Je viens de lire l'article, et je suis en train de commencer à lire les commentaires.
Autant je suis pas forcément d'accord avec la formulation de certains passages de la réponse de la daronne qui me semblent quand même drôlement enjoliver le poids que représentent les enfants pendant les vacances (perso j'ai pour principe de ne jamais partir en vacances prolongées avec des petiots parce que de mon point de vue : "Des vacances avec des enfants ça arrête d'en être vu que ça reste un travail")(Puis j'en ai pas j'ai pas envie de me coltiner ceux des autres sur mon temps de détente) sauf que ben... vu que je raisonne comme ça, que je sais pertinemment que je ne pourrais pas accepter d'avoir des enfants de manière prolongée dans ma vie (dans le sens où je devrais vivre/cohabiter très régulièrement avec)... je ne sors pas avec des parents.
C'est malheureux, mais à mon sens, si tu entres en relation avec une personne qui a des enfants, ben tu les acceptes, eux aussi, et ils font partie du lot. Tu seras forcé/e de cohabiter avec quoiqu'il arrive si tu envisages un avenir avec la personne. C'est absolument pas pour tout le monde, je le sais, je fais partie des gens pour lesquels ça ne passerait pas, mais du coup ? Je le fais pas.
J'ai une très bonne pote CF (stérilisée et tout) qui est entrée y'a un moment en relation avec un mec qui a deux gosses (50/50 avec son ex), et qui a essayé de vivre avec, mais qui finalement a pris la décision de se retrouver un appart parce qu'elle ne supportait pas de se retrouver dans ce rôle de "parent supplémentaire" et d'avoir ses libertés et conditions de vies impactées par les enfants de son copain.
Sauf que qu'on le veuille ou non, malheureusement sortir avec un parent, c'est accepter le fait que l'on devra toujours dealer avec la présence des gosses. Ils sont là faut faire avec.
J’imagine qu’ensuite iels enchaînent sur « Je vais t’offrir un beau resto avec l’argent de la pension alimentaire que je ne verse plus à mon ex depuis des mois, ça te branche ? 
» puis « J’enregistre ton numéro juste en-dessous de celui de la juge des affaires familiales qui n’arrête pas de me harceler pour que je signe la nouvelle répartition des gardes que je laisse traîner depuis six mois, comme ça je penserai à toi souvent 
»
