On s'est séparées comme des chiens en cage.
Ce fût violent, net et sale.
Je me demande parfois si ça aurait pu en être autrement et la réponse est non.
Tu ne me manques pas vraiment, mais j'ai parfois des flashs de toi qui me viennent, sans crier gare.
C'est troublant mais je m'y suis habituée.
Je me demande parfois comment est ta vie, quel genre de personne tu es devenue.
Un jour on s'imaginait vieilles, avec nos petites cannes, à prendre soin l'une de l'autre, aujourd'hui on est des inconnues.
J'ai compris que ce n'était pas triste, c'est la vie.