@Griffith C'est ça que tu veux dire par écholalie ? Moi j'appelais juste ça "choper les tics de langage" et c'est plutôt banal dans mon entourage (ou je m'entoure inconsciemment de gens aussi perchés que moi, ce qui est une possibilité )
En fait, tout ce qui est sur les RS en termes de santé mentale et de neuroatypie, je trouve que c'est vraiment à double tranchant.
D'un côté, on a toute une série de personne qui s'engouffrent dans le dernier autodiagnostic à la mode parce qu'ils peuvent cocher deux points mineurs, en changent régulièrement et par là, contribuent à délégitimer les gens qui ont réellement ce trouble ou cette maladie, en plus de souvent perpétuer des gros clichés dessus.
De l'autre côté, pas mal de comptes lèvent des tabous, font de la sensibilisation et de l'information ou créent une porte d'entrée vers de vrais questionnements et diagnostics.
A force de voir des vidéos, témoignages et bingos ceci ou cela et que ça résonne en soi à chaque fois, on peut commencer à faire des recherches et puis chercher un vrai diagnostics (dans un sens ou dans un autre), chose qui ne serait pas arrivée vu la façon dont est considérée la santé mentale dans nos régions.
Par exemple, le TDA/H. Personnellement, je crois que quelqu'un qui dit "oui mais TDA" pour être excusé de tout, c'est le genre qui trouvera toujours une excuse pour que ce ne soit jamais de sa faute.
Oui, on a toute une série de personnes qui ont sauté sur le truc en s'autodiagnostiquant parce que, le soir, ils ont du mal à se concentrer sur un livre et tapotent un peu du pied.
Mais ça a permis à toute une série d'autres personnes de se questionner et investiguer sur le sujet, parce que le cliché du "un tda/h, c'est un petit garçon qui ne sait pas rester sur sa chaise", il est encore très répandu, y compris chez les professionnels de la santé et que leur médecin ne les auraient jamais orienté vers ce genre de choses.
Maintenant, hormis pour les créateurs de contenu, je ne suis pas sûre que ce soit très revendiqué en dehors des réseaux.
Quand j'entends ce que mes collègues peuvent dire sur les personnes avec autisme/tda/tdi/borderline/etc. je me suis déjà résolue à ne jamais, jamais, jamais, au grand jamais faire part d'un éventuel diagnostic au travail. Même à mes chefs et même si j'ai droit à des aménagements, la stigmatisation serait vraiment trop lourde
En fait, tout ce qui est sur les RS en termes de santé mentale et de neuroatypie, je trouve que c'est vraiment à double tranchant.
D'un côté, on a toute une série de personne qui s'engouffrent dans le dernier autodiagnostic à la mode parce qu'ils peuvent cocher deux points mineurs, en changent régulièrement et par là, contribuent à délégitimer les gens qui ont réellement ce trouble ou cette maladie, en plus de souvent perpétuer des gros clichés dessus.
De l'autre côté, pas mal de comptes lèvent des tabous, font de la sensibilisation et de l'information ou créent une porte d'entrée vers de vrais questionnements et diagnostics.
A force de voir des vidéos, témoignages et bingos ceci ou cela et que ça résonne en soi à chaque fois, on peut commencer à faire des recherches et puis chercher un vrai diagnostics (dans un sens ou dans un autre), chose qui ne serait pas arrivée vu la façon dont est considérée la santé mentale dans nos régions.
Par exemple, le TDA/H. Personnellement, je crois que quelqu'un qui dit "oui mais TDA" pour être excusé de tout, c'est le genre qui trouvera toujours une excuse pour que ce ne soit jamais de sa faute.
Oui, on a toute une série de personnes qui ont sauté sur le truc en s'autodiagnostiquant parce que, le soir, ils ont du mal à se concentrer sur un livre et tapotent un peu du pied.
Mais ça a permis à toute une série d'autres personnes de se questionner et investiguer sur le sujet, parce que le cliché du "un tda/h, c'est un petit garçon qui ne sait pas rester sur sa chaise", il est encore très répandu, y compris chez les professionnels de la santé et que leur médecin ne les auraient jamais orienté vers ce genre de choses.
Maintenant, hormis pour les créateurs de contenu, je ne suis pas sûre que ce soit très revendiqué en dehors des réseaux.
Quand j'entends ce que mes collègues peuvent dire sur les personnes avec autisme/tda/tdi/borderline/etc. je me suis déjà résolue à ne jamais, jamais, jamais, au grand jamais faire part d'un éventuel diagnostic au travail. Même à mes chefs et même si j'ai droit à des aménagements, la stigmatisation serait vraiment trop lourde