je fais partie de ces personnes qui ne donne pas trop de nouvelles si on ne leur envois pas un message. Pas que j'ai pas envie de garder des liens, mais j'aime pas le téléphone, et j'ai besoin de me retrouver seule, seule, seule parfois. Surtout que je passe le plus clair de mon temps avec les gens à écouter, à jouer le clown, à raconter des blagues. Je suis la grosse conne qui répond au téléphone à toutes heures. Oui j'ai du mal de ma propre initiative à organiser des trucs, appeler, mais je répond toujours présente dans le cas contraire.
ça faisait un bout de temps que j'avais de parler, juste besoin qu'on m'écoute sans m'interrompre, sans me couper en enchainant "moic'estpire". J'ai été servis, entre les "bouges toi le cul" et "les autres c'est pire, regarde machin". Et bien aujourd'hui, je suis au pire de ce que je peux, j'ai perdu 6 ans de temps distribué, de lapins, de remplacements dans la gueule, de non-invitations, de bouche-trou. Je n'ai jamais osé dire carrément quand quelque chose me déplaisait, c'est une erreur, vu le nombre de remarques négatives que je me suis prise ces derniers mois sur ma façon d'être, certaines connasses et connards mériteraient d'être remis à leurs places. Mais bon, quand on a plus besoin de moi, c'est tellement facile de retourner sa veste, de me critiquer et de m'insulter, de m'effacer totalement de sa vie. les autres, c'est pire, moi je ne suis là qui pour écouter.
Et puis à quoi ça sert de parler avec des personnes si ce que je dis tombe dans le vide, si quand je dis que je vais très mal, personne ne bronche, si quand je finis à l'hopital, on se contente de me faire une réflexion sur "mon laisser-aller". je suis le plus inutile des bibelots.
ça faisait un bout de temps que j'avais de parler, juste besoin qu'on m'écoute sans m'interrompre, sans me couper en enchainant "moic'estpire". J'ai été servis, entre les "bouges toi le cul" et "les autres c'est pire, regarde machin". Et bien aujourd'hui, je suis au pire de ce que je peux, j'ai perdu 6 ans de temps distribué, de lapins, de remplacements dans la gueule, de non-invitations, de bouche-trou. Je n'ai jamais osé dire carrément quand quelque chose me déplaisait, c'est une erreur, vu le nombre de remarques négatives que je me suis prise ces derniers mois sur ma façon d'être, certaines connasses et connards mériteraient d'être remis à leurs places. Mais bon, quand on a plus besoin de moi, c'est tellement facile de retourner sa veste, de me critiquer et de m'insulter, de m'effacer totalement de sa vie. les autres, c'est pire, moi je ne suis là qui pour écouter.
Et puis à quoi ça sert de parler avec des personnes si ce que je dis tombe dans le vide, si quand je dis que je vais très mal, personne ne bronche, si quand je finis à l'hopital, on se contente de me faire une réflexion sur "mon laisser-aller". je suis le plus inutile des bibelots.
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