@Lulla94 @Karoh je me permets de rebondir sur ce que vous disiez parce que j'avoue que c'est une question qui me traverse souvent l'esprit : en tant que personnes sans enfants, vous lancez quoi comme sujet de conversation et/ou vous aimeriez que les autres parlent de quoi ? 
Perso, à la pause déjeuner au boulot par exemple, à partir du moment on essaye de ne pas parler du travail il ne nous reste forcément que le temps qu'on passe en dehors comme sujet de conversation. Et du coup, chacun.e parle de son quotidien, de ses activités "extra boulot". Or, pour celleux qui ont des enfants, ces derniers reviennent quasi nécessairement lors de leurs prises de parole puisque leur quotidien est presque tout le temps corrélé à ceux de leurs enfants.
De la même manière, mon collègue qui en dehors du travail ne fait "que" lire, courir et écouter des podcasts...ne parle que de cela. Et c'est pas grave en soi, il parle bien de ce qu'il veut et surtout, ce sont il peut. Ce que je veux dire par là, c'est qu'il ne va pas s'inventer des activités et des passions sous prétexte qu'il parle tout le temps de la même chose et qu'il peut soûler les autres
Parallèlement, mes collègues parents parlent de leur quotidien et donc de leurs enfants, autour de qui ledit quotidien est souvent construit (surtout si les gamins sont jeunes). Entre le boulot et les enfants, ils n'ont pas forcément la possibilité de faire d'autres activités et donc...n'ont pas nécessairement d'autre sujet de conversation. Je ne vois pas en quoi ce serait différent de quelqu'un qui parle de ses plantes, de son chien ou des séries q'iel binge-watch tous les soirs
Perso, à la pause déjeuner au boulot par exemple, à partir du moment on essaye de ne pas parler du travail il ne nous reste forcément que le temps qu'on passe en dehors comme sujet de conversation. Et du coup, chacun.e parle de son quotidien, de ses activités "extra boulot". Or, pour celleux qui ont des enfants, ces derniers reviennent quasi nécessairement lors de leurs prises de parole puisque leur quotidien est presque tout le temps corrélé à ceux de leurs enfants.
De la même manière, mon collègue qui en dehors du travail ne fait "que" lire, courir et écouter des podcasts...ne parle que de cela. Et c'est pas grave en soi, il parle bien de ce qu'il veut et surtout, ce sont il peut. Ce que je veux dire par là, c'est qu'il ne va pas s'inventer des activités et des passions sous prétexte qu'il parle tout le temps de la même chose et qu'il peut soûler les autres
Parallèlement, mes collègues parents parlent de leur quotidien et donc de leurs enfants, autour de qui ledit quotidien est souvent construit (surtout si les gamins sont jeunes). Entre le boulot et les enfants, ils n'ont pas forcément la possibilité de faire d'autres activités et donc...n'ont pas nécessairement d'autre sujet de conversation. Je ne vois pas en quoi ce serait différent de quelqu'un qui parle de ses plantes, de son chien ou des séries q'iel binge-watch tous les soirs
Travaillant dans le milieu du livre et de la culture de façon générale, j'aime bien parler de mes dernières lectures, mon dernier coup de coeur au cinéma, la dernière série que j'ai regardé... Je ne dis absolument pas qu'un sujet de conversation est mieux qu'un autre ! Juste forcément quand on est la seule sans enfant du groupe, ça met parfois un peu à l'écart et pour le coup, mes collègues ne font pas vraiment d'effort pour m'inclure dans leur conversation, c'est tout !
