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Membre supprimé 354054
Guest
Je voulais te dire pardon. On s'est jamais parlées, on s'est vues deux fois, et pourtant pendant des années, je t'ai détesté. Je me disais que tu me prenais le seul homme qui comptait pour moi, le seul homme que j'aimais plus que tout et à qui j'avais toujours été incapable de faire ma déclaration. C'est vrai que je t'ai détesté parce que j'avais le sentiment que tu me volais mon bonheur. Quand j'ai su que vous vous installiez ensemble, j'ai rien dit, mais j'étais triste. Je me disais que c'était le premier pas, après ce serait le mariage, les enfants... Et moi je resterais seule...
Quand j'ai appris que tu l'avais quitté, je reconnais que j'ai été heureuse et que j'ai senti l'opportunité qui ne se représenterait jamais. Il m'a rapidement montré qu'il était dispo, j'ai sauté sur l'occasion... J'aurais jamais dû.
Je me suis rendue compte à quel point il était manipulateur, à quel point tout ce qu'il nous avait raconté sur toi était faux, exagéré, détourné, pour qu'il ait le beau rôle du pauvre petit garçon quitté par la vilaine femme pécheresse... Tu avais raison depuis le début. Il nous a tous embobiné, les uns après les autres, et surtout moi. Il m'a déclaré son amour qui n'en était pas, juste pour te faire rager, pour pouvoir te dire qu'il avait réussi à coucher avec moi et te rendre jalouse... Et tu n'as même pas été jalouse. Quand j'ai vu son vrai visage, je l'ai laissé tomber mais le mal était fait.
Je ne peux pas dire que je m'en veux parce que je ne t'ai rien fait, mais je regrette de t'avoir détesté dans ma tête en me disant que tu me faisais passer à côté du bonheur, alors qu'il n'y aurait pas eu de bonheur possible avec ce mec... Je te dis ça aujourd'hui parce que je viens de voir qu'il glorifie sa "force mentale" sur Facebook, et ça m'a fait hurler de rire... C'est pas lui qui a de la force mentale, c'est nous qui l'avons eu de l'avoir supporté, et de lui avoir claqué la porte au nez. Je ne te connais pas, et je ne déteste plus, au contraire. J'ai même beaucoup de compassion pour toi, avec tout ce que tu as dû enduré. Je ne pense pas qu'un jour on se parlera "en vrai" parce qu'on ne l'a jamais fait, et on n'aurait pas de prétexte pour le faire, je voulais juste laisser une trace quelque part.
Quand j'ai appris que tu l'avais quitté, je reconnais que j'ai été heureuse et que j'ai senti l'opportunité qui ne se représenterait jamais. Il m'a rapidement montré qu'il était dispo, j'ai sauté sur l'occasion... J'aurais jamais dû.
Je me suis rendue compte à quel point il était manipulateur, à quel point tout ce qu'il nous avait raconté sur toi était faux, exagéré, détourné, pour qu'il ait le beau rôle du pauvre petit garçon quitté par la vilaine femme pécheresse... Tu avais raison depuis le début. Il nous a tous embobiné, les uns après les autres, et surtout moi. Il m'a déclaré son amour qui n'en était pas, juste pour te faire rager, pour pouvoir te dire qu'il avait réussi à coucher avec moi et te rendre jalouse... Et tu n'as même pas été jalouse. Quand j'ai vu son vrai visage, je l'ai laissé tomber mais le mal était fait.
Je ne peux pas dire que je m'en veux parce que je ne t'ai rien fait, mais je regrette de t'avoir détesté dans ma tête en me disant que tu me faisais passer à côté du bonheur, alors qu'il n'y aurait pas eu de bonheur possible avec ce mec... Je te dis ça aujourd'hui parce que je viens de voir qu'il glorifie sa "force mentale" sur Facebook, et ça m'a fait hurler de rire... C'est pas lui qui a de la force mentale, c'est nous qui l'avons eu de l'avoir supporté, et de lui avoir claqué la porte au nez. Je ne te connais pas, et je ne déteste plus, au contraire. J'ai même beaucoup de compassion pour toi, avec tout ce que tu as dû enduré. Je ne pense pas qu'un jour on se parlera "en vrai" parce qu'on ne l'a jamais fait, et on n'aurait pas de prétexte pour le faire, je voulais juste laisser une trace quelque part.