Mur des Lamentations
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
Je suis TRISTE. Encore ce soir j'ai du mal à pleurer, j'ai une grosse boule dans la gorge.
Je me sens terriblement seule. Pourtant mes amis sont là pour moi, ma mère aussi, mon collègue du jour est gentil, je reçois des mails, des textos. Je sais qu'il y a du monde, enfin quelques personnes en tous cas, autour de moi... Mais je ne parle sincèrement à personne. J'y arrive pas. Trop peur d'ennuyer, trop peur d'être incomprise, de trop me dévoiler, de montrer de moi une facette fragile/hystérique/contradictoire/violente dans ce que je ressens. Comme si le fait de ne plus compter pour le garçon dont je suis amoureuse faisait que je n'existais plus pour le reste du monde. Je m'efface.
Pour couronner le tout, je ne plais même plus à un mec qui vaut moins que zéro... Je pensais être indifférente à notre relation mais en fait non : je suis super vexée qu'il ne se batte pas pour moi. Ce soir j'ai réalisé au cours d'une discussion anodine avec un collègue que j'avais mine de rien pas mal de souvenirs avec lui. Chaque phrase que je prononçais me rappelait un moment vécu avec lui ! Pas des moments de ouf et tout. Mais juste ce constat : on a "vécu" des trucs. Il ne veut pas me dire ce qui cloche chez moi... Je pense que je dois être trop dingue, trop instable, trop lunatique, ou trop introvertie peut-être. Pffff, je dois vraiment être dingue, oui, parce qu'il n'y a objectivement aucune raison pour que cette "rupture" (si tant est que ce qu'on vivait était une relation) me mette dans cet état.
Tout ça sans compter le fait que ma vie est nulle en ce moment.
Je me sens terriblement seule. Pourtant mes amis sont là pour moi, ma mère aussi, mon collègue du jour est gentil, je reçois des mails, des textos. Je sais qu'il y a du monde, enfin quelques personnes en tous cas, autour de moi... Mais je ne parle sincèrement à personne. J'y arrive pas. Trop peur d'ennuyer, trop peur d'être incomprise, de trop me dévoiler, de montrer de moi une facette fragile/hystérique/contradictoire/violente dans ce que je ressens. Comme si le fait de ne plus compter pour le garçon dont je suis amoureuse faisait que je n'existais plus pour le reste du monde. Je m'efface.
Pour couronner le tout, je ne plais même plus à un mec qui vaut moins que zéro... Je pensais être indifférente à notre relation mais en fait non : je suis super vexée qu'il ne se batte pas pour moi. Ce soir j'ai réalisé au cours d'une discussion anodine avec un collègue que j'avais mine de rien pas mal de souvenirs avec lui. Chaque phrase que je prononçais me rappelait un moment vécu avec lui ! Pas des moments de ouf et tout. Mais juste ce constat : on a "vécu" des trucs. Il ne veut pas me dire ce qui cloche chez moi... Je pense que je dois être trop dingue, trop instable, trop lunatique, ou trop introvertie peut-être. Pffff, je dois vraiment être dingue, oui, parce qu'il n'y a objectivement aucune raison pour que cette "rupture" (si tant est que ce qu'on vivait était une relation) me mette dans cet état.
Tout ça sans compter le fait que ma vie est nulle en ce moment.
Les révisions m'avaient fait oublier que dans deux semaines, je vais habiter seule, et je ne pourrais voir mes amis qu'au mieux le week-end, et pas tous les week-ends. Après 5 ans passés toujours ensemble.
Je n'ai jamais autant flippé. Et honnêtement jamais je n'aurais pensé que la fin des études serait une étape aussi difficile.
Je n'ai jamais autant flippé. Et honnêtement jamais je n'aurais pensé que la fin des études serait une étape aussi difficile.
Mon mec a un caractère tellement pourrave en ce moment que j'ai envie de le baffer et de me barrer. Il tire la gueule, ne m'approche pas, ne parle pas et quand il parle c'est pour râler. Je suis à deux doigts de lui arracher les yeux. Il fait la gueule depuis des jours et des jours, j'ai l'impression qu'on est à des milliers de km l'un de l'autre alors qu'il est dans la pièce à côté, je m'emmerde comme un rat mort. Il a pourri mon week-end, j'aurais mieux fait d'en profiter pour aller chez mes parents.
En fait j'ai vraiment une vie pourrie: presque pas d'amis (le peu que j'ai est en carton), je ne me plais pas dans mes études, une vie sentimentale inexistante, aucune ambition ou volonté.. Heureusement j'ai la santé et ma famille aussi mais à côté de ça ma vie est fade et insipide. *pars se mettre une balle*
C'est pas la 1ére fois que je le dis sur ce topic, mais je suis vraiment blasée quand il y a de la famille qui vient chez moi. Je suis stressée, tout le monde parle super fort (voir même hurle), y'a énormément de bordel, tout le monde cours, monte les escaliers, fouille dans des trucs.
J'adore le calme, et je n'aime pas qu'on vienne chez moi. Je n'ai jamais aimé ça, je me sens obligée de m'enfermer dans ma chambre (même là je ne suis pas tranquille: j'entends qu'on parle de moi, on vient me voir). Je ne peux rien entreprendre: la cuisine est prise, le salon aussi. Je ne peux pas bosser mes cours: trop de bruit. Je ne peux pas sortir: sinon on me pose des questions, tout le monde me regarde, ma mère prend son air terriblement concerné (alors que d'habitude elle s'en fout, c'est tellement plus agréable!). Je n'ose pas aller aux toilettes, aller à la cuisine prendre à manger, jouer de la musique (je ne supporte pas d'être interrompue quand je joue). Là ça fait 3 heures que ça dure, c'est honteux car j'attends avec impatience le retour à "l'état normal". Pourtant j'adore ma famille! Mais je ne peux pas m'empêcher de les trouver envahissants. J'ai très vite mal à la tête, je ne supporte pas le bruit (ce qui est paradoxal vu la musique bruitiste au possible que j'écoute!), je suis mal à l'aise dans ces situation. Je me sens de trop, et envahie.
Tout à l'heure je vais devoir descendre dire "au revoir". Je vais donc faire la potiche, debout dans le couloir, pendant un bon quart d'heure, ça me frustre déjà. En plus j'ai faim, je suis abattue, je m'ennuie, quelle journée mortelle...
Edit :
l'énervement me gagne, j'en ai un peu ras le cul là... J'aime pas qu'on touche à mes affaires punaise!
J'adore le calme, et je n'aime pas qu'on vienne chez moi. Je n'ai jamais aimé ça, je me sens obligée de m'enfermer dans ma chambre (même là je ne suis pas tranquille: j'entends qu'on parle de moi, on vient me voir). Je ne peux rien entreprendre: la cuisine est prise, le salon aussi. Je ne peux pas bosser mes cours: trop de bruit. Je ne peux pas sortir: sinon on me pose des questions, tout le monde me regarde, ma mère prend son air terriblement concerné (alors que d'habitude elle s'en fout, c'est tellement plus agréable!). Je n'ose pas aller aux toilettes, aller à la cuisine prendre à manger, jouer de la musique (je ne supporte pas d'être interrompue quand je joue). Là ça fait 3 heures que ça dure, c'est honteux car j'attends avec impatience le retour à "l'état normal". Pourtant j'adore ma famille! Mais je ne peux pas m'empêcher de les trouver envahissants. J'ai très vite mal à la tête, je ne supporte pas le bruit (ce qui est paradoxal vu la musique bruitiste au possible que j'écoute!), je suis mal à l'aise dans ces situation. Je me sens de trop, et envahie.
Tout à l'heure je vais devoir descendre dire "au revoir". Je vais donc faire la potiche, debout dans le couloir, pendant un bon quart d'heure, ça me frustre déjà. En plus j'ai faim, je suis abattue, je m'ennuie, quelle journée mortelle...
Edit :
l'énervement me gagne, j'en ai un peu ras le cul là... J'aime pas qu'on touche à mes affaires punaise!Je suis vraiment blasée de tout en ce moment.
Mes études m'ennuient à un point inimaginable. Ce qui est intéressant, je l'assimile très vite, je peux en parler à en saouler les gens. Le reste, j'ai même pas envie de l'ouvrir, ou alors au prix de gros efforts ; alors que je suis sure que ça pourrait passer tout seul si j'éprouvais un quelconque intérêt à ca. Mais non, j'aime bien me renfermer dans mes opinions arrêtées et dire que ça m'intéresse pas et laisser tout de côté.
Ca fait des années que c'est comme ça, que je traine ça comme un boulet, je m'en veux toujours à un moment, et je n'arrive pas à surmonter ça.
J'arrive plus à sortir de chez moi. C'est devenu une source d'angoisse, j'ai plus la motivation non plus. Aller à la fac me saoule profondément, prendre les transports en commun et ce parfois pour une heure de coup. J'angoisse déjà le jour d'avant, ça me tue.
Mes relations sociales se sont bien dégradées, mais je n'y mets aucune volonté aussi. Les gens avec qui je suis sont gentils, mais il n'y a pas le petit +, pas la chose qui me donne envie d'aller vers eux forcément. Je me sens bien trop différente des autres, bien trop éloignée de tout ce qu'ils aiment faire.
En contrepartie, quand je suis toute seule chez moi (c'est à dire tout le temps), je déprime comme pas possible. J'envie les autres de pouvoir s'amuser. Ca me rend pire qu'aigrie j'ai l'impression et c'est juste un cercle vicieux qui s'installe de plus en plus. J'ai hate que tout soit fini, de pouvoir reprendre une vie "normale" un peu plus attrayante. Mais j'ai même plus la motivation pour rien du tout en ce moment..
Mes études m'ennuient à un point inimaginable. Ce qui est intéressant, je l'assimile très vite, je peux en parler à en saouler les gens. Le reste, j'ai même pas envie de l'ouvrir, ou alors au prix de gros efforts ; alors que je suis sure que ça pourrait passer tout seul si j'éprouvais un quelconque intérêt à ca. Mais non, j'aime bien me renfermer dans mes opinions arrêtées et dire que ça m'intéresse pas et laisser tout de côté.
Ca fait des années que c'est comme ça, que je traine ça comme un boulet, je m'en veux toujours à un moment, et je n'arrive pas à surmonter ça.
J'arrive plus à sortir de chez moi. C'est devenu une source d'angoisse, j'ai plus la motivation non plus. Aller à la fac me saoule profondément, prendre les transports en commun et ce parfois pour une heure de coup. J'angoisse déjà le jour d'avant, ça me tue.
Mes relations sociales se sont bien dégradées, mais je n'y mets aucune volonté aussi. Les gens avec qui je suis sont gentils, mais il n'y a pas le petit +, pas la chose qui me donne envie d'aller vers eux forcément. Je me sens bien trop différente des autres, bien trop éloignée de tout ce qu'ils aiment faire.
En contrepartie, quand je suis toute seule chez moi (c'est à dire tout le temps), je déprime comme pas possible. J'envie les autres de pouvoir s'amuser. Ca me rend pire qu'aigrie j'ai l'impression et c'est juste un cercle vicieux qui s'installe de plus en plus. J'ai hate que tout soit fini, de pouvoir reprendre une vie "normale" un peu plus attrayante. Mais j'ai même plus la motivation pour rien du tout en ce moment..
A
Ancien membre
Guest
Bébé malade = deuxième nuit blanche consécutive + nerfs mis à rude épreuve. Je suis ÉPUISÉE et Jules ne dort pas plus de 30 minutes sans se réveiller en hurlant et je vais devoir assurer une semaine entière avec lui.. alors que je suis même pas capable de m'occuper de moi. Je sais pas comment les autres gèrent la fatigue, je n'y arrive pas.
Quand il est là, ça ne va plus, quand il n'est plus là, ça ne va pas non plus. Je ne sais plus ce que c'est que d'être heureuse, j'ai envie d'être amoureuse, j'ai envie de retourner dans le passé, mais c'est trop tard... je sais pas quand tout ça va s'arreter.
J'ai déjà dû le dire un bon nombre de fois, mais j'ai tellement hâte de vivre seule. C'est incroyable comme je pense à ça tout le temps, j'ai besoin de me sentir libre et indépendante, j'en ai marre de vivre chez mes parents, j'en peux vraiment plus, je sature, j'étouffe ! C'est limite devenu mon principal but ; avoir mon appart' pour être enfin seule, tranquille.
J'en ai marre qu'il y ait constamment du monde chez moi 
. J'ai pas mangé depuis hier soir, j'ai salement la dalle, mais évidement faut qu'il y ait le voisin qui squatte.
Depuis hier midi, au moins 6 personnes sont passées. Quand est-ce que je suis peinarde, moi?
(Je vais devenir violente. J'ai envie qu'il se casse. En plus c'est pour venir fouiner... Mais quelle bande de casses-burnes quoi, je vis dans un quartier peuplé de barjos...)
En plus à chaque fois qu'on touche à mes affaires sans me demander la permission ça me fout un gros coup de nerfs, j'en peux plus d'être constamment envahie! Putain ils peuvent pas organiser des trucs CHEZ EUX au lieu de venir squatter...
. J'ai pas mangé depuis hier soir, j'ai salement la dalle, mais évidement faut qu'il y ait le voisin qui squatte. Depuis hier midi, au moins 6 personnes sont passées. Quand est-ce que je suis peinarde, moi?
(Je vais devenir violente. J'ai envie qu'il se casse. En plus c'est pour venir fouiner... Mais quelle bande de casses-burnes quoi, je vis dans un quartier peuplé de barjos...)
En plus à chaque fois qu'on touche à mes affaires sans me demander la permission ça me fout un gros coup de nerfs, j'en peux plus d'être constamment envahie! Putain ils peuvent pas organiser des trucs CHEZ EUX au lieu de venir squatter...
Je crois être masochiste.
Celle qui a arrêté de me parler sans aucune raison il y a presque deux ans et son amoureux viennent de rompre, deux semaines après que je me sois dit que j'aimerais lui reparler, et eux deux qui m'avaient bloqué sur facebook et tout viennent de me débloquer.
Que dois-je faire ?
Je me sens bête parce que j'ai un sourire niais dû au fait qu'elle m'ai débloquée alors qu'elle a été odieuse et que ce n'est pas la première fois qu'elle me ferait le coup de me reparler parce qu'elle n'est plus avec lui. Mais en même temps, j'ai des papillons dans le ventre.
Celle qui a arrêté de me parler sans aucune raison il y a presque deux ans et son amoureux viennent de rompre, deux semaines après que je me sois dit que j'aimerais lui reparler, et eux deux qui m'avaient bloqué sur facebook et tout viennent de me débloquer.
Que dois-je faire ?
Je me sens bête parce que j'ai un sourire niais dû au fait qu'elle m'ai débloquée alors qu'elle a été odieuse et que ce n'est pas la première fois qu'elle me ferait le coup de me reparler parce qu'elle n'est plus avec lui. Mais en même temps, j'ai des papillons dans le ventre.
