L
Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
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Je t'aime. Tu me manques. Je voudrais être dans tes bras, tous les jours, tous les soirs. Je voudrais te montrer mes talents de piètre chanteuse, d'apprentie danseuse, d'épouvantable cuisinière, d'humoriste déplorable, de super professeur, de mauvaise comédienne, ... . Tous les jours.
Je pense à toi, tout le temps, même quand je regarde d'autres mecs, même quand je parle à d'autres mecs.
Et quand je les regarde, quand je m'intéresse à eux, c'est à toi que je pense. Je pense à ce qu'ils n'ont pas et que toi tu as. Et je me demande si eux ils seraient de potentiels briseurs de coeur, si eux ils seraient capables de me faire autant de mal que toi. Et je pense : OUI. Un gros oui. Je les vois comme toi mais en pire.
Je n'arrive pas à imaginer un seul mec qui t'arrive à la cheville.
Je voudrais qu'on efface tout et qu'on recommence.
Je voudrais qu'on s'aime à nouveau, profondément. Qu'on ait une relation propre. Finis les cris, finies les insultes, finis les débordements, finie la belle grosse infidélité désastreuse, finie la timidité, fini l'enfermement, finis les réveillons dans un chalet parfait avec des gens sans intérêt, finies les habitudes de grand-père ou de petit enfant gâté, finis les reproches, finie la vie d'enfant pourri chacun dans son coin.
Mais une vraie relation, à deux, et avec les autres. A rire, boire, danser, chanter, faire l'amour, tous les jours ! A voyager partout dès qu'on peut. A prendre des milliers de photos de nous, à s'esclafer tout le temps, partout. A s'aimer aussi fort qu'on le peut. A montrer aux autres ce qu'est l'amour, le vrai, le délirant, le puissant, le motivant. L'amour qui te pousse vers le haut et qui te faire voir la vie d'une toute autre couleur. L'amour qui te fait te sentir le roi de ce monde ! Quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe, où qu'on soit.
Je t'aime. Depuis tant de temps!
Mais je vais m'efforcer d'oublier.
Je pense à toi, tout le temps, même quand je regarde d'autres mecs, même quand je parle à d'autres mecs.
Et quand je les regarde, quand je m'intéresse à eux, c'est à toi que je pense. Je pense à ce qu'ils n'ont pas et que toi tu as. Et je me demande si eux ils seraient de potentiels briseurs de coeur, si eux ils seraient capables de me faire autant de mal que toi. Et je pense : OUI. Un gros oui. Je les vois comme toi mais en pire.
Je n'arrive pas à imaginer un seul mec qui t'arrive à la cheville.
Je voudrais qu'on efface tout et qu'on recommence.
Je voudrais qu'on s'aime à nouveau, profondément. Qu'on ait une relation propre. Finis les cris, finies les insultes, finis les débordements, finie la belle grosse infidélité désastreuse, finie la timidité, fini l'enfermement, finis les réveillons dans un chalet parfait avec des gens sans intérêt, finies les habitudes de grand-père ou de petit enfant gâté, finis les reproches, finie la vie d'enfant pourri chacun dans son coin.
Mais une vraie relation, à deux, et avec les autres. A rire, boire, danser, chanter, faire l'amour, tous les jours ! A voyager partout dès qu'on peut. A prendre des milliers de photos de nous, à s'esclafer tout le temps, partout. A s'aimer aussi fort qu'on le peut. A montrer aux autres ce qu'est l'amour, le vrai, le délirant, le puissant, le motivant. L'amour qui te pousse vers le haut et qui te faire voir la vie d'une toute autre couleur. L'amour qui te fait te sentir le roi de ce monde ! Quoi qu'il arrive, quoi qu'il se passe, où qu'on soit.
Je t'aime. Depuis tant de temps!
Mais je vais m'efforcer d'oublier.
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Bonsoir monsieur.
Je ne vous connais pas bien mais vous m'avez émue. Je crois que je me souviendrai toute ma vie de ce moment où vous m'avez pris la main pour l'embrasser. J'avais les larmes aux yeux, moi qui me cache toujours pour pleurer.
Je sais que c'était votre façon de me dire merci, et que vous aviez peur. Que vous vouliez que ça se termine, mais qu'en même temps vous vouliez tellement rester en vie. Que vous auriez peut-être fait certaines choses différemment, mais que par dessus tout, vous aimez vos enfants. J'espère qu'ils iront bien sans vous.
Moi aussi je voudrais vous dire merci. Merci de m'avoir rappelé que la vie est malgré tout précieuse. Qu'il faut la vivre jusqu'au bout, pour ne pas avoir de regrets au dernier moment. Ce sont des phrases qui sonnent creux, mais vous les avez rendues vivantes. Je ne trouve pas d'autres mots. Je crois que ces phrases vivront au fond de moi, grâce à vous. Peut-être pas toujours avec la même force, mais je crois qu'elles seront toujours un peu là. Merci.
Je ne vous trahirai pas. J'appellerai votre famille demain. J'ai envie de vous promettre qu'ils viendront, mais j'ai peur de ne pas réussir. C'est difficile pour eux. Vous le savez, je le sais. Je voudrais tellement, tellement pouvoir faire plus pour vous. Vous soulager comme vous me l'avez demandé. Mais je ne peux pas, je le sais et vous le savez.
Je reviendrai demain soir, ça, je vous le promets. Et si vous êtes encore réveillé, et si vous êtes seul, je vous tiendrai la main. Peut-être pour la dernière fois, peut-être la dernière main que vous tiendrez dans votre vie.
A bientôt monsieur. J'espère que vous serez mieux là où vous partirez.
Je ne vous connais pas bien mais vous m'avez émue. Je crois que je me souviendrai toute ma vie de ce moment où vous m'avez pris la main pour l'embrasser. J'avais les larmes aux yeux, moi qui me cache toujours pour pleurer.
Je sais que c'était votre façon de me dire merci, et que vous aviez peur. Que vous vouliez que ça se termine, mais qu'en même temps vous vouliez tellement rester en vie. Que vous auriez peut-être fait certaines choses différemment, mais que par dessus tout, vous aimez vos enfants. J'espère qu'ils iront bien sans vous.
Moi aussi je voudrais vous dire merci. Merci de m'avoir rappelé que la vie est malgré tout précieuse. Qu'il faut la vivre jusqu'au bout, pour ne pas avoir de regrets au dernier moment. Ce sont des phrases qui sonnent creux, mais vous les avez rendues vivantes. Je ne trouve pas d'autres mots. Je crois que ces phrases vivront au fond de moi, grâce à vous. Peut-être pas toujours avec la même force, mais je crois qu'elles seront toujours un peu là. Merci.
Je ne vous trahirai pas. J'appellerai votre famille demain. J'ai envie de vous promettre qu'ils viendront, mais j'ai peur de ne pas réussir. C'est difficile pour eux. Vous le savez, je le sais. Je voudrais tellement, tellement pouvoir faire plus pour vous. Vous soulager comme vous me l'avez demandé. Mais je ne peux pas, je le sais et vous le savez.
Je reviendrai demain soir, ça, je vous le promets. Et si vous êtes encore réveillé, et si vous êtes seul, je vous tiendrai la main. Peut-être pour la dernière fois, peut-être la dernière main que vous tiendrez dans votre vie.
A bientôt monsieur. J'espère que vous serez mieux là où vous partirez.
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Tu vas réussir plus que moi c'est à n'en pas douter, et oui, tu seras mieux payé que moi, mieux "vu" par la société que moi, je ne me fais aucun doute.
Mais tu penseras comme on te dit de penser parce que "c'est comme ça", parce que c'est comme ça que tu es depuis que tu as 14 ans. Tu fais ce qu'on te dit de faire, tu penses ce qu'on te dit de penser, et tu laisse et laissera peu de places à ton libre arbitre et à ta réfléxion, parce que tu ne l'as jamais fait et tu n'as jamais appris à le faire.
Tu ne voyageras pas, parce que tu n'as jamais aimé ça et que tu m'as toujours confié ton désintérêt à ce sujet, parce que tu n'es pas curieux de tout ça. Tu n'es pas curieux ni des autres, ni de toi même.
Alors oui, tu seras mieux vu que moi et je te le souhaite, parce que ca fait des années que tu travailles en compétition comme ça, parce que je suis le support de tes échecs, parce que au final je suis tout ce que tu as toujours haï.
Je ne suis en rien réellement différente des autres, mais je me fous de rencontrer des gens qui viennent uniquement de ma catégorie socio-professionnelle, parce que je me fous qu'on me parle de mes études en mal, puisque moi j'aime ça, je me fous de passer un week end à, pourquoi pas, si je veux, manger des pizzas pleines de graisse et fumer des pétards. Je le ferais sur le moment parce que j'en aurai envie, parce que si j'ai envie de prendre ma voiture et de partir à la mer, la maintenant, je peux le faire.
Je me fous d'aller au cinéma, un Mardi soir alors que "c'est pas raisonnable, normalement on y va le week end"
Je ne veux pas vivre à genoux et dans la terreur de ne pas être tout à fait comme la moyenne
Oui tu vas avoir une belle vie, et franchement, je te le souhaite, tu auras une femme et des enfants, pas parce que tu en auras envie ou que tu l'auras voulu, mais parce que c'est "comme ça"
Et tu peux rire de moi parce que je me suis déjà demandé si j'aimais plus les femmes ou les hommes, je m'en cogne, je me suis au moins posé la question.
Tu peux rire de mon "bac +5 enculage de mouche" comme tu dis, mais je n'ai pas choisi mes études par défaut ou par pression, j'ai choisi par passion. Tu peux rire de mon bac L "branleur", mais j'ai pris plaisir dans cette filière.
Je me fous, de ce que toi ou ta famille pense de moi, j'essaye de vivre ma vie comme je l'entends, et tu sais quoi ? Elle me plait, je n'ai jamais autant aimé ma vie depuis que tu en es sortie.
Tu vas certainement vivre ta vie morne et terne, à ton image, mais moi, pas, et tant pis si ça t'emmerde.
Mais tu penseras comme on te dit de penser parce que "c'est comme ça", parce que c'est comme ça que tu es depuis que tu as 14 ans. Tu fais ce qu'on te dit de faire, tu penses ce qu'on te dit de penser, et tu laisse et laissera peu de places à ton libre arbitre et à ta réfléxion, parce que tu ne l'as jamais fait et tu n'as jamais appris à le faire.
Tu ne voyageras pas, parce que tu n'as jamais aimé ça et que tu m'as toujours confié ton désintérêt à ce sujet, parce que tu n'es pas curieux de tout ça. Tu n'es pas curieux ni des autres, ni de toi même.
Alors oui, tu seras mieux vu que moi et je te le souhaite, parce que ca fait des années que tu travailles en compétition comme ça, parce que je suis le support de tes échecs, parce que au final je suis tout ce que tu as toujours haï.
Je ne suis en rien réellement différente des autres, mais je me fous de rencontrer des gens qui viennent uniquement de ma catégorie socio-professionnelle, parce que je me fous qu'on me parle de mes études en mal, puisque moi j'aime ça, je me fous de passer un week end à, pourquoi pas, si je veux, manger des pizzas pleines de graisse et fumer des pétards. Je le ferais sur le moment parce que j'en aurai envie, parce que si j'ai envie de prendre ma voiture et de partir à la mer, la maintenant, je peux le faire.
Je me fous d'aller au cinéma, un Mardi soir alors que "c'est pas raisonnable, normalement on y va le week end"
Je ne veux pas vivre à genoux et dans la terreur de ne pas être tout à fait comme la moyenne
Oui tu vas avoir une belle vie, et franchement, je te le souhaite, tu auras une femme et des enfants, pas parce que tu en auras envie ou que tu l'auras voulu, mais parce que c'est "comme ça"
Et tu peux rire de moi parce que je me suis déjà demandé si j'aimais plus les femmes ou les hommes, je m'en cogne, je me suis au moins posé la question.
Tu peux rire de mon "bac +5 enculage de mouche" comme tu dis, mais je n'ai pas choisi mes études par défaut ou par pression, j'ai choisi par passion. Tu peux rire de mon bac L "branleur", mais j'ai pris plaisir dans cette filière.
Je me fous, de ce que toi ou ta famille pense de moi, j'essaye de vivre ma vie comme je l'entends, et tu sais quoi ? Elle me plait, je n'ai jamais autant aimé ma vie depuis que tu en es sortie.
Tu vas certainement vivre ta vie morne et terne, à ton image, mais moi, pas, et tant pis si ça t'emmerde.
Putain je deteste dire ces mots mais merde quoi, toi aussi ?? Toi aussi tu fais parti de ces c* qui sont pas capables de porter leurs c* et dire les choses telles qu'elles sont et dans les yeux des personnes concernées ?? Encore du blabla et rien que du blabla encore et toujours... 5 semaines à parler de tout et de rien, des fous rires, apprendre à se connaitre un peu plus chaque jour séparés a des milliers de kilometres, se manquer chaque jour un peu plus. Tu jouais au gros dur "Ouais moi j'suis un mec ENTIER je DIS les choses. Et si ça plait pas ben CIAO" .... Waw... Clap clap clap, quel beau numéro et dire que c'était que du flan !! En fait t'es juste un mec qui se vante d'avoir la force d'en mettre plein la g* à ceux qui te plaisent pas mais quand c'est pour avouer ses faiblesses et parler calmement, aborder les sujets douloureux et compliqués bennnn forcément là c'est la fuite ! Bravo ! Du haut de tes 40 piges ben finalement j'ai pitié de toi. T'as presque failli me faire du mal tiens...
J'avais oublié à quoi ressemblait le manque de quelqu'un.
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