En fait, en même temps, la société s'adapte aux envies des élèves. Les élèves veulent moins de cours (pendant un de mes cours j'ai entendu des cris, mais des vrais, hein, pas juste des gloussements, parce qu'une prof était absente, c'est révélateur), ils veulent le minimum qui leur permettra d'avoir un métier (surtout, ne pas s'enrichir pour soit, tant que ce n'est pas utile, que ça n'a pas d'effet immédiat, et d'effet sur notre futur emplois, ne pas apprendre) et en même temps, ils ne savent pas ce qu'ils veulent faire...
Mon ras bal n'est pas contre les réformes, au final, mais contre les attentes des élèves. Attentes plus ou moins dirigées par l'éducation nationale, j'imagine, mais je trouve ça dommage qu'on puisse dire que l'histoire, la littérature, la philo pour les S ou les sciences en général pour les L ce n'est pas utile, ça sert a rien, on pourra pas s'en servir dans sa vie professionnelle... Y'a une grande contradiction quand même. Zut, vous ne vivez pas pour votre boulot, votre identité ne doit pas se baser sur votre futur emplois... Votre emplois n'est qu'une tache a accomplir.