@Bronjohn @Jester. Merci pour vos réponses! Ça a l’air super intéressant effectivement le style que tu décris
@Jester. (je ne sais plus qui avait parlé de cette approche il y a quelques semaines, mais j’avais déjà trouvé ça intéressant- je me disais juste que c’était ptete pas assez analytique alors que maintenant je vois mieux comment ça pourrait allier action et analyse!).
Pour ce qui est de changer de psy, je me dis juste que ça m’apporte quand même un peu et il ne reste que 2-3 semaines avant la fin de l’année donc je me dis que j’ai pas trop le temps de trouver quelqu’un d’autre mais que je peux encore utiliser quelques séances remboursées (je ne sais plus combien j’en ai par an mais pas sûre que c’est assez pour toute une année donc je me dis autant en profiter maintenant).
Je suis restée 5 séances parce qu’une amie m’avait dit qu’on ne peut pas trop savoir avant 3-5 séances, ce qui me paraissait pertinent surtout que je peux être un peu butée et résistante à ce qu’on me dit parfois donc je veux bien croire qu’il peut me falloir quelques semaines avant d’évaluer si ça m’aide ou non
Et l’autre truc c’est que j’avais pas spécialement envie de tout reprendre de zéro en racontant à nouveau toutes mes histoires à quelqu’un de nouveau. Mais je crois que maintenant je vois comment je peux éviter de tout raconter, je pense qu’une grosse partie de nos échanges des premières séances sont superflus donc je pourrai aller plus vite vers ce qui me parait important
Je vais essayer quelqu’un d’autre effectivement mais peut-être en 2023!
Mais j’ai cru comprendre que ne pas savoir quand quitter un psy était un problème fréquent
Une de mes amies m’a expliqué qu’elle a mis 6 ans à arriver à “plaquer sa psy” (c’est le terme qu’elle emploie
) alors qu’elle n’a jamais été convaincue mais qu’elle allait la voir parfois jusqu’à 3 fois par semaine en traînant des pieds. Apparemment, sa psy l’intimidait trop avec sa personnalité froide et elle n’osait pas dire qu’elle voulait arrêter tout en ayant l’impression que c’est peut-être sa faute si la thérapie n’était pas hyper utile et qu’il fallait qu’elle bosse plus sur elle pour réussir à en bénéficier!
@Bronjohn Je vois pourquoi tu penses au côté action qui ne me convient peut-être pas. En fait, je ne vois pas vraiment le sens de ses appels à agir, ça me fait un peu l’effet de banalité du genre “vous êtes triste? Hé bien arrêtez de l’être !”. Du coup, ce que décrit
@Jester., ça a l’air pas mal car ça ressemble plus à un plan d’action avec des objectifs.
Un peu la différence entre quelqu’un qui me dirait “tu n’arrives pas à trouver un travail? Envoie des CV à des entreprises - si tu ne veux pas faire ça, tu ne vas jamais trouver!” (on me dit quoi faire mais je l’ai fait avant et ça n’a pas marché donc pourquoi refaire la même chose donnerait un résultat différent?) et quelqu’un qui ne dirait “si tu n’arrives pas à trouver un travail, il faut qu’on regarde ensemble si ton CV doit être modifié, si tu dois cibler un nouveau secteur d’activité, s’il faut que tu fasses plutôt du porte à porte, etc.”. En gros, l’un me propose une action certes tout à fait adaptée à la situation mais très générique tandis que l’autre propose une analyse pour mieux ajuster mes actions: donc ça semble être un mix analyse et action qui pourrait me convenir!