j'ai terminé le T1 de Narnia.
Hier j'ai voulu attaquer une nouvelle série, j'hésitais entre les deux suivants ; Le sorceleur et Red Rising.
Mon idée était de continuer celui qui allait m'intéresser le plus, bien qu'ils soient complètement différents.
Je pense continuer le Sorceleur ce soir.
En fait, Red Rising était vendu comme le genre "Hunger game" (à cause des classes et du pouvoir qu'on leur attribut), mais en fait c'est beaucoup, beaaaaau-coup plus cru et moins pipou que ce que je pensais (je pense aussi être passée à côté d'une information importante, donc il faut que je le reprenne depuis le début). Par contre l'histoire a l'air intéressante, donc il n'est pas impossible que je switch entre les 2 livres quelques fois..
Woh que de lecture en ce moment! C'était un plaisir de vous lire ^^
Moi qui rame toujours en ce moment...
J'ai passé une semaine de télétravail chez mes parents pour changer d'air pendant que mon copain était en formation et j'ai pas avancé dans mes lectures! Enfin j'ai profité que j'étais chez mes parents j'ai relu des mangas ^^
Puis une amie m'a signalé qu'elle m'avait prêté il y a 9 mois La grammaire est une chanson douce, Les chevaliers du subjonctif et La révolte des accents d'Erick Orsenna que je n'avais toujours pas lu je me suis dépêchée de les lire pour les lui rendre. C'était de bonnes lectures j'ai passé un bon moment ^^
J'ai toujours en cours Maîtresse de l'Empire de Raymond E. Feist et Janny Wurst c'est toujours aussi bien mais j'ai peur pour le personnage principal donc j'avance pas
je pense que ce n'est qu'une question de temps avant que je me décide à lire les dernières pages pour me lancer!
Ce livre étant assez gros (960 pages), ça fait les poignets quand tu lis au lit donc j'ai commencé un livre plus léger (au sens physique pas le sujet) Visas pour 6000 vies de Sugihara Yukiko qui raconte son histoire et celle de son mari Sugihara Chiune consul du Japon en Lituanie dans les années 40. Il a délivré à 6000 juifs fuyant les nazis des visas de transit pour qu'ils puissent se rendre au Japon via la Russie pour après rejoindre depuis le Japon un endroit où ils seraient en sécurité. En délivrant ces visas il a désobéi aux ordres de sa hiérarchie et a été renvoyé de l'administration japonaise après la guerre, il n'a été réhabilité qu'après sa mort en 1986. J'en suis encore au début mais je suis très curieuse de découvrir cette histoire!
Moi qui rame toujours en ce moment...
J'ai passé une semaine de télétravail chez mes parents pour changer d'air pendant que mon copain était en formation et j'ai pas avancé dans mes lectures! Enfin j'ai profité que j'étais chez mes parents j'ai relu des mangas ^^
Puis une amie m'a signalé qu'elle m'avait prêté il y a 9 mois La grammaire est une chanson douce, Les chevaliers du subjonctif et La révolte des accents d'Erick Orsenna que je n'avais toujours pas lu je me suis dépêchée de les lire pour les lui rendre. C'était de bonnes lectures j'ai passé un bon moment ^^
J'ai toujours en cours Maîtresse de l'Empire de Raymond E. Feist et Janny Wurst c'est toujours aussi bien mais j'ai peur pour le personnage principal donc j'avance pas
je pense que ce n'est qu'une question de temps avant que je me décide à lire les dernières pages pour me lancer!Ce livre étant assez gros (960 pages), ça fait les poignets quand tu lis au lit donc j'ai commencé un livre plus léger (au sens physique pas le sujet) Visas pour 6000 vies de Sugihara Yukiko qui raconte son histoire et celle de son mari Sugihara Chiune consul du Japon en Lituanie dans les années 40. Il a délivré à 6000 juifs fuyant les nazis des visas de transit pour qu'ils puissent se rendre au Japon via la Russie pour après rejoindre depuis le Japon un endroit où ils seraient en sécurité. En délivrant ces visas il a désobéi aux ordres de sa hiérarchie et a été renvoyé de l'administration japonaise après la guerre, il n'a été réhabilité qu'après sa mort en 1986. J'en suis encore au début mais je suis très curieuse de découvrir cette histoire!
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
J'ai terminé La chute d'Albert Camus (poke @miss.acacia). Comme les deux autres que j'ai lus, ce livre m'a parlé, Camus sait universaliser les traits humains, c'est fou. Mon préféré restera La peste même si La chute le talonne. Question de style: j'avais vraiment aimé le ton détaché du premier, alors qu'ici il y a une certaine verve, des pointes fiévreuses, le narrateur s'emballe avant de retomber dans la simple constatation. Il faudrait maintenant que je découvre ses pièces, même si le théâtre n'est pas le genre que j'affectionne le plus...
En attendant, j'ai enfin pu me procurer Le génie lesbien d'Alice Coffin qui a été tant décriée apparemment. N'étant pas du tout au fait des événements, même si le nom de l'autrice ne m'est pas inconnu, je pars sans a-priori.
En attendant, j'ai enfin pu me procurer Le génie lesbien d'Alice Coffin qui a été tant décriée apparemment. N'étant pas du tout au fait des événements, même si le nom de l'autrice ne m'est pas inconnu, je pars sans a-priori.
Je suis en train de relire Harry Potter 4 (avec l'objectif de tous les relire), et j'avais oublié tellement de détails !! J'ai vraiment l'impression que c'est à partir du 4 que l'histoire prend un tournant, déjà le livre est plus gros et puis il y a tant de petites choses qui vont prendre de l'importance par la suite.
Je suis ravie de me replonger dans cet univers !
Je suis ravie de me replonger dans cet univers !
J'ai fini "les 7 morts d'Evelyn Hardcastle" et heureusement que c'était en audio parce qu'après le chapitre 10, j'en pouvais plus. Du coup je me suis spoil un peu et au final, j'ai continué.. J'ai vraiment aimé à partir du chapitre 30, mais j'ai trouvé la fin/résolution un peu faiblarde. Néanmoins, je regrette pas.
J'ai fini "les rats" de James Herbert aujourd'hui, vu que j'avais lu ça étant gamine, je voulais voir si mon avis dessus avait changé. C'était très rapide comme narration, voir trop à certains endroits. Mais c'était fun et plutôt agréable à lire. J'avais pris la version anglaise cette fois, mais je lirais la suite en français.
Du coup, j'ai commencé aujourd'hui la lecture de "les survivants" de Read Piers Paul. Ça raconte comment des passagers d'un avion qui s'est crashé dans les Andes en 72 ont réussi à survivre. Pas la lecture la plus joyeuse qui m'attends mais ça remplit mon bingo de lecture pour cette année..
J'ai fini "les rats" de James Herbert aujourd'hui, vu que j'avais lu ça étant gamine, je voulais voir si mon avis dessus avait changé. C'était très rapide comme narration, voir trop à certains endroits. Mais c'était fun et plutôt agréable à lire. J'avais pris la version anglaise cette fois, mais je lirais la suite en français.
Du coup, j'ai commencé aujourd'hui la lecture de "les survivants" de Read Piers Paul. Ça raconte comment des passagers d'un avion qui s'est crashé dans les Andes en 72 ont réussi à survivre. Pas la lecture la plus joyeuse qui m'attends mais ça remplit mon bingo de lecture pour cette année..
Je peine sur Afropea, de Léonora Miano. Il me reste soixante-dix pages à lire et j'ai commencé à lire en diagonale. Son propos est intéressant mais j'aurais apprécié des chapitres plus courts et moins de répétitions (elle démontre plusieurs fois la même chose en prenant plusieurs exemples, à plusieurs pages d'intervalle et ça donne un peu le mal de mer) et j'ai commencé Gringoland, le premier roman de Julien Blanc-Gras. La prose est très musclée, avec une tendance à la satire mais le côté hétéro-virile me fatigue un peu (pas dans le sens où son narrateur serait un mal alpha hein, il s'agit d'un loser lucide qu'on est censé trouver sympathique mais franchement, réduire (deux fois, en moins de trente pages) des personnages féminins à des poitrines flottantes (en mode blason moderne trash), c'est chiant, c'est naze, ça saoule). J'avais pas remarqué ça avec Touriste.
j'ai lu trop de bouquins depuis mon dernier passage pour parler de tous.
d'excellentes surprises avec rebecca de du maurier et silas marner de george elliot.
mes lectures d'aujourd'hui sont un peu mélangées dans mon crâne, mais pour ma défense, j'ai fini 4 bouquins. et pas des petits.
d'excellentes surprises avec rebecca de du maurier et silas marner de george elliot.
mes lectures d'aujourd'hui sont un peu mélangées dans mon crâne, mais pour ma défense, j'ai fini 4 bouquins. et pas des petits.
nezentrompette
Le train de vie d'une noix de Saint-Jacques
J'ai lu Le génie lesbien d'Alice Coffin quasi d'une traite. Woaw: moi qui l'avais choisi "pour me faire une idée de la question" et qui pensais me sentir exclue du propos (étant hétéro), je me suis tellement sentie concernée par ce qu'elle dit! Déjà parce qu'elle ouvre son propos au féminisme et fait un parallèle avec les questions de racisme, et puis juste parce que la situation qu'elle décrit, qu'elle vit (subit) m'a totalement interpelée et m'a ouvert les yeux sur pas mal de points.
C'est quand on revient aux sources qu'on se rend compte à quel point le journalisme, les reprises de propos hors contexte, modèle une personne sur la scène publique. Je m'attendais à un livre haineux, avec des idées taillées à la serpe (woui woui, à ce point) et je tombe sur une femme certes mordante, mais fière et passionnée (à raison!), qui a un discours construit, sensé, étayé et qui met les choses à plat. Alice Coffin m'a convaincue.
Je ne sais pas si je dois me pelotonner en position foetale en pensant au monde biaisé dans lequel on vit ou si je dois applaudir qu'il y ait encore de belles personnes comme elle qui a le courage de revendiquer et lutter.
C'est quand on revient aux sources qu'on se rend compte à quel point le journalisme, les reprises de propos hors contexte, modèle une personne sur la scène publique. Je m'attendais à un livre haineux, avec des idées taillées à la serpe (woui woui, à ce point) et je tombe sur une femme certes mordante, mais fière et passionnée (à raison!), qui a un discours construit, sensé, étayé et qui met les choses à plat. Alice Coffin m'a convaincue.
Je ne sais pas si je dois me pelotonner en position foetale en pensant au monde biaisé dans lequel on vit ou si je dois applaudir qu'il y ait encore de belles personnes comme elle qui a le courage de revendiquer et lutter.
J'ai fini Un autre jour de Valentin Musso :
Ce thriller psychologique met en scène Adam, architecte de 41 ans qui vit avec l’amour de sa vie, Claire. Un matin, alors qu’elle passait le week-end dans la maison de ses parents, Claire est assassinée. La vie d’Adam vole en éclat. Mais il va découvrir qu’il existe pire que de perdre son amour : la perdre une seconde fois… Il va expérimenter la sensation de déjà-vu et la peur de venir malade… Ce roman plein de suspens et de cauchemar est haletant. J’ai beaucoup aimé la première moitié du livre qui est addictive, l’action et l’intrigue vont vite, de déstabilisation en rebondissements. Rien n’est prévisible (et peut-être un peu tiré par les cheveux)
Un coup de coeur : Radium girls - Cy
Cette BD de Cy, tout au crayon de couleur dans un camaïeu de violet et de vert, raconte la vie d’un groupe d’amies dans les années 20 aux Etats-Unis. Elles travaillent toutes dans une usine de montres et leur métier consiste à peindre les cadrans au radium (pour qu’ils soient phosphorescents) avec la technique Lip-Dip-Paint. Cette technique consiste à lisser le pinceau avec les lèvres puis à peindre avec une peinture au radium. Dans le contexte de la Prohibition, ce groupe d’amies sort dans les bars le soir, par jeu elles se peignent les ongles ou le visage afin d’éblouir les autres une fois la nuit tombée. Ce qu’elles ne savent pas, et qui leur est caché, c’est que le Radium est une substance mortelle. Elles vont commencer à tomber gravement malade, à compter leurs collègues mortes et à entamer une lutte pour la reconnaissance de leurs droits et de la dangerosité du radium. Cette BD est un coup de cœur, j’adoré découvrir le trait de Cy au crayon de couleur, l’histoire et leur lutte est révoltante et touchante.
Ce thriller psychologique met en scène Adam, architecte de 41 ans qui vit avec l’amour de sa vie, Claire. Un matin, alors qu’elle passait le week-end dans la maison de ses parents, Claire est assassinée. La vie d’Adam vole en éclat. Mais il va découvrir qu’il existe pire que de perdre son amour : la perdre une seconde fois… Il va expérimenter la sensation de déjà-vu et la peur de venir malade… Ce roman plein de suspens et de cauchemar est haletant. J’ai beaucoup aimé la première moitié du livre qui est addictive, l’action et l’intrigue vont vite, de déstabilisation en rebondissements. Rien n’est prévisible (et peut-être un peu tiré par les cheveux)
Un coup de coeur : Radium girls - Cy
Cette BD de Cy, tout au crayon de couleur dans un camaïeu de violet et de vert, raconte la vie d’un groupe d’amies dans les années 20 aux Etats-Unis. Elles travaillent toutes dans une usine de montres et leur métier consiste à peindre les cadrans au radium (pour qu’ils soient phosphorescents) avec la technique Lip-Dip-Paint. Cette technique consiste à lisser le pinceau avec les lèvres puis à peindre avec une peinture au radium. Dans le contexte de la Prohibition, ce groupe d’amies sort dans les bars le soir, par jeu elles se peignent les ongles ou le visage afin d’éblouir les autres une fois la nuit tombée. Ce qu’elles ne savent pas, et qui leur est caché, c’est que le Radium est une substance mortelle. Elles vont commencer à tomber gravement malade, à compter leurs collègues mortes et à entamer une lutte pour la reconnaissance de leurs droits et de la dangerosité du radium. Cette BD est un coup de cœur, j’adoré découvrir le trait de Cy au crayon de couleur, l’histoire et leur lutte est révoltante et touchante.
Discussions similaires
