Mec franchement, tu me casses les couilles.
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Ce que j'aimerais lui dire...
- Initiateur de la discussion Abelys
- Date de début
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Mon dieu, mon dieu, je t'ai croisé dans la rue et j'ai fais comme si de rien n'étais 
J'aurais pu au moins croiser ton regard, te sourire et simplement dire bonjour... Mais rien... Tu étais accompagné et je t'ai fais suffisamment de mal comme ça... Pardon...
J'aurais pu au moins croiser ton regard, te sourire et simplement dire bonjour... Mais rien... Tu étais accompagné et je t'ai fais suffisamment de mal comme ça... Pardon...
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Mais t'es sérieux ?
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Si tu passes par ici, sache que je m'en veux de n'avoir rien fait de plus et que j'espère que tu vas bien et qu'il t'a pas trop gâché ta journée
J'ai vraiment de la peine, je t'ai parlé de ma crainte et tu n'as rien dit....
Je ne sais pas si on est vraiment ensemble pour toi, ou si tu prends juste du bon temps avec moi.
J'ai l'impression que tu t'en fiches de moi.
Ça fait trois fois qu'on se voit et que tu me dis que tu t'es fait draguer, je n'ai rien dit, mais putain, ça m'as fait chier.
J'en peux déjà plus de sur Facebook, cette meuf que tu identifie sur pleins de publications et inversement. Et moi, j'ai droit à rien.
Moi, j'ai l'impression que je te fais honte.
Oui, je suis complètement introvertie, mais je pourrais pas le changer ça, jamais.
Si tu t'en fous, dis le, ne me laisse pas attendre ce que tu n'as pas l'intention de me donner.
Je mérites pas ça...
Je ne sais pas si on est vraiment ensemble pour toi, ou si tu prends juste du bon temps avec moi.
J'ai l'impression que tu t'en fiches de moi.
Ça fait trois fois qu'on se voit et que tu me dis que tu t'es fait draguer, je n'ai rien dit, mais putain, ça m'as fait chier.
J'en peux déjà plus de sur Facebook, cette meuf que tu identifie sur pleins de publications et inversement. Et moi, j'ai droit à rien.
Moi, j'ai l'impression que je te fais honte.
Oui, je suis complètement introvertie, mais je pourrais pas le changer ça, jamais.
Si tu t'en fous, dis le, ne me laisse pas attendre ce que tu n'as pas l'intention de me donner.
Je mérites pas ça...
Les efforts sont censée être reparti dans les deux camp .. Et bah pour le moment il n'y a que le miens qui est en action et sa commence légèrement à m'enerver parce que j'ai fais l'effort de venir vers toi .. Tu m'as volontairement ignorer et je devrais vivre avec .. L'excuse sa seras quoi ? Que tu la ouvert avec inadvertance ? Ou que tu l'a pas vue ? J'en peux plus .. Je dis stop ..
Depuis ce message d'il y a 2 semaines, je suis terrifiée.
Terrifiée de tout. Et surtout d'une chose capitale : te perdre.
Je refuse d'y penser. Je m'interdis d'y penser.
Il y a encore 2 semaines, j'allais me coucher vers 2h du matin, comme depuis des mois. Maintenant, quand tu es de service, je t'accompagne via skype jusque vers 5-6h du matin, jusqu'à ta fin de service. Parce que je refuse de perdre la moindre seconde de conversation avec toi.
Voilà des années que je ne fais plus de cauchemars. De ceux qui te réveillent en pleine nuit, se gravent à jamais dans ta mémoire.. depuis une semaine et quelques, c'est toujours le même scénario qui revient.
Cependant, tu as tout de suite été honnête et tu as dit ce que tu ressentais. Nous en avons longuement discuté. Et c'est là que je me suis rendue compte que tu comptes bien plus que réellement pour moi : il n'y a pas eu de crise de larmes où je te suppliais à genoux. Nous en avons calmement discuté, comme des grands. Puis, apaisés par la "maturité" de chacun face à tout ça, tu as proposé qu'on se fasse un w-e à deux.
Nous avons changé de sujet et avons ri de diverses choses.
Comme je te l'ai dit : la longue-distance - aussi courte soit-elle - pose toujours une espèce de "stand-by" entre chaque retrouvailles. Et je n'ai pas l'intention de lâcher-prise.
Parce que : tu me comprends si bien. Tu me soutiens si bien. Tu es toujours là. Tu me fais tant de bien. Tu es le seul à avoir si bien cerné le comportement de M de ma mère. Tu es le premier à m'avoir dit et m'avoir vraiment fait réaliser que ce qu'elle me fait subir depuis l'enfance n'est pas normal !
Tu es le premier à me dire être fier de moi quand je réalise des petites choses que ma mère qualifie de merdique ! Tu sais me protéger, et ce malgré les remarques que je me fais à moi-même comme si c'était ma mère qui les disait.
Je t'aime !
J'ignore si je trouverai un jour des mots suffisamment forts pour te dire à quel point je t'aime !
Terrifiée de tout. Et surtout d'une chose capitale : te perdre.
Je refuse d'y penser. Je m'interdis d'y penser.
Il y a encore 2 semaines, j'allais me coucher vers 2h du matin, comme depuis des mois. Maintenant, quand tu es de service, je t'accompagne via skype jusque vers 5-6h du matin, jusqu'à ta fin de service. Parce que je refuse de perdre la moindre seconde de conversation avec toi.
Voilà des années que je ne fais plus de cauchemars. De ceux qui te réveillent en pleine nuit, se gravent à jamais dans ta mémoire.. depuis une semaine et quelques, c'est toujours le même scénario qui revient.
Cependant, tu as tout de suite été honnête et tu as dit ce que tu ressentais. Nous en avons longuement discuté. Et c'est là que je me suis rendue compte que tu comptes bien plus que réellement pour moi : il n'y a pas eu de crise de larmes où je te suppliais à genoux. Nous en avons calmement discuté, comme des grands. Puis, apaisés par la "maturité" de chacun face à tout ça, tu as proposé qu'on se fasse un w-e à deux.
Nous avons changé de sujet et avons ri de diverses choses.Comme je te l'ai dit : la longue-distance - aussi courte soit-elle - pose toujours une espèce de "stand-by" entre chaque retrouvailles. Et je n'ai pas l'intention de lâcher-prise.
Parce que : tu me comprends si bien. Tu me soutiens si bien. Tu es toujours là. Tu me fais tant de bien. Tu es le seul à avoir si bien cerné le comportement de M de ma mère. Tu es le premier à m'avoir dit et m'avoir vraiment fait réaliser que ce qu'elle me fait subir depuis l'enfance n'est pas normal !
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Tu es le premier à me dire être fier de moi quand je réalise des petites choses que ma mère qualifie de merdique ! Tu sais me protéger, et ce malgré les remarques que je me fais à moi-même comme si c'était ma mère qui les disait.
Je t'aime !
J'ignore si je trouverai un jour des mots suffisamment forts pour te dire à quel point je t'aime !
Qu'il ne faut pas qu'il baisse les bras. Que j'ai besoin de lui, de son Amour. Qu'un cancer n'a pas à nous emporter si facilement. Qu'il fait aimer la vie. Que je l'aime, tour simplement.
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