Le terme consacré, c'est prélavage. Enfin c'est ce que ma maman dit en tout cas, elle le fait systématiquement et m'a toujours appris à le faire (à grand renfort de menaces du genre de tout ce qui a été cité précédemment) mais mon envie de porter mes vêtements neufs prend laaaaargement le pas sur la peur de la transpiration d'un inconnu ou d'un quelconque produit chimique.Epidaure;3345336 a dit :
- Statut
Dies Irae;3345419 a dit :
Exactement pareil! C'est un truc que ma mère m'a mis en tête concernant les produits chimiques (cela étant je n'avais jamais pensé aux précédents essayages, à la transpiration etc). Parfois je lave avant d'utiliser, notamment les sous-vêtements et le linge de lit (d'ailleurs ça rend mon copain dingue de "laver du propre"), mais la plupart du temps je suis bien trop impatiente de porter le vêtement en question pour attendre.
Enfin tout ça pour dire que je comprend cette crainte de porter des vêtements neufs et imprégnés de produits chimiques, parce que j'imagine qu'il y en a un paquet en dehors de la teinture. Cela étant, j'aimerais bien que quelqu'un qui travaille dans l'industrie textile confirme ou infirme cette supposition...
Dies Irae;3345678 a dit :
Aaah mais oui! Et justement le jean avait l'air vieux car délavé (le délavage, c'est le mal niveau produits chimiques en plus) et troué! "Une fortune pour ressembler à un clodo", ça me revient d'un coup!
Enjien : je pense que tu ne considères qu'une toute petite partie de la réalité du viol, c'est à dire le cas de la fille qui se fait agresser dans un parking ou une ruelle sombre par un inconnu. Dans ce cas, oui, effectivement, le fait de porter des vêtements très courts/très moulants a probablement une incidence, mais ce type de viol n'est pas fréquent du tout, en fait. Dans 80% des cas, le violeur fait partie de l'entourage proche, et là comme le dit daffy duck la tenue a une incidence bien moindre (je suppose).
La seule fois où on m'a "agressée" (avec des guillemets, ce n'était rien de grave, mais j'étais quand même sous le choc) J'avais les cheveux gras, un vieux Tshirt batman, et un jean moche à moitié trop grand. Donc honnêtement, je ne pense pas que la tenue influence les viols ou les agressions. Si tu croises un cinglé dans la rue, je pense qu'il lui importe peu de savoir comment tu es habillée.
C
california-love
Guest
Je ne comprends définitivement pas pourquoi nous passons la totalité de nos vies à désirer. On passe à côté de tellement de choses plus concrètes.
Pour cette histoire de laver (ou pas) les vêtements qu'on vient d'acheter, si j'ai un conseil à vous donner c'est de laver les culottes/strings/etc.
J'ai bossé dans une magasin de lingerie moyen-haut de gamme et les bas, même des culottes à 120€ sont essayés, réessayés 25 fois avant leur achat, ils tombent par terre tout le temps, ça arrive qu'on marche dessus par inadvertance (quoi de plus sale qu'une semelle?) , et quand on manipule la marchandise dans une boutique on peut se laver les mains 10 fois par jour, elles sont toujours noires.
J'ai bossé dans une magasin de lingerie moyen-haut de gamme et les bas, même des culottes à 120€ sont essayés, réessayés 25 fois avant leur achat, ils tombent par terre tout le temps, ça arrive qu'on marche dessus par inadvertance (quoi de plus sale qu'une semelle?) , et quand on manipule la marchandise dans une boutique on peut se laver les mains 10 fois par jour, elles sont toujours noires.
Sanctuaire;3356838 a dit :
Ca ne me viendrait jamais à l'idée de porter une culotte neuve sans la laver (à part les Dim Pocket qui sont dans une poche fermée). Par contre pour le reste, je porte tout sans laver, mais moins longtemps que je ne porte d'autres vêtements. Si je porte un vêtement neuf sans le laver c'est parce que j'ai vraiment envie de le porter pour une soirée par exemple, et dans de tels cas je vais le laver après la soirée. De toutes façons je me douche avant d'aller me coucher donc je me considère assez propre, et je considère qu'à partir du moment où le vêtement n'est pas tâché ou visiblement sale quand je l'achète, pas besoin de le laver.
Sword;3362190 a dit :
Ton message me fait penser à certains de mes contacts qui mettent en statut Facebook des truc genre "ce soir on va fêter ça comme il se doit, groooosse cuuuuuiiiiite" à chaque fois qu'il arrive quelque chose de positif dans leur vie (nouveau job, diplôme, crémaillère...). J'ai l'impression qu'ils se rappellent de ces évènement par rapport aux cuites qu'ils ont prises ces fois là. D'ailleurs pour certains une crémaillère s'accompagne forcément d'une cuite sinon il n'y a aucun intérêt à y aller.
Parce que ce n'est pas vide, et surtout pas du tout incompatible. Sortir, boire, passer une nuit entière à faire la fête, ça n'est ni vide ni vain, et c'est souvent l'occasion d'avoir des discussion très enrichissantes avec des personnes que tu n'aurais pas eu l'occasion de croiser autrement.Antigone.;3363120 a dit :
Je viens d'enchaîner deux grosses soirées consécutives, dans lesquelles j'ai :
- retrouvé des amis
- rattrapé les dernières nouvelles et parlé à cœur ouvert sur l'évolution de notre relation
- discuté de manière approfondie avec un pote que je croise souvent sans le connaître vraiment, rencontré sa copine, appris sur son parcours qui est atypique et tout à fait intéressant
- rencontré un garçon très chouette avec qui on a parlé de Mozart, de musique électronique, des relations fraternelles et de physique des lasers
- parlé de Kant avec un copain qui a étudié la philosophie
- retrouvé un garçon rencontré quelques mois plus tôt, avoir remis notre relation en selle, découvert qu'il est extrêmement bon dans ce qu'il fait et appris des tas de choses sur son métier
- dansé, découvert de la musique que je ne connaissais pas
- entendu parler de trois concerts auxquels j'aurais essayé de me rendre si j'avais pas eu du travail par-dessus la tête.
- beaucoup, beaucoup, beaucoup ri.
C'est tout sauf vide. C'est essentiel.
Et (si j'avais le temps toujours), je serais bien allée au ciné ce soir, voir un film possiblement sans intérêt de ton point de vue, parce qu'il n'y a que très peu de films idiots pour moi. Il y a toujours des choses à apprendre, partout.
- Statut
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