alitah;1129134 a dit :
Et les Madz', vous avez un livre sur la signification des rêves? Vous y croyez ou pas? Comment arrivez vous à interpréter vos rêves??! Jme pose plein de question sur sa en ce moment...
Ce n'est pas une question de croyance. J'ai un livre en effet, mais il ne me sert pas à interpréter les rêves. UN symbole = UNE signification... Ca c'est bien mignon mais ça fait plutôt partie du folkore... Personnellement je ne m'y fie absolument pas. Pour moi c'est de la connerie à partir du moment où on prend les définitions au premier degré.
Un livre peut au mieux filer des pistes. Je m'explique...
Par exemple cette nuit j'ai vécu une situation d'enfermement, le mot c'est moi qui l'ai trouvé, j'ai ensuite regardé dans mon bouquin, et le type a donné une définition du mot enfermement qui m'a permis de comprendre certaines choses ; il a mis les bons mots sur, si tu préfères, il a développé la chose, ça m'a filé d'autres pistes de compréhension. Comment j'arrive à interpréter mes rêves ? Bah c'est simple tes rêves n'appartiennent qu'à toi, tu les vis de l'intérieur, donc tu es la mieux placée pour savoir à quoi ils font référence, ils sont toi quoi. Ils ne sont pas indépendants de ta personne ni de ce que tu vis.
Donc cette nuit, un vélociraptor (je cite) me poursuivait et voulait me croquer. Le lieu : E. LECLERC, rayon femme, particulièrement lumineux.
J'étais ensuite chez une amie. Murs blanc. Je la reconnais. A mes yeux elle représente l'inconscience, la personne "qui plaque au sol et qui te dit de fermer ta gueule". Etouffement. Je pars. Un type poignardé me poursuit avec son couteau. Il veut "me la mettre". Je cours, je ruse, mais rien à faire, il voit toujours par où je passe.
Je passe par un hôpital.
On m'enferme dans une maison close (pas celle des prostitués, hein). Il y a ces femmes qui n'écoutent pas. Je suis dans l'ascenceur. Il est ultra rapide, tellement que je sens mes boyaux rester à l'étage 1 alors que nous sommes déjà au 320ème. Il m'y descend. J'essaye de me laisser porter pour ne pas souffrir. Elle-s m'amène-nt là-dessous. Il y a des gens, comme ceux de la semaine européenne que j'ai couverte. Je ne peux pas sortir. J'essaye des issues : impossible. Je trouve un gars qui me file quelque chose pour "appeler ma mère", il disparaît d'un coup, je me fais pécho. Ce sont des escaliers improbables, étroits, qui tournent sans fin. On me dit que si j'essaye de m'échapper, les issues seront toutes bloquées, et des choses et des gens que j'aime mourraient écrasés.
Je sais à quel épisode font références ces morceaux de rêves, alors forcément ça me met en colère.