Je poste ici, mais je ne sais pas trop si cela à quelque chose à voir. Je ne stresse pas parce-que j'ai peur de ne pas me faire d'amis, où parce-que je débarque dans un endroit totalement inhabituel.
J'ai peur de foirer cette année. Ce qui est complétement idiot parce-que le BAC en soit, ce n'est pas non plus si difficile. En fait j'ai peur de ne pas gérer la pression. Mes angoisses réapparaissent à chaque fois. Et j'ai peur que cette année soit la pire. Et surtout, plus on avance dans le temps, plus je constate que je joue gros. J'ai peur de douter encore plus que maintenant au moment de choisir sa fac/son école. Ou encore de me rendre compte, quelques années plus tard que cette formation ne me plaît pas. Et puis sans compter le fait que je ne sois pas sûre d'être prise.
Vraiment, je suis envieuse des personnes qui sont si sûres de leurs choix. Comme si c'était une évidence. Moi je suis terrifiée à l'idée de me dire que je me lèverai peut-être tous les matins en sachant que je vais détester ma journée de travail parce-que cela ne me convient pas. Et cela même si je sais que rien n'est joué complétement, et qu'il existe différentes possibilités pour se reconvertir.
Et puis c'est monstrueux à quel point j'ai la trouille d'échouer quelque chose qui me tient vraiment à cœur. Presque une phobie parfois. J'ai tendance à tout idéaliser, et à me dire que par sa propre motivation et son propre travail- à partir du moment où l'on ne lâche rien- On peut réussir ce que l'on projetait de faire. Voilà, j'ai peur de cette naïveté qui m'est caractéristique quand on me parle de projets d'avenir.
J'ai peur de foirer cette année. Ce qui est complétement idiot parce-que le BAC en soit, ce n'est pas non plus si difficile. En fait j'ai peur de ne pas gérer la pression. Mes angoisses réapparaissent à chaque fois. Et j'ai peur que cette année soit la pire. Et surtout, plus on avance dans le temps, plus je constate que je joue gros. J'ai peur de douter encore plus que maintenant au moment de choisir sa fac/son école. Ou encore de me rendre compte, quelques années plus tard que cette formation ne me plaît pas. Et puis sans compter le fait que je ne sois pas sûre d'être prise.
Vraiment, je suis envieuse des personnes qui sont si sûres de leurs choix. Comme si c'était une évidence. Moi je suis terrifiée à l'idée de me dire que je me lèverai peut-être tous les matins en sachant que je vais détester ma journée de travail parce-que cela ne me convient pas. Et cela même si je sais que rien n'est joué complétement, et qu'il existe différentes possibilités pour se reconvertir.
Et puis c'est monstrueux à quel point j'ai la trouille d'échouer quelque chose qui me tient vraiment à cœur. Presque une phobie parfois. J'ai tendance à tout idéaliser, et à me dire que par sa propre motivation et son propre travail- à partir du moment où l'on ne lâche rien- On peut réussir ce que l'on projetait de faire. Voilà, j'ai peur de cette naïveté qui m'est caractéristique quand on me parle de projets d'avenir.
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