Je crois qu'il faut accepter qu'il n'y aura aucune réponse, ou pas avant longtemps. Et c'est logique.
Tout porte à croire qu'il y a eu des fautes professionnelles, assez graves pour que Clémence dise qu'elle va se défendre (on ne va pas en justice quand il n'y a pas faute, soyons clair-es). Le premier communiqué était une autre faute professionnelle, non seulement le licenciement a été rendu public, mais la shitstorm derrière a été tellement énorme que même dans 10 ans Clémence Bodoc sera encore "ha oui, la nana qui a été virée puis affichée publiquement ?". Le préjudice est juste énorme.
Je ne vois même pas comment il serait possible à ce stade de publier quoi que soit sans empirer la situation d'un point de vue légal. Parce que j'imagine que pour la direction, l'urgence est plutôt de ne pas empirer leur cas d'un point de vue judiciaire, plus que de rassurer les lectrices.
De plus, il n'y a rien à rassurer. Vous avez des témoignages à ne plus savoir quoi en faire depuis le #badmoizelle. On sait qu'au moins certaines rédactrices ont vécu l'enfer. D'autres non. Qu'est ce que Mad pourrait dire pour rassurer ? Tout est déjà sur la place publique... Qu'est-ce qui amoindrirait les nanas qui ont fini sous AD, celles qui se sont scarifiées, toutes ces personnes sans job du jour au lendemain ?
C'est pour ça, je crois qu'il ne sert à rien d'insister, la direction de Mad ne peut, je pense, même plus répondre sans envenimer son cas. D'où le silence.
Pour conclure, j'apporte mon soutien aux rédactrices qui ont vécu l'enfer et à celles encore en poste (même si pour elles ça va). Elles ne sont pas responsables des agissements de la direction, et la colère ne doit pas être exprimée contre elles.
Tout porte à croire qu'il y a eu des fautes professionnelles, assez graves pour que Clémence dise qu'elle va se défendre (on ne va pas en justice quand il n'y a pas faute, soyons clair-es). Le premier communiqué était une autre faute professionnelle, non seulement le licenciement a été rendu public, mais la shitstorm derrière a été tellement énorme que même dans 10 ans Clémence Bodoc sera encore "ha oui, la nana qui a été virée puis affichée publiquement ?". Le préjudice est juste énorme.
Je ne vois même pas comment il serait possible à ce stade de publier quoi que soit sans empirer la situation d'un point de vue légal. Parce que j'imagine que pour la direction, l'urgence est plutôt de ne pas empirer leur cas d'un point de vue judiciaire, plus que de rassurer les lectrices.
De plus, il n'y a rien à rassurer. Vous avez des témoignages à ne plus savoir quoi en faire depuis le #badmoizelle. On sait qu'au moins certaines rédactrices ont vécu l'enfer. D'autres non. Qu'est ce que Mad pourrait dire pour rassurer ? Tout est déjà sur la place publique... Qu'est-ce qui amoindrirait les nanas qui ont fini sous AD, celles qui se sont scarifiées, toutes ces personnes sans job du jour au lendemain ?
C'est pour ça, je crois qu'il ne sert à rien d'insister, la direction de Mad ne peut, je pense, même plus répondre sans envenimer son cas. D'où le silence.
Pour conclure, j'apporte mon soutien aux rédactrices qui ont vécu l'enfer et à celles encore en poste (même si pour elles ça va). Elles ne sont pas responsables des agissements de la direction, et la colère ne doit pas être exprimée contre elles.