J'ai lu en février "Le prix à payer" de Lucile Quillet.
Et là, je lis "Le genre du capital" de Céline Bessière et Sibylle Gollac.
Quand je vois dans ces livres à quel point le fait d'avoir des enfants creusent encore plus des inégalités déjà présentes dans le couple hétérosexuel (en défaveur des femmes évidemment), ça me donne encore moins envie d'en avoir.
Les femmes sont vraiment considérées comme des utérus sur pattes qui doivent sacrifier leur temps et leur argent pour éduquer les mômes tandis que ces messieurs doivent garder leur précieux temps et leur précieux argent pour eux parce qu'ils le méritent, que ce sont des hommes, qu'ils ont une dignité, eux.
La loi est parfois injuste mais même quand elle est juste, elle est interprétée ou détournée par les notaires, les avocat·e·s et les juges pour que ce soit toujours la femme qui soit perdante.
Pas trop envie de me retrouver à 40, 50 ou 60 ans avec uniquement mes yeux pour pleurer après avoir passé une ou plusieurs décennies à me sacrifier.
Les hommes veulent le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière mais le pire, c'est qu'ils y arrivent. Ils ont des héritiers mais ne prennent pas le temps de s'en occuper et en plus, ils ne versent quasiment rien pour leur éducation. Tout bénef. Pendant que les femmes se saignent pour leur progéniture. Quelle vie de merde franchement...
Et là, je lis "Le genre du capital" de Céline Bessière et Sibylle Gollac.
Quand je vois dans ces livres à quel point le fait d'avoir des enfants creusent encore plus des inégalités déjà présentes dans le couple hétérosexuel (en défaveur des femmes évidemment), ça me donne encore moins envie d'en avoir.
Les femmes sont vraiment considérées comme des utérus sur pattes qui doivent sacrifier leur temps et leur argent pour éduquer les mômes tandis que ces messieurs doivent garder leur précieux temps et leur précieux argent pour eux parce qu'ils le méritent, que ce sont des hommes, qu'ils ont une dignité, eux.
La loi est parfois injuste mais même quand elle est juste, elle est interprétée ou détournée par les notaires, les avocat·e·s et les juges pour que ce soit toujours la femme qui soit perdante.
Pas trop envie de me retrouver à 40, 50 ou 60 ans avec uniquement mes yeux pour pleurer après avoir passé une ou plusieurs décennies à me sacrifier.
Les hommes veulent le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière mais le pire, c'est qu'ils y arrivent. Ils ont des héritiers mais ne prennent pas le temps de s'en occuper et en plus, ils ne versent quasiment rien pour leur éducation. Tout bénef. Pendant que les femmes se saignent pour leur progéniture. Quelle vie de merde franchement...
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