Lorsque l'on est jeune on apprend, ce n'est que lorsque l'on vieillit que l'on comprend.
Cette phrase m'aura fait réflechir (oui, oui ça vient d'Esprits criminel en somme, pour ceux qui auront reconnu). On ne s'arrête jamais de vivre à cause de déceptions, on arrive tellement à passer au dessus avec le temps, que finalement est ce qu'on ne se pense pas un peu plus misérable qu'on ne l'est vraiment? Non ces amis là n'en était pas, non ce n'était pas mon idéal (ou en tout cas pas le bon), oui je trouverai d'autre épaules et d'autre lèvres. (et ce sera sûrement aléatoire puisque qu'on le veuille où non, l'on vie seul) Et on se relève toujours, on prend pas le temps de s'en apercevoir mais on a fait tellement de chemin, je sais qu'il y'aura de l'espoir, j'ose le croire parce que je le veux. Et que cette période-ci n'est sûrement pas mienne, mais que dans le temps on panse nos blessures en avançant.
Et je suis un peu jeune, et je dramatise trop, mais j'ai pris le temps de voir que tout n'est pas blanc ou noir et que moi même je n'suis pas quelqu'un de particulièrement bien ou bon, mais je suis certaine d'une chose, je n'suis pas nuisible.
(voilà, c'est un peu pessimiste mais c'est comme ça que je la vois en ce moment et depuis quelques temps déjà.)
. Un an plus tard, je suis toujours avec lui. On continue notre train de vie à deux, et c'est toujours une perle rare.
Merci Vaness tiens!
