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solal;4864355 a dit :Bon je suis un peu agacée, ça fait quasiment 24h que je n'ai pas eu de nouvelles, alors que je lui avais bien dit de m'envoyer au moins un texto de temps en temps s'il avait pas Internet, juste pour qu'on continue à se parler. En plus je m'énerve moi-même, parce que tout ça renforce cette impression que j'ai de n'être qu'une pauvre fille éplorée qui vit uniquement à travers son copain
chocolouve;4864706 a dit :J'ai besoin d'aide.
Vraiment.
Je me suis disputée avec mon copain en début de semaine car il ne me complimente jamais et se moque parfois sans méchanceté de mon corps. Ses commentaires m'ont atteint, d'autant que son instagram est remplie de filles canons qu'il suit. Sans liker leur photos.
Bref j'ai éclaté par insécurité. Grosse crise de larmes, j'ai dit que je passerais prendre mes choses, j'ai eu du mal à être calme.
Ça semble une dispute banale mais mes disputes banales deviennent souvent un drame exponentiel dans ma tête, une situation irréversible. Je vois tout noir et j'oublie tout ce qui peut être positif dans notre couple.
Je m'enfonce dans une obscurité, menant à la rupture, le repoussant, avec agressivité dans mes paroles, parfois mes gestes.
Hier ça c'est terminé sur un violent coup de fil. Aujourd'hui j'ai réalisé. Je suis auto-destructrice dans mes relations. Je prends tout au sérieux, comme la catastrophe du siècle. Je ne me ressaisis pas, je vois la fin partout.
Sous le choc je lui envoie un coup de fil. Il est débordé au boulot et couvre une petite fièvre. Je sais que je l'ai mené à bout, encore une fois à essayer de lui faire comprendre qu'il me blessait. Mais quand je l'ai appelé aujourd'hui j'ai fondu en larme en demandant pardon. Pardon de réagir au quart de tour, de frapper à grands coup dans une relation que je refuse de voir comme épanouissante par auto-destruction.
Je lui ai dit: j'ai besoin qu'on discute, tu es toujours au boulot, on n'a pas pu se voir depuis même si je l'avais demandé. Je lui ai dit: tu veux être mon partenaire et m'aider à ne pas tout voir en noir ? Si oui, j'ai besoin de tes paroles, mais je n'ai pas besoin de ta dureté et de ta froideur.
Là je me retrouve embêté. J'ai eu l'impression de prendre tous les torts au téléphone parce que je culpabilise de ce que je suis, mais en même temps, tout le monde autour de moi me dit qu'il n'a pas été très blanc dans tout ça.
On devrait se voir ce soir tard après son boulot pour discuter.
J'ai besoin d'aide..
lady-oiseau;4864509 a dit :@Lullabye Pour la question des parents de ton copain, est-ce que lui ça le dérange ? Est-il mal à l'aise avec cette situation, as-tu parlé avec lui des remarques qu'ils ont essayé de te faire, du fait que son père t'appelait par le prénom de son ex ? Si ça le dérange, je pense que c'est à lui en premier lieu de s'affirmer auprès de ses parents et de mettre des limites. S'il accepte et trouve ça normal, c'est à toi de voir si tu veux mettre les choses au point avec sa famille ou continuer d'accepter cette situation. Enfin à mon avis.
Je n'apprécie pas trop la mère et la soeur de mon copain. Elles ont été froides voir indifférentes à mon égard, et je n'ai pas du échanger plus de deux phrases avec sa mère. C'était une période compliquée, je n'avais pas de boulot, je squattais chez mon copain, donc avec le recul je me dis qu'elles devaient avoir peur que je sois un cas social ou ce genre de truc Depuis que je suis partie faire la saison (à 150 bornes d'eux quoi ), sa mère a l'air plus encline à parler de moi, elle m'a même offert un bracelet Donc on verra. J'en ai beaucoup parlé à mon copain, en lui disant que je n'accepterai pas cette situation sur le long terme. Je suis une jeune adulte et j'estime que sa famille doit faire un minimum d'effort pour apprendre à me connaître. Sinon comment peuvent-ils savoir s'ils m'apprécient ou pas ?
Bref, bon courage