The We and the I de Gondry : La première partie du film est une version afro-américaine de l'Esquive, c'est insupportable, bête et méchant. Et puis les relations entre les personnages évoluent au fur et à mesure de l'avancée du bus, les groupes se disloquent et de nouveaux liens se forment, ce qui donne un peu de matière à l'histoire mais reste très superficiel. C'est le problème de Gondry qui continue de faire des films comme il faisait des clips, on passe d'un groupe à l'autre sans transition, les scènes se succèdent en musique, il y a quelques ponts où il s'éclate dans une esthétique un peu plus "arty" et puis on zappe.
Le magasin des suicides de Leconte : C'était nul, l'esthétique Burtonienne à la ramasse, c'est du vu, revu et même pas corrigé, il n'y a aucun parti pris, aucune identité. Les chansons sont mauvaises, les situations loufoques mais sans être drôles. Leconte n'a pas osé adapter le livre avec de véritables acteurs et je pensais qu'il aurait joué la carte du noir à fond grâce à l'animation mais ça reste gentillet, niais et excessivement chiant pour un film de seulement 1h20.
Les saveurs du palais de Christian Vincent : J'ai adoré ! L'histoire, la réalisation, tout est très classique mais je suis véritablement rentrée dans les coulisses des cuisines de l'Elysée. J'ai juste regretté toute la partie autour de la journaliste Canadienne qui ne sert qu'à meubler l'écran pendant 15 minutes. Le film m'a donné envie de me renseigner sur la vie de Danièle Mazet-Delpeuch et c'est déjà très bien, ce n'est pas un grand film mais il est joli (et il donne faim).
Le magasin des suicides de Leconte : C'était nul, l'esthétique Burtonienne à la ramasse, c'est du vu, revu et même pas corrigé, il n'y a aucun parti pris, aucune identité. Les chansons sont mauvaises, les situations loufoques mais sans être drôles. Leconte n'a pas osé adapter le livre avec de véritables acteurs et je pensais qu'il aurait joué la carte du noir à fond grâce à l'animation mais ça reste gentillet, niais et excessivement chiant pour un film de seulement 1h20.
Les saveurs du palais de Christian Vincent : J'ai adoré ! L'histoire, la réalisation, tout est très classique mais je suis véritablement rentrée dans les coulisses des cuisines de l'Elysée. J'ai juste regretté toute la partie autour de la journaliste Canadienne qui ne sert qu'à meubler l'écran pendant 15 minutes. Le film m'a donné envie de me renseigner sur la vie de Danièle Mazet-Delpeuch et c'est déjà très bien, ce n'est pas un grand film mais il est joli (et il donne faim).