Rêves.

[Asgard]

J'ai fait pleins de rêves hier ...

Le premier j'étais chez une fille que je connaissais de la fac , elle avait une maison tout en baies vitrées et y'a un moment où il y a comme un raz de marée qui s'est abattu sur la maison.
Avec les vitres , on voyait absolument tout , c'était terrifiant.
Y'avait même de l'eau rose et la fille m'expliquait que "c'est à cause du pétrole ça !"


Ensuite j'ai rêvé que j'étais dans une épreuve sportive en intérieur avec ce qui semblerait être  des gens de mon collège.
L'épreuve consistait à descendre une pente et la remonter le plus vite possible.
Le coup de départ a été donné  et j'avais pas encore enfilé mes baskets et du coup j'ai couru avec ce que j'avais aux pieds , des  grosses doc martens.
Quand j'ai du remonté la pente , je suis lamentablement tombé et du coup je suis arrivée dernière. Ma mère avait vu la course et à la fin elle me dit qu'elle était très déçue de moi et j'étais super triste d'avoir échouée.


Après je sais pas si ça a un lien mais j'ai rêvé que j'étais dans une immense pièce avec énormément de gens (des élèves du collège je crois) et en fait on était là parce que des monstres/ennemis allaient arriver et il fallait donc se cacher.
Des gens étaient chargés de protéger la population parce qu'ils avaient des pouvoirs et j'en faisais partie.
Les pouvoirs sortaient de la paume des gens en forme de lumière , chacun avait une couleur , la mienne était verte.
Sauf que j'avais trop "utilisé" mon pouvoir et ma paume était toute noire , comme brûlée.
On entends les ennemis arrivaient et là je me rends compte qu'au milieu de la pièce y'a un immense trou comme si une piscine avait été creusé. Alors je hurle pour que tout le monde aille dans ce trou pour pas se faire tuer.
Les ennemis arrivent , tout le monde se bat , moi je me faufile pour aller à l'étage de la pièce où ils avaient pleins de déguisements et d'armes et je prends un katana.
Mais le temps que je fasse tout ça , la bataille est déjà finie et tout le monde range , s'en va ... Un peu comme si tout avait été orchestré.
Dernier rêve : On (ma mère , une amie et moi) allait à une sorte d'une piscine avec pleins de jeux , pour y accéder on devait prendre un ascenseur mais on était assis et il nous lâchait direct dans la piscine alors qu'on était habillées.

Puis , je sais pas trop comment ,je me retrouve  en maillot de bain , en dehors de la piscine , perdue et je demande mon chemin à des militaires qui étaient postés aux entrées de la piscine mais ils m'ont dirigés dans la mauvaise direction (où voulais je aller d'ailleurs ? retourner à l'intérieur ? J'en sais rien.) et ensuite en faisant le tour et en rencontrant d'autres gardes , je me rends compte que je suis dans un endroit divisé en deux zones et donc les militaires que j'ai rencontré n'étaient pas du même "clan". (ça va , c'est absolument pas compliqué !)
Mon rêve se termine quand je retrouve "la ville" partagé en deux parties par un immense trou et bien sûr la piscine était de l'autre côté. Il y avait un bus gigantesque qui flottait dans les airs qui reliaient les deux lieux et que je devais donc prendre pour rejoindre mes proches.

Punaise , c'était bien long. Et encore j'ai pas mis tous les détails , y'a des trucs que je serai incapable de décrire.

 

[Ghost Town]

Deux rêves, un marrant et légèrement érotique, et un assez dégueu :

Dans le premier, j'étais en vacances dans une petite station balnéaire style mini Deauville. J'étais sur une plage blindée de monde et j'allais m'installer tout près de la mer, avec des potes de fac et des gens de ma famille. Je n'ai pas de maillot de bain mais peu importe, je serais la seule toute nue et puis tant pis. On finit par s'en aller, on va boire un verre (je suis toujours à poil, et je le resterais jusqu'à la fin ) et soudain je réalise que j'ai plus ma trousse de toilette, c'est la panique. On court partout, je finis par la voir à la plage, la mer est montée et elle est trempée, mais quel soulagement !
Je rentre "à l'hotel", ambiance dortoire mixte de service militaire. Je me met au lit, fatiguée, je ferme les yeux. Je sens alors une présence près de moi, j'ouvre les yeux et je sursaute : au dessus de moi, tout près, il y a une paire de seins assez énorme dans un t-shirt rouge écarlate. La propriétaire de la dite paire de seins se redresse et s'en va vers sa couchette en me regardant d'un air goguenard. Elle retrouve sa petite bande, tous parlent à voix basse avec un petit sourire en coin et me regarde. Je me dis "putain elle est gonflée, mon Dieu mais que me veulent-ils, ça ne présage rien de bon" etc etc.
Une sonnerie retentit et le dortoire se vide, à l'exception de la petite bande. Toujours goguenards et l'air détachés, ils viennent vers moi, prennent leurs aises sur mon lit et tout autour de moi. Je reconnais parmi eux un mec dont j'avais repoussé les avances en vacances, une fille qui m'avait assez lourdement dragué quand j'avais 16 ans, toujours en vacances, et le mec bi de Kaboom, affalé. La fille en rouge me demande de choisir, je comprends et je suis super contente, j'ai l'impression d'etre au supermarché de l'amour et du sexe et c'est trop cool. Je ne dis rien mais je ne peux détacher mon regard du mec du Kaboom. Ils comprennent et il se redresse un peu, s'avance vers moi. Là, la vie réelle s'incruste, un bruit sur la gauche me distrait : mon père est dans l'encadrement de la porte de ma chambre, il me dit qu'il est 13 heures, que je devrais me réveiller, qu'il va me faire un bon café. Je répond oui oui, une minute, puis je me retourne vers ma bande de joyeux coquinou, pour voir que Kaboom se désintéresse totalement de moi. Je suis très contrariée, la
fille est rouge me dit qu'il est trop tard. Frustrée, je me réveille pour de bon et je vais prendre mon putain de café, merci papa.

Deuxième Traum : avec une bande de copines, on décide de se saouler et d'aller voir le nouveau Evil Dead. Ivres mortes, on arrive dans le cinéma et on s'installe. Le sol est jonché de chips, de bonbons, c'est très crade, et la salle est très éclairée, ce qui est étrange. Le film est beaucoup plus gore que ce a quoi je m'attendais : il est absolument dégueu, mais vraiment, horrible. D'ailleurs, tout le monde ou presque finit par gerber, dont le vieux à coté de moi. Et moi aussi, j'ai beau rigoler, me cacher les yeux, mon estomac me laisse tomber, mais c'est peut etre à cause du vin. On se lève pour sortir, c'est trop insuppotable, et il ne reste presque personne dans la salle, alors on décide de se rasseoir mais au fond, parce zut quoi, on est pas des chochottes. On discute tranquillement du film, je souligne qu'il ne m'était jamais arrivé de vomir devant un film, et pourtant j'avais vu Salo de Pasolini, qui m'avait juste donné des haut-le-coeur. On s'accorde à dire que le Remake d'Evil Dead est grandiose, et qu'il restera inscrit dans l'histoire du ciné comme Le Film qui aura fait gerber toute une salle de ciné.

 

[Aamu.]

Trois rêves, ces trois derniers jours.

Le premier :

Je rêvais que j'étais invitée avec ma promo à aller dans l'espace avec une mini-navette (genre un jet privé de la NASA ), donc on monte et tout, avec nos bagages (oui oui), on s'installe dans la navette dont les sièges ont une tête de sièges de trains. Il y a tout un bazar avec le décollage, il manque des gens. Je ressors pour aller les chercher vu que je suis la déléguée, je remarque que nous avons changé de place sans avoir bougé, nous sommes dans une cour d'école immense, avec des bâtiments genre vieille usine en briques, instinctivement je me dis qu'ils sont là-bas vu que c'est l'internat. L'internat est complètement vide, je reçois un appel d'Obama sur mon portable (jalouses, hein ? ) qui me dit qu'il ne manque que moi, et que je dois me dépêcher parce qu'on décolle dans deux minutes. Je cours en laissant tomber mon téléphone, j'arrive à temps pour le décollage.
Après, on se retrouve donc dans l'espace, sur une planète qui ressemble en fait à une vue de microscope sur des bactéries qui bougent. Les bactéries sont teintées en rose fuschia, le sol est noir.
Les lumières de la navette s'éteignent, je commence à sentir les gens s'affoler. Je vais voir ce qu'il se passe, dans le cockpit : Obama et Hilary Clinton qui rigolent de bon coeur, en disant que nous sommes des crétins et qu'on va mourir ici, qu'en fait c'est un complot du gouvernement des Etats-Unis pour empêcher l'avènement de supers-ostéopathes (ma promo sommes les élus quoi ).
Je cherche une solution et je me rends compte que mon portable resté sur Terre est la clef permettant de détruire Obama. Je décide d'improviser en retournant dans le cockpit, en jetant Obama aux bactéries qui le mangent, et je prends les commandes pour retourner sur Terre. Sauf qu'on est vus comme les cavaliers de l'apocalypse, provoquant une panique mondiale. Et je me suis réveillée là.
Le deuxième est une suite d'un rêve que j'ai déjà fait, dans le manoir hanté que j'ai déjà décrit ici. Dans celui-ci, je suis dans "ma" chambre. Le lit est à baldaquin, la chambre est dans les tons vert amande, avec une immense armoire à miroir sur les portes. Je me rêve en train de rêver, et en me réveillant, j'entends un rire d'outre tombe qui semble venir des murs. La voix me dit que jamais je ne sortirai d'ici, que j'étais à elle et que je mourrai de peur. Je me lève, effrayée, je me retrouve devant le miroir où apparaît une femme échevelée, avec deux trous noirs à la place des yeux. Son sourire est clairement malsain, elle m'attaque avec de longues griffes abîmées et sales. J'esquive, elle disparaît en riant. Je cours vers la porte, la porte se ferme toute seule, je me mets à hurler, à crier, et je me réveille.

Et le dernier, j'ai rêvé qu'on me jetait un petit crotale dessus, il me mordait au mollet, et je lui écrasais le crâne avec mon autre pied. Je me réveillais là.

 

[_hazel_]

cauchemar sympathique la nuit dernière..

Une ombre dans la chambre..Je me tétanise aussitôt ..Puis une main plaque mes côtes et je sens un couteau qui tranche l'oreiller..J'essaie de ne plus bouger, restant en apnée.. mais mon corps se cabre.. à ce moment, j'ai ouvert les yeux et j'ai été malade le reste de la nuit;.

comme si par le biais d'un songe, mon corps m'avertissait qu'un charmant virus venait skuatter..

 

[Jixels]

J'ai rêvé que j'étais enceinte de 3 / 4 mois et contente de l'être. Je crois que j'ai passé plusieurs jours comme ça tranquillement puis je me suis mise à avoir mal au ventre. Je l'ai dit à mère qui semblait déjà au courant que j'étais enceinte, elle m'a dit que c'était normal.

J'ai reçu l'appel d'un employeur (pas un de mes vrais employeurs) qui disait regretter de m'avoir choisi car c'était trop risqué vu "mon état" . La conversation a été coupée brutalement et j'avais tellement mal au vente que j'ai pas pu rappeler.

J'ai du dire à ma mère qu'on devait aller à l'hôpital. Mon père ne semblait pas au courant que j'étais enceinte et disait que j'avais toujours quelque chose qui n'allait pas et que j'avais aucun plaisir dans la vie. Je lui répondais "parce que tu crois que je prends pas plaisir à faire mon travail ?", il me disait que non et je lui disais que c'était pas parce qu'il s'était fait chier toute sa vie dans sa boulot que c'était pareil pour tout le monde (je suis mauvaise dans mes rêves ). Bref, à force de m'énerver j'avais de plus en plus mal au ventre. Et je croise mon reflet dans le miroir, j'étais défigurée : la peau du hont du front était à vif, comme brulée, j'avais d'autres plaques du même genre sur le reste du visage,des lambeaux de peau qui se décollaient, atroce.

On est enfin parti dans un hôpital qui finalement n'en était pas un puisqu'il n'y avait que des bureaux. Je devais prendre les escalators pour monter aux étages et je culpabilisais en me disant que je ferais mieux de prendre les escaliers pour faire maigrir mes cuisses (ces préoccupations adaptées à la situation haha).

Et au final je me disais que finalement je n'étais peut-être pas enceinte puisque j'avais toujours mes règles...
Et je me suis réveillée en larmes . Finalement je ne saurais jamais si c'était une fausse grossesse ou une fausse couche !

En tout cas durant tout le long du rêve, on m'a demandé plusieurs fois qui était le père et je ne répondais pas. Du coup je sais pas de qui mon inconscient voulait être enceinte, c'est un peu frustrant haha.

 

[Tracy Jacks]

On me couvrait de remontrances parce que j'aurais raconté à tout le monde que mon ex était une (je cite) "petite tapette pleine de bonnes intentions". J'étais accompagnée d'amis à moi et on a pris l'ascenseur. Je ressentais de la culpabilité. Une fois arrivés à l'étage désiré, la porte s'ouvre sur mon ex, pas plus grand qu'un gamin, la tête baissée, honteux, serrant le bras d'une petite grand-mère.
J'étais terrassée de pitié, de la vraie pitié qui fait mal. Mes amis s'esclaffaient en rétorquant "Nan mais désolé on dirait vraiment une petite tapette pleine de bonnes intentions".

 

[Tracy Jacks]

J'ai encore rêvé de l'invasion zombie. Mon rêve s'ouvre sur mon équipe de survivants en plein conflit au milieu d'un Zara. Je défendais l'idée qu'il valait mieux se prendre de grosses vestes en cuir super couvrantes pour nous protéger des morsures, quand d'autres étaient persuadés qu'il valait mieux choper des vestes légères en tissu synthétique pour une meilleure liberté de mouvement.

Souvent je me retrouvais seule dans des pièces très exiguës, comme des placards, et évidemment presque à chaque fois un zombie m'attendait dedans.

Désespérée, je me tirais une balle dans la tête devant le reste de mon équipe. Mais je ne suis pas morte. J'ai traversé un couloir psychédélique et j'ai atterri dans une grande salle blanche. Je m'étais réincarnée en chienne.

Cette grande salle blanche était le forum d'une université exclusivement masculine, où étudiaient et conversaient calmement de beaux jeunes hommes. J'allais à leur rencontre, en tant que chien, et je m'efforçais de cacher que j'avais l'âme humaine. L'invasion zombie n'avait pas l'air de toucher ce lieu.

Je me familiarisais avec les étudiants qui m'ont adoptée et m'ont appelée "Maggie". Seulement à un moment je tombe sur mon téléphone portable, celui que j'avais quand j'étais humaine. Mes amis continuaient à m'envoyer des messages, ne savant pas qu'officiellement, j'étais morte. J'ai attrapé un étudiant par le bras et l'ai supplié de détruire le portable. Je pleurais et regrettais ma vie d'avant.

 

[Ghost Town]

Y a un détail récurrent, un genre de running gag qui jalonne mes rêves : la première fois c'était cet été, j'étais complètement dingue, je foutais le feu à trois immeubles, puis j'y balançais successivement trois pauvres clochards (un par immeuble), avant d’ôter ma veste et de la jeter dans les flammes. Enfin, j'y lançais une pièce de monnaie, et je reculais un peu, contemplant mon œuvre tel Néron devant l'incendie de Rome.

Et depuis, je balance régulièrement un clodo dans le brasier. Il apparait, je le choppe en vitesse et je passe à autre chose. Je suis Patrick Bateman .

 

[Aamu.]

Cette nuit, j'ai rêvé que j'étais dans un pays froid. Nous étions un petit groupe de 6, la seule personne connue étant Sheldon, de TBBT. Nous prenons un bateau de nuit pour aller sur une île. La mer est gelée, il fait très froid, et la visibilité n'est pas bonne. Je commence à avoir peur, mais le capitaine dit pour me rassurer que le bateau est guidé par l'instinct. La route devient de plus en plus difficile parce que la glace est de plus en plus épaisse. Pour penser à autre chose, je regarde le ciel, plein d'étoiles et en même temps couvert. Sheldon cause le désespoir des autres passagers à force de raconter des anecdotes.
Puis je suis projetée soudainement en avant, manquant de tomber. Le capitaine me dit que nous sommes arrivés, que nous avons buté sur l'iceberg, là où on doit descendre. Nous descendons donc, la coque de bateau ayant fait une encoche en V dans la glace.
Nous avançons vers une grande maison tout en bois coincée entre deux falaises de glace. À l'abri de l'avant toit, il y a des tables en bois type camping où nous allons manger. À ma droite, un puits est creusé dans la glace et est rempli d'eau. Je vois une jeune femme brune, qui habite ici, prendre son bébé dans ses bras, le bébé a six mois tout au plus, les yeux bleus, habillé d'une combinaison multicolore. La mère s'accroupit devant le puits, l'effroi monte en moi, mais personne ne bouge, Sheldon me dit que c'est un rituel ici, pour habituer les enfants au froid.
La mère plonge son enfant dans le puits, le bébé ne dit rien et continue à gazouiller. Puis elle le lâche, et le bébé s'enfonce dans l'eau, comme si tout était normal, avant de disparaître dans les profondeurs.
La mère ne sort qu'un "Oh, zut." alors que je me suis mise à crier et à pleurer. Le père qui jusqu'à présent n'avait rien dit eut les larmes aux yeux. L'ambiance se refroidit à table, après un moment à regarder le puits, je m'installe.
Soudain j'entends un bruit de bulles, me précipite vers le puits, le bébé remonte tranquillement à la surface, en nageant un peu comme une méduse. Je l'attrape, prise de panique, le bébé rit. Il est gelé, mais n'a pas l'air d'en souffrir. Le père l'attrape en pleurant de joie et de soulagement, alors que je hurle sur la mère, qui s'immole par le feu d'un brasero proche ensuite.

Et je me réveille là.

 

[Tracy Jacks]

J'étais sur un immense terrain boisé. Une île au milieu, avec derrière un grand bâtiment assez laid, et devant une colline montante pleine de pins. J'avais un gun, ou une carabine (je sais plus) à la main, et je ressemblais un peu à ça :

SI SI.

On était des centaines sur ce terrain. Mais avec une immense majorité d'enfants, de même pas 6 ans. Tous armés. Nous combattions un affreux méchant (qui ressemblait au gars qui contrôle les produits laitiers dans Misfits), comme dans un jeu vidéo. Et comme dans un jeu vidéo, nous nous cachions derrière tout ce qu'on pouvait trouver pour éviter les rafales de l'ennemi : les arbres, les rochers, les bâtiments... J'ai croisé @caliode sur le côté droit du terrain, elle s'était cachée derrière un arrêt de bus, mais elle est partie en râlant : "Non mais sérieux, moi je reste pas là, je vais encore me prendre des éclats de verre dans la gueule là"

L'ennemi a balancé des grenades, je voyais les arbres exploser, les gamins aussi, moi je me déplaçais habilement tel un ninja. Un grand camion s'est déversé dans l'eau glacée qui entourait l'île. En sont sortis des chiens et des jeunes filles terrifiés.

Encore une fois, comme dans un jeu vidéo, c'était comme si la partie recommençait, je me suis retrouvée au sein d'un petit escadron à l'arrière du bâtiment laid. Je disais à tout le monde qu'il fallait fuir les bâtiments en général, car ils pouvaient être piégés. La difficulté était supérieure par rapport à la partie précédente, car les alliés pouvaient rejoindre le camp de l'ennemi subitement. En effet des gars quittaient les rangs soudainement parfois, en laissant une grenade derrière eux et en criant "MUTINERIE !"

De retour en haut de la colline, sur le côté gauche, j'ai croisé mon mec. Il a arraché un bout de son t-shirt et me l'a donné, comme si c'était un geste hyper romantique et tendre. Je l'ai regardé dans les yeux et lui ai répliqué "Please don't die".

 

[Pinceau_]

Ils sont délires vos rêves !

Cette nuit :

Je suis avec mon père sur un bord de plage, il me dit qu'on doit y aller, je demande si on va revenir là, il me dit "oui oui", donc je dis "ok dans ce cas je laisse mon téléphone et mon briquet". On rentre à l'hôtel, en fait on était en famille/amis en vacances dans un super grand hôtel avec des rampes en bois, c'était très joli.

Bref, la nuit tombe, donc je dis qu'il faut qu'on retourne sur la plage pour récupérer mon téléphone. Ma mère s'énerve, dit que c'est dangereux de marcher la nuit, donc je dis "ok j'y vais juste avec papa", mais lui répond que non, il faut qu'on y aille tous ensemble car c'est trop dangereux la nuit.

On part donc (genre une douzaine de personnes, dont ma copine Spencer de PLL lol, elle est souvent ma copine dans mes rêves!!), on passe dans une ruelle avec un groupe de "lascars", qui menacent de nous frapper mais on a un garde du corps qui les empêche, et dès qu'on les dépasse, je me retourne et je vois un couple se faire littéralement tabasser par le groupe en question.

On marche toujours vers la plage, on prend le bus qui nous dépose tout près de l'endroit... Et là... Je me rends compte que mon téléphone est dans ma poche. Et voilà et je me suis réveillée.


Je fais quasiment toutes les nuits des rêves de fou, je viendrais plus souvent les raconter ici !

 

[Caliodë]

J'étais sur un immense terrain boisé. Une île au milieu, avec derrière un grand bâtiment assez laid, et devant une colline montante pleine de pins. J'avais un gun, ou une carabine (je sais plus) à la main, et je ressemblais un peu à ça :

SI SI.

On était des centaines sur ce terrain. Mais avec une immense majorité d'enfants, de même pas 6 ans. Tous armés. Nous combattions un affreux méchant (qui ressemblait au gars qui contrôle les produits laitiers dans Misfits), comme dans un jeu vidéo. Et comme dans un jeu vidéo, nous nous cachions derrière tout ce qu'on pouvait trouver pour éviter les rafales de l'ennemi : les arbres, les rochers, les bâtiments... J'ai croisé @caliode sur le côté droit du terrain, elle s'était cachée derrière un arrêt de bus, mais elle est partie en râlant : "Non mais sérieux, moi je reste pas là, je vais encore me prendre des éclats de verre dans la gueule là"

L'ennemi a balancé des grenades, je voyais les arbres exploser, les gamins aussi, moi je me déplaçais habilement tel un ninja. Un grand camion s'est déversé dans l'eau glacée qui entourait l'île. En sont sortis des chiens et des jeunes filles terrifiés.

Encore une fois, comme dans un jeu vidéo, c'était comme si la partie recommençait, je me suis retrouvée au sein d'un petit escadron à l'arrière du bâtiment laid. Je disais à tout le monde qu'il fallait fuir les bâtiments en général, car ils pouvaient être piégés. La difficulté était supérieure par rapport à la partie précédente, car les alliés pouvaient rejoindre le camp de l'ennemi subitement. En effet des gars quittaient les rangs soudainement parfois, en laissant une grenade derrière eux et en criant "MUTINERIE !"

De retour en haut de la colline, sur le côté gauche, j'ai croisé mon mec. Il a arraché un bout de son t-shirt et me l'a donné, comme si c'était un geste hyper romantique et tendre. Je l'ai regardé dans les yeux et lui ai répliqué "Please don't die".

Ca me ressemble bien ça, tiens.