A
AnonymousUser
Guest
Avant-hier, j'ai rêvé d'un château dont j'ai déjà rêvé auparavant, hanté par une jeune femme blonde (je ne connais pas son visage) qui passe de tableaux en tableaux, avec sa chambre comme pièce préférée. Je me retrouve dans ces lieux donc comme si je connaissais déjà, et comme par hasard, je me retrouve dans LA chambre hantée. Il y a vraiment une atmosphère malsaine, j'entends des rires venant des murs, mon lit bouge, je sens qu'elle me regarde, qu'elle cherche à m'étouffer. Je quitte la pièce, je me retrouve dans une sorte de cathédrale, qui fait partie du château (quand je rêve de château il y a toujours une partie religieuse), il fait sombre, il fait froid, je suis dans une grande chemise de nuit blanche, la "propriétaire" me dit alors que je regarde la porte par laquelle je suis sortie que la jeune fille précédente s'est suicidée parce qu'elle n'avait pas d'identité, et qu'elle voulait hanter les lieux par vengeance, pour arracher aux gens qui achetaient le château (il était à vendre) leur identité et les rendre fous. La porte que je regardais est maintenant clôturée par une sorte de pics en pierre, qui forment un petit "parc". Il y a des enfants en uniforme noir blanc et rouge, sans tête, dedans, qui marchent, qui rient, alors que leur tête est inexistante ou fraîchement décapitée par un prêtre. Les têtes pendantes ou à terre me regardent de leurs yeux fous, malsains et exorbités, avec un rictus immonde. J'ai une sorte d'illumination, je cours dans le salon du château, où trône un immense tableau de cette jeune fille, et je crie à la dame que je sais, et d'autres trucs que je ne comprends pas. La tension dans la demeure s'apaise, j'entends des sanglots qui viennent des murs encore. La dame me regarde, me sourit, et me dit "vous pouvez partir en paix maintenant, la Dame ne vous rendra pas folle, vous l'avez sauvée."
Je me retrouve dans un train, un très vieux train, les banquettes sont en velours rouge, les montants de la fenêtre en doré, et sur la colline plus haut, le château surplombe la voie ferrée. On le devine dans la nuit, il y a une sorte de halo autour de la bâtisse. Je discute avec ma soeur, elle tend la main vers la fenêtre. Un foulard vole à ma hauteur, à l'extérieur. Je l'attrape, et le noue autour de mon cou, en murmurant : "on donne toujours, et elle est sauvée, c'est un échange.".
Et la nuit dernière j'ai rêvé que j'étais dans mon ancienne chambre, il y avait des invités dans le salon, je demandais à mon père de me nouer mon corset, pendant que je regardais dehors, il faisait beau. Un corset bleu clair métallisé, avec de la dentelle noire au bord du décolleté. Il le serrait si fort, que toute ma graisse est partie. J'avais la taille vraiment fine, avec une belle ligne de hanche, de belles formes, j'étais magnifique. Je me pavanais devant ma mère qui soudain, m'a dit:" un jour, tu seras morte."
Je me retrouve dans un train, un très vieux train, les banquettes sont en velours rouge, les montants de la fenêtre en doré, et sur la colline plus haut, le château surplombe la voie ferrée. On le devine dans la nuit, il y a une sorte de halo autour de la bâtisse. Je discute avec ma soeur, elle tend la main vers la fenêtre. Un foulard vole à ma hauteur, à l'extérieur. Je l'attrape, et le noue autour de mon cou, en murmurant : "on donne toujours, et elle est sauvée, c'est un échange.".
Et la nuit dernière j'ai rêvé que j'étais dans mon ancienne chambre, il y avait des invités dans le salon, je demandais à mon père de me nouer mon corset, pendant que je regardais dehors, il faisait beau. Un corset bleu clair métallisé, avec de la dentelle noire au bord du décolleté. Il le serrait si fort, que toute ma graisse est partie. J'avais la taille vraiment fine, avec une belle ligne de hanche, de belles formes, j'étais magnifique. Je me pavanais devant ma mère qui soudain, m'a dit:" un jour, tu seras morte."