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Célibattantes !
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Membre supprimé 108247
Guest
@Océanite Tempête
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@Théa-Lou
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J’écrirais plus tard plus en détail, mais vraiment je suis à un moment de ma vie où les annonces de grossesse de proches me foutent le cafard.
Bref, désolée pour la déprime, je reviens plus tard.
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Bref, désolée pour la déprime, je reviens plus tard.
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@Endless
Sinon pour revenir un peu sur mon message et la vibe déprimée qu'on est plusieurs à avoir lol.
Donc moi perso, ça m'énerve un peu que ce soit pas un truc que j'arrive à vraiment expliquer correctement aux psys. Mais quand j'étais au lycée, j'avais déjà l'impression que ça ne fonctionnait pas pour moi comme les autres le fait d'arriver à trouver quelqu'un. Ensuite, quand j'ai commencé à mieux "draguer" et trouver des gens qui je m'intéressais, je me suis dit "ah c'est bon, ça arrivera bien à un moment de trouver la personne qui me convient". Mais littéralement entre mes 13 et 21 ans, c'était une vraie blessure intérieure que cette conviction que je n'arrivais vraiment pas à avoir une vie sentimentale. Et donc me dire "ah c'est bon, on verra plus tard", c'était aussi une façon de me dire "STOP la souffrance intérieure parce que je n'ai pas trouvé l'amour, il y a autre chose dans la vie".
Et bon bah maintenant, il faut bien se rendre à l'évidence que ma "peur" de quand j'avais 15 ans s'est tout à fait matérialisée puisque je n'ai toujours pas réussi à avoir une relation sérieuse à l'approche de la quarantaine. Autour de moi, je connais vraiment très très peu de gens dans mon cas, et je dis "très peu" car en fait j'en connais zéro, mais je sais bien que c'est pas un truc dans les gens se vantent donc j'imagine qu'il y a des gens que je connais dans ce cas mais ils m'ont rien dit.
Donc bref, je pense qu'il y a quelque chose chez moi qui fait que je n'arrive pas à avoir de relations amoureuses. Je crois que j'ai dit "qu'est-ce qui cloche chez moi" dans mon dernier message, et c'est typiquement le genre de trucs où les gens disent "mais rien ne cloche chez toi" blablabliblablou, mais OK. Je dis ça de manière DRAMATIQUE, ça sonne très négatif, mais j'ai quand même une bonne estime de moi en fait. Je ne pense pas être produit défectueux ou quoi.
C'est même justement pour ça que je pense qu'il y a quelque chose qui "cloche" et que je n'ai pas encore réalisé quoi (quand je dis "cloche" bah je sais pas, c'est ptete juste un truc inconscient, c'est une façon de parler). Quand j'avais 14 ans OK. J'avais été harcelée pendant un an en 6e et j'étais encore un peu traumatisée parce que j'étais restée dans la même classe depuis (sans mes harceleurs mais avec des gens qui, j'étais convaincue, me méprisaient), du coup j'étais un peu timide et coincée parce que j'avais très peur d'être à nouveau rejetée et autre.
Aujourd'hui, je ne vois plus du tout comme cette fille un peu timide et coincée. Je considère même que c'est un de mes talents : je suis très à l'aise dans les interactions sociales. Je vois bien que les nouvelles personnes me trouvent souvent super sympa, intéressante et cool, et je pense vraiment que je sais me faire des amis et donner envie aux nouvelles personnes d'être amies avec moi. Bien sûr hein, il y a des gens qui ne m'aiment pas et des environnements où je me sens hyper mal à l'aise et pas du tout cool. Mais en règle générale, je pense que c'est relativement facile pour moi de connecter avec les gens et de leur donner envie de mieux me connaitre.
Je suis aussi très bonne pour me faire des amis sur le long terme, donc ce n'est pas juste des relations superficielles que je crée.
Et donc si dans ces conditions où les gens ont envie de me connaitre et de me garder dans leur vie pendant plusieurs décennies, je n'ai jamais réussi à avoir une relation sérieuse (en gros, mes relations les plus significatives, c'était Dan, avec qui on n'a jamais été officiellement en couple et ça a duré quoi, 3-4 mois, et Romain, qui trompait sa meuf et avec qui ça a duré 5 ou 6 mois, super les relations les plus significatives quoi), c'est bien qu'il y a un truc qui cloche. Je veux dire, je connais tellement de gens qui sont beaucoup moins à l'aise avec les relations sociales et premiers contacts que moi, voire qui sont ultra timides et renfermés, et qui ne rencontrent pas du tout autant de monde que moi, et qui enchainent les relations amoureuses. Des gens qui ont zéro ami mais ne sont jamais célibataire (et leur couple n'est pas forcément nul du tout).
Donc en vrai, réussir à être en couple, c'est pas du tout "plus dur" que de réussir à avoir plein d'amis sincères et loyaux. Alors pourquoi je suis incapable de tisser ce type de relation?
Voilà, ça me gave que je n'arrive pas à faire comprendre la problématique à mes psys!
Donc, je me souviens que quand j'étais plus jeune et que j'avais peur de mourir sans jamais me marier comme la voisine de 90 ans ma grand-mère qui se faisait appeler Mademoiselle Picard parce qu'elle ne s'était jamais mariée après que son fiancé l'ait quitté pour une autre 70 ans plus tôt, je me disais que je regrettais de ne pas faire partie d'une culture qui a des mariages arrangés
Attention hein, je parle bien de "mariages arrangés", pas de mariages forcés. J'ai vécu dans un pays où ça se faisait assez souvent, et à l'époque moderne, c'est juste que tes proches font une sélection pour toi grâce à leur réseau et à des entremetteurs et ils organisent des dates, tu rencontres leurs sélections et tu vois si ça te convient (certaines familles sont certes moins ouvertes à un "je ne suis pas intéressée" que d'autres mais le concept n'est pas toxique par essence). Je me disais "purée ce serait tellement bien pour moi qui ne sait pas comment trouver quelqu'un".
Eh bien ces dernières années, j'ai recommencé à me dire ça. En regardant Bridgerton, j'étais trop jalouse! Pas spécialement des passions amoureuses hein, même si bien sûr que j'aime bien rêver devant les romances. Mais plus le côté pragmatique du truc. Je me disais oh la la, j'aimerais bien être dans une société où c'est normal d'écumer les bals masqués et les promenades dans le parc tout l'été en disant "je cherche un mari" à qui veut l'entendre, de taper la discute à 30 gars en voyant avec qui ça matche en les abordant au stand à limonade avec des approches hyper banale du genre "quel temps ensoillée aujourd'hui, n'est-ce pas?", d'avoir ta famille et tes potes qui essayent de te mettre en contact avec le bon, et vous savez tous que vous êtes là pour un mariage et des gosses, et boum l'affaire est conclue à la fin de l'été. Alors que c'est pas censé être un univers vraiment fun pour les héroïnes, moi je me disais "si seulement ce système existait pour moi"
Du coup, je me suis dit que peut-être que je devrais regarder un peu les applications ou systèmes de rencontre un peu plus "haut de gamme" où il y a un peu plus de personnalisation et de mises en contact, voire un aspect carte sur table : "tu t'inscris ici pour te marier/avoir des gosses" parce que voilà, moi je veux construire une famille maintenant, pas juste rêvasser sur le beau gosse du bureau d'à côté. J'imagine que ça doit bien exister encore ces trucs un peu plus personnalisés que Tinder et Bumble...
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Sinon pour revenir un peu sur mon message et la vibe déprimée qu'on est plusieurs à avoir lol.
Donc moi perso, ça m'énerve un peu que ce soit pas un truc que j'arrive à vraiment expliquer correctement aux psys. Mais quand j'étais au lycée, j'avais déjà l'impression que ça ne fonctionnait pas pour moi comme les autres le fait d'arriver à trouver quelqu'un. Ensuite, quand j'ai commencé à mieux "draguer" et trouver des gens qui je m'intéressais, je me suis dit "ah c'est bon, ça arrivera bien à un moment de trouver la personne qui me convient". Mais littéralement entre mes 13 et 21 ans, c'était une vraie blessure intérieure que cette conviction que je n'arrivais vraiment pas à avoir une vie sentimentale. Et donc me dire "ah c'est bon, on verra plus tard", c'était aussi une façon de me dire "STOP la souffrance intérieure parce que je n'ai pas trouvé l'amour, il y a autre chose dans la vie".
Et bon bah maintenant, il faut bien se rendre à l'évidence que ma "peur" de quand j'avais 15 ans s'est tout à fait matérialisée puisque je n'ai toujours pas réussi à avoir une relation sérieuse à l'approche de la quarantaine. Autour de moi, je connais vraiment très très peu de gens dans mon cas, et je dis "très peu" car en fait j'en connais zéro, mais je sais bien que c'est pas un truc dans les gens se vantent donc j'imagine qu'il y a des gens que je connais dans ce cas mais ils m'ont rien dit.
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Donc bref, je pense qu'il y a quelque chose chez moi qui fait que je n'arrive pas à avoir de relations amoureuses. Je crois que j'ai dit "qu'est-ce qui cloche chez moi" dans mon dernier message, et c'est typiquement le genre de trucs où les gens disent "mais rien ne cloche chez toi" blablabliblablou, mais OK. Je dis ça de manière DRAMATIQUE, ça sonne très négatif, mais j'ai quand même une bonne estime de moi en fait. Je ne pense pas être produit défectueux ou quoi.
C'est même justement pour ça que je pense qu'il y a quelque chose qui "cloche" et que je n'ai pas encore réalisé quoi (quand je dis "cloche" bah je sais pas, c'est ptete juste un truc inconscient, c'est une façon de parler). Quand j'avais 14 ans OK. J'avais été harcelée pendant un an en 6e et j'étais encore un peu traumatisée parce que j'étais restée dans la même classe depuis (sans mes harceleurs mais avec des gens qui, j'étais convaincue, me méprisaient), du coup j'étais un peu timide et coincée parce que j'avais très peur d'être à nouveau rejetée et autre.
Aujourd'hui, je ne vois plus du tout comme cette fille un peu timide et coincée. Je considère même que c'est un de mes talents : je suis très à l'aise dans les interactions sociales. Je vois bien que les nouvelles personnes me trouvent souvent super sympa, intéressante et cool, et je pense vraiment que je sais me faire des amis et donner envie aux nouvelles personnes d'être amies avec moi. Bien sûr hein, il y a des gens qui ne m'aiment pas et des environnements où je me sens hyper mal à l'aise et pas du tout cool. Mais en règle générale, je pense que c'est relativement facile pour moi de connecter avec les gens et de leur donner envie de mieux me connaitre.
Je suis aussi très bonne pour me faire des amis sur le long terme, donc ce n'est pas juste des relations superficielles que je crée.
Et donc si dans ces conditions où les gens ont envie de me connaitre et de me garder dans leur vie pendant plusieurs décennies, je n'ai jamais réussi à avoir une relation sérieuse (en gros, mes relations les plus significatives, c'était Dan, avec qui on n'a jamais été officiellement en couple et ça a duré quoi, 3-4 mois, et Romain, qui trompait sa meuf et avec qui ça a duré 5 ou 6 mois, super les relations les plus significatives quoi), c'est bien qu'il y a un truc qui cloche. Je veux dire, je connais tellement de gens qui sont beaucoup moins à l'aise avec les relations sociales et premiers contacts que moi, voire qui sont ultra timides et renfermés, et qui ne rencontrent pas du tout autant de monde que moi, et qui enchainent les relations amoureuses. Des gens qui ont zéro ami mais ne sont jamais célibataire (et leur couple n'est pas forcément nul du tout).
Donc en vrai, réussir à être en couple, c'est pas du tout "plus dur" que de réussir à avoir plein d'amis sincères et loyaux. Alors pourquoi je suis incapable de tisser ce type de relation?
Voilà, ça me gave que je n'arrive pas à faire comprendre la problématique à mes psys!
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Donc, je me souviens que quand j'étais plus jeune et que j'avais peur de mourir sans jamais me marier comme la voisine de 90 ans ma grand-mère qui se faisait appeler Mademoiselle Picard parce qu'elle ne s'était jamais mariée après que son fiancé l'ait quitté pour une autre 70 ans plus tôt, je me disais que je regrettais de ne pas faire partie d'une culture qui a des mariages arrangés
Attention hein, je parle bien de "mariages arrangés", pas de mariages forcés. J'ai vécu dans un pays où ça se faisait assez souvent, et à l'époque moderne, c'est juste que tes proches font une sélection pour toi grâce à leur réseau et à des entremetteurs et ils organisent des dates, tu rencontres leurs sélections et tu vois si ça te convient (certaines familles sont certes moins ouvertes à un "je ne suis pas intéressée" que d'autres mais le concept n'est pas toxique par essence). Je me disais "purée ce serait tellement bien pour moi qui ne sait pas comment trouver quelqu'un".
Eh bien ces dernières années, j'ai recommencé à me dire ça. En regardant Bridgerton, j'étais trop jalouse!
Pas spécialement des passions amoureuses hein, même si bien sûr que j'aime bien rêver devant les romances. Mais plus le côté pragmatique du truc. Je me disais oh la la, j'aimerais bien être dans une société où c'est normal d'écumer les bals masqués et les promenades dans le parc tout l'été en disant "je cherche un mari" à qui veut l'entendre, de taper la discute à 30 gars en voyant avec qui ça matche en les abordant au stand à limonade avec des approches hyper banale du genre "quel temps ensoillée aujourd'hui, n'est-ce pas?", d'avoir ta famille et tes potes qui essayent de te mettre en contact avec le bon, et vous savez tous que vous êtes là pour un mariage et des gosses, et boum l'affaire est conclue à la fin de l'été. Alors que c'est pas censé être un univers vraiment fun pour les héroïnes, moi je me disais "si seulement ce système existait pour moi" Du coup, je me suis dit que peut-être que je devrais regarder un peu les applications ou systèmes de rencontre un peu plus "haut de gamme" où il y a un peu plus de personnalisation et de mises en contact, voire un aspect carte sur table : "tu t'inscris ici pour te marier/avoir des gosses" parce que voilà, moi je veux construire une famille maintenant, pas juste rêvasser sur le beau gosse du bureau d'à côté. J'imagine que ça doit bien exister encore ces trucs un peu plus personnalisés que Tinder et Bumble...
Je réagis à ton message @MorganeGirly (coucou, je suis un sous-marin) pour te dire que je me reconnais totalement dans ton message... malheureusement j'ai envie de dire lol !
Bon voilà, je n'ai pas de solutions et me sens parfois démunie face à cette situation. Mais au moins, je voulais te dire que tu n'es effectivement pas seule dans cette situation... même si je doute que ce soit très réconfortant pour toi.
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Bon voilà, je n'ai pas de solutions et me sens parfois démunie face à cette situation. Mais au moins, je voulais te dire que tu n'es effectivement pas seule dans cette situation... même si je doute que ce soit très réconfortant pour toi.
Bonjour tout le monde, je crois que ce topic est fait pour moi...
@MorganeGirly
Je confirme : tu n'es pas la seule !
Je suis un peu plus jeune que toi et depuis que j'ai passé la trentaine j'ai envie, non pas forcément de me marier, mais d'une relation stable et longue (PACS par exemple).
Pour l'instant, je n'y arrive pas... Le pire, c'est que j'ai des preuves que je peux plaire (sans me vanter). Et je sais très bien nouer des liens à long terme (amicaux par exemple). Mais en couple, non ?
Je me dis que soit je n'ai pas de chances de ne pas avoir trouvé "le bon", soit j'ai des raisons inconscientes (j'essaie d'éviter le mot "problèmes" parce que c'est pris de manière péjorative) d'être en couple
et PAREIL, j'avais une forme de jalousie lorsque je lis un roman historique par exemple ou dans les films mettant en scène un mariage arrangé. Cela me paraissait tellement plus simple pour l’héroïne. Le pire, c'est que c'est vraiment par période. Lorsque je suis sereine vis à vis de mon célibat je vois bien le potentiel toxique de ce système (surtout pour les femmes d'un point de vue féministe). Mais quand je déprime je me dis "c'est tellement plus pratique"... Le paradoxe
BREF je me dis que je devrais peut-être tester des applications payantes, mais j'ai un peu peur d'être encore plus mal si j'ai la sensation d'être un pigeon...
Sinon il existe carrément les agences matrimoniales mais j'ai l'impression que l'offre vise soit les populations de pays où il y a traditionnellement des entremetteurs OU les très très riches.
Je demande pas la lune pourtant
@MorganeGirly
Je confirme : tu n'es pas la seule !
Je suis un peu plus jeune que toi et depuis que j'ai passé la trentaine j'ai envie, non pas forcément de me marier, mais d'une relation stable et longue (PACS par exemple).
Pour l'instant, je n'y arrive pas... Le pire, c'est que j'ai des preuves que je peux plaire (sans me vanter). Et je sais très bien nouer des liens à long terme (amicaux par exemple). Mais en couple, non ?
Je me dis que soit je n'ai pas de chances de ne pas avoir trouvé "le bon", soit j'ai des raisons inconscientes (j'essaie d'éviter le mot "problèmes" parce que c'est pris de manière péjorative) d'être en couple
et PAREIL, j'avais une forme de jalousie lorsque je lis un roman historique par exemple ou dans les films mettant en scène un mariage arrangé. Cela me paraissait tellement plus simple pour l’héroïne. Le pire, c'est que c'est vraiment par période. Lorsque je suis sereine vis à vis de mon célibat je vois bien le potentiel toxique de ce système (surtout pour les femmes d'un point de vue féministe). Mais quand je déprime je me dis "c'est tellement plus pratique"... Le paradoxe
BREF je me dis que je devrais peut-être tester des applications payantes, mais j'ai un peu peur d'être encore plus mal si j'ai la sensation d'être un pigeon...
Sinon il existe carrément les agences matrimoniales mais j'ai l'impression que l'offre vise soit les populations de pays où il y a traditionnellement des entremetteurs OU les très très riches.
Je demande pas la lune pourtant
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