Là il est presque trois heures du matin, je sors à peine de mon rêve mais il faut que je note absolument.
En y repensant c'était absolument grotesque, mais pour l'instant j'arrive même pas à en rigoler tellement je suis terrifiée.
J'étais dans ma ville, je prenais des trains, des tramways, des métros, mais j'arrivais toujours aux mêmes endroits. Je finis dans l'ancien appartement de mes grands-parents, je m'enfonce une perfusion dans le bras et tente d'aller me coucher comme ça. Sauf qu'après avoir fermé les yeux je me rends compte que les lumières sont restées allumées et qu'il y a un certain fond sonore. Je me lève donc, j'y trouve ma mère, jeune, en train de fumer.
Ensuite nous invitons à manger un couple, sophistiqué, aux cheveux peroxydés. Sauf qu'en réalité, ce sont des aliens nazis qui sont venus nous bouffer (foutez vous de ma gueule si vous voulez mais le rêve est tellement frais que j'ai envie d'en pleurer tellement j'ai encore peur) ! Au début ils ont pas mangé grand monde et ils peuvent être évités facilement car ils restent faibles, mais je sors quand même de la salle à manger pour aller voir mon chat. Alors que, le chat dans les bras, je réfléchis à où je pourrais le cacher pour qu'il soit en sécurité (le placard de la salle de bain ?), je croise le chemin des aliens nazis qui me plaquent contre le mur violemment et tentent déjà de me bouffer contre le mur du corridor. Ils sont devenus plus forts en mon abscence, ils ont gardé une apparence presque humaine, mais leur physique aryen est entaché de rides infâmes et d'une peau verdâtre dégueulasse. La femelle me croque le doigt, mais je parviens tout de même à me libérer. Je me barricade dans la salle à manger, toujours le chat dans les mains, mais l'ambiance y a bien changé depuis la denière fois. Les persiennes y sont fermées, une fumée plane, c'est obscur, glauque. Et ma mère est en train de faire du sexe tantrique avec un beauf contre la porte. Une vision vraiment dégradante, vraiment moche du sexe. Alors que le mec lui balance des mots hyper crus genre "au pire jj'te prends en marteau piqueur bambambam (?)", il ouvre la porte. Et là les aliens nazis sont par milliers.
Ils n'ont même plus forme humaine, ce ne sont plus que des amas de tentacules vertes dégueulasses, et ils bouffent devant moi le beauf et ma mère. Je suis toujours cachée mais je sens que je ne peux plus leur échapper.
Sauf qu'apparement ils avaient besoin de dévorer un quota d'humains, et ils se sont mis à se transformer en armée de mannequins sublimes. Mais le beauf qu'ils avient mangé les as intoxiqués, du coup leurs transformations continuaient, entre chacune d'elles leur reine criait "Who are we ?" ()
Et là, tadaaaam, les lumières se rallument. Je suis au cinéma, j'étais allée voir une comédie, simplement. Mais je me sentais mal. Avant que je parte, un militaire souriant passe me jour parce qu'il voulait "récupérer sa casquette".
Oh, et je viens de m'en rappeler, entre les métros et la transfusion, il y a eu un épisode. J'étais dans un parc avec deux de mes bonnes amies, on se racontait nos vies en riant. Il faisait nuit. Soudain mon prof d'anglais de cette année debarque, vient me voir. Il veut avoir l'air normal mais quelque chose ne va pas avec son physique. Il est en pleine mutation en alien. Mais il le donne un papier et s'en va. Une fois parti, je prends mon amie dans mes bras, puis je lui glisse à l'oreille en pleurant "C'est mon professeur, j'ai peur Laurine, je sens qu'il va me violer et j'ai peur, j'ai vraiment peur...". Cette confidence terrifie les amies et on cherche toutes trois à s'enfuir vite, mais dans leur course mes amies de heurtent et se cassent méchamment la cheville et s'ecroulent à terre. Je les laisse là et je fuis, encore.
(pour l'instant j'ai envie de chialer. Ciao, je retourne dormir)
En y repensant c'était absolument grotesque, mais pour l'instant j'arrive même pas à en rigoler tellement je suis terrifiée.
J'étais dans ma ville, je prenais des trains, des tramways, des métros, mais j'arrivais toujours aux mêmes endroits. Je finis dans l'ancien appartement de mes grands-parents, je m'enfonce une perfusion dans le bras et tente d'aller me coucher comme ça. Sauf qu'après avoir fermé les yeux je me rends compte que les lumières sont restées allumées et qu'il y a un certain fond sonore. Je me lève donc, j'y trouve ma mère, jeune, en train de fumer.
Ensuite nous invitons à manger un couple, sophistiqué, aux cheveux peroxydés. Sauf qu'en réalité, ce sont des aliens nazis qui sont venus nous bouffer (foutez vous de ma gueule si vous voulez mais le rêve est tellement frais que j'ai envie d'en pleurer tellement j'ai encore peur) ! Au début ils ont pas mangé grand monde et ils peuvent être évités facilement car ils restent faibles, mais je sors quand même de la salle à manger pour aller voir mon chat. Alors que, le chat dans les bras, je réfléchis à où je pourrais le cacher pour qu'il soit en sécurité (le placard de la salle de bain ?), je croise le chemin des aliens nazis qui me plaquent contre le mur violemment et tentent déjà de me bouffer contre le mur du corridor. Ils sont devenus plus forts en mon abscence, ils ont gardé une apparence presque humaine, mais leur physique aryen est entaché de rides infâmes et d'une peau verdâtre dégueulasse. La femelle me croque le doigt, mais je parviens tout de même à me libérer. Je me barricade dans la salle à manger, toujours le chat dans les mains, mais l'ambiance y a bien changé depuis la denière fois. Les persiennes y sont fermées, une fumée plane, c'est obscur, glauque. Et ma mère est en train de faire du sexe tantrique avec un beauf contre la porte. Une vision vraiment dégradante, vraiment moche du sexe. Alors que le mec lui balance des mots hyper crus genre "au pire jj'te prends en marteau piqueur bambambam (?)", il ouvre la porte. Et là les aliens nazis sont par milliers.
Ils n'ont même plus forme humaine, ce ne sont plus que des amas de tentacules vertes dégueulasses, et ils bouffent devant moi le beauf et ma mère. Je suis toujours cachée mais je sens que je ne peux plus leur échapper.
Sauf qu'apparement ils avaient besoin de dévorer un quota d'humains, et ils se sont mis à se transformer en armée de mannequins sublimes. Mais le beauf qu'ils avient mangé les as intoxiqués, du coup leurs transformations continuaient, entre chacune d'elles leur reine criait "Who are we ?" ()
Et là, tadaaaam, les lumières se rallument. Je suis au cinéma, j'étais allée voir une comédie, simplement. Mais je me sentais mal. Avant que je parte, un militaire souriant passe me jour parce qu'il voulait "récupérer sa casquette".
Oh, et je viens de m'en rappeler, entre les métros et la transfusion, il y a eu un épisode. J'étais dans un parc avec deux de mes bonnes amies, on se racontait nos vies en riant. Il faisait nuit. Soudain mon prof d'anglais de cette année debarque, vient me voir. Il veut avoir l'air normal mais quelque chose ne va pas avec son physique. Il est en pleine mutation en alien. Mais il le donne un papier et s'en va. Une fois parti, je prends mon amie dans mes bras, puis je lui glisse à l'oreille en pleurant "C'est mon professeur, j'ai peur Laurine, je sens qu'il va me violer et j'ai peur, j'ai vraiment peur...". Cette confidence terrifie les amies et on cherche toutes trois à s'enfuir vite, mais dans leur course mes amies de heurtent et se cassent méchamment la cheville et s'ecroulent à terre. Je les laisse là et je fuis, encore.
(pour l'instant j'ai envie de chialer. Ciao, je retourne dormir)