@Lidouchka
Merci pour tes mots, c'est vraiment réconfortant.
Justement je ne m'investis pas vraiment dans mon travail. Comme je le disais dans mon post initial je me contente du strict minimum.
Comment retrouver confiance en moi ? Tu dis que changer de travail ne règlera pas le problème de l'estime de soi mais si je reste ici rien ne va aller en s'arrangeant.
Je pense que tu as raison concernant le fait d'avoir un salaire qui tombe à la fin du mois et qui est rassurant lors des entretiens. Je ne l'avais pas vu sous cet angle.
Disons que j'ai toujours eu un peu d'appréhension au moment des entretiens qu'on me dise :
"ah mais... vous êtes toujours en poste ? Donc votre supérieur ne sait pas encore que vous souhaitez partir puisque vous n'avez pas encore de préavis de départ ?" (et qu'ils anticipent que je vais peut-être leur faire le même coup, celui de passer des entretiens ailleurs pour partir soudainement).
Pour les directrices j'ai l'impression que c'est la suite "logique" après X années de travail (X = 5 ans). Je ne parle pas de devenir directrice dans un grand groupe mais dans les petites structures on est rapidement promus.
Je compare juste avec les directrices/managers autour de moi qui ont autour de la 30aine.
Ou du moins un poste de vraie "responsable" (celle qui prend les décisions, qui gère le budget etc.) tout ça je ne sais pas faire et surtout je ne me sentirais pas compétente. Imagine on me dit que j'ai 20 000€ de budget pour cette année en com et que je dois gérer ce budget au mieux (économiser si possible et avoir un super retour sur investissement).
Je serais terrifiée à l'idée d'investir dans un encart pub trop cher avec peu de visibilité ou de miser sur le mauvais événement ou de ne pas avoir anticipé des coûts annexes. Et le pire serait que mes actions marketing/com soient à côté de la plaque.
Je vais chercher le test de l'APEC pour voir ce que ça donne. Je vais également suivre un coaching pro histoire de ne pas laisser tomber par découragement cette envie de partir.
C'est juste que psychologiquement je suis sous l'eau.
J'ai déjà essayé de voir des psys mais je tournais en rond. Ce n'est pas qu'ils étaient mauvais, c'est moi qui reste enfermée dans ma spirale.
Merci pour tes mots, c'est vraiment réconfortant.
Justement je ne m'investis pas vraiment dans mon travail. Comme je le disais dans mon post initial je me contente du strict minimum.
Comment retrouver confiance en moi ? Tu dis que changer de travail ne règlera pas le problème de l'estime de soi mais si je reste ici rien ne va aller en s'arrangeant.
Je pense que tu as raison concernant le fait d'avoir un salaire qui tombe à la fin du mois et qui est rassurant lors des entretiens. Je ne l'avais pas vu sous cet angle.
Disons que j'ai toujours eu un peu d'appréhension au moment des entretiens qu'on me dise :
"ah mais... vous êtes toujours en poste ? Donc votre supérieur ne sait pas encore que vous souhaitez partir puisque vous n'avez pas encore de préavis de départ ?" (et qu'ils anticipent que je vais peut-être leur faire le même coup, celui de passer des entretiens ailleurs pour partir soudainement).
Pour les directrices j'ai l'impression que c'est la suite "logique" après X années de travail (X = 5 ans). Je ne parle pas de devenir directrice dans un grand groupe mais dans les petites structures on est rapidement promus.
Je compare juste avec les directrices/managers autour de moi qui ont autour de la 30aine.
Ou du moins un poste de vraie "responsable" (celle qui prend les décisions, qui gère le budget etc.) tout ça je ne sais pas faire et surtout je ne me sentirais pas compétente. Imagine on me dit que j'ai 20 000€ de budget pour cette année en com et que je dois gérer ce budget au mieux (économiser si possible et avoir un super retour sur investissement).
Je serais terrifiée à l'idée d'investir dans un encart pub trop cher avec peu de visibilité ou de miser sur le mauvais événement ou de ne pas avoir anticipé des coûts annexes. Et le pire serait que mes actions marketing/com soient à côté de la plaque.
Je vais chercher le test de l'APEC pour voir ce que ça donne. Je vais également suivre un coaching pro histoire de ne pas laisser tomber par découragement cette envie de partir.
C'est juste que psychologiquement je suis sous l'eau.
J'ai déjà essayé de voir des psys mais je tournais en rond. Ce n'est pas qu'ils étaient mauvais, c'est moi qui reste enfermée dans ma spirale.