Je me rends maintenant compte que je suis une handicapée des relations, qu'elles soient amicales ou amoureuses. Et j'ai beau le savoir, j'ai pas l'air de vouloir changer les choses. Bref, je m'auto-exaspère.
Mur des Lamentations
- Initiateur de la discussion Yana
- Date de début
Solyaa : Est-ce que tu as changé de pilule ? Une pilule me faisait ça pendant un moment, bouffées de chaleur et malaises. J'ai aussi eu ça quand j'ai essayé d'arrêter la viande et que je manquais certainement de quelque chose.
Bref, tu peux regarder de ce côté là, ou de carences
C'est pas une lamentation, mais puisque je suis là. Je trouve que j'ai peu d'amis, de plus en plus au fil des années. En fait j'ai un noyau dur de meilleures amies, que j'aime vraiment de tout mon cœur, qui sont très proches de moi, et elles sont nombreuses, dans le sens où elles sont toutes pour moi ma meilleure amie sauf qu'elles sont plusieurs et c'est peu commun j'imagine d'avoir de nombreuses meilleures amies très proches. Mais hormis elles je trouve que j'ai peu d'amis, je ne sais pas si c'est normal. Si je me mariais ou quoi j'aurai pas grand monde à inviter. Je sais pas pourquoi mais ça me complexe un peu.
Bref, tu peux regarder de ce côté là, ou de carences
C'est pas une lamentation, mais puisque je suis là. Je trouve que j'ai peu d'amis, de plus en plus au fil des années. En fait j'ai un noyau dur de meilleures amies, que j'aime vraiment de tout mon cœur, qui sont très proches de moi, et elles sont nombreuses, dans le sens où elles sont toutes pour moi ma meilleure amie sauf qu'elles sont plusieurs et c'est peu commun j'imagine d'avoir de nombreuses meilleures amies très proches. Mais hormis elles je trouve que j'ai peu d'amis, je ne sais pas si c'est normal. Si je me mariais ou quoi j'aurai pas grand monde à inviter. Je sais pas pourquoi mais ça me complexe un peu.
Il faut que je me sorte de la prison dans laquelle je m'enferme moi-même. Oui c'est drama queen, c'est torturé, c'est gamine de 12 ans, mais je le ressens comme ça ! Non c'est pas du tout un drame, je le sais bien. Rien de ce que je vis ou ai vécu ne peut être considéré comme un drame, et heureusement. Mais ça me pèse. Ca me pèse de me dire que si je pouvais diriger la vie de mon double, de loin, il aurait sûrement une vie géniale. Je veux mais je ne peux pas. Et la seule raison pour laquelle les choses sont ainsi, c'est moi.
Que je déteste cette atmosphère de rentrée. On est passé d'une chaleur étouffante à un vent presque glacial. Ca sent l'automne, les feuilles tombent déjà jaunes des arbres. Y a un parfum de mélancolie dans l'air, et je le reconnais chaque année, cet automne qui vient annoncer l'hiver après. Je déteste ce mois de septembre. C'est le mois de mon anniversaire, et cette année il sera encore moins une fête et encore plus une souffrance. A chaque fois je me sens en deuil à cette période, je sens la mort encore plus puissante. Et là je crois en plus commencer à être malade, une grippe ou je ne sais pas quoi. Je sens que le soleil va peu à peu disparaître. C'est toujours pareil, toujours toujours. Faut supporter ça chaque année.
Ne plus jamais envoyer de messages bourrée. Mes meilleurs potes m'ont trouvée conne et mon meilleur pote/ex m'adresse plus la parole depuis une semaine, je suis pathétique.
Génial. Quelle conne.
Génial. Quelle conne.
Je me déteste. Je déteste ma perte de confiance en moi. Je déteste le fait d'être tomber sous son charme. Je déteste le fait de vouloir à ce point et d'avoir à ce point besoin qu'on s'occupe et qu'on prenne soin de moi après ma dernière relation.
Je m'en veux de vouloir croire au microscopique lien que j'étais en train de tisser avec S. ¨pourquoi j'y ai cru ? Je n'étais plus la même, j'étais coincée, et je le veux...
Je m'en veux de vouloir croire au microscopique lien que j'étais en train de tisser avec S. ¨pourquoi j'y ai cru ? Je n'étais plus la même, j'étais coincée, et je le veux...
Je dois bosser mon rapport de stage. Mais j'ai aucune motivation, je suis fatiguée et j'ai juste envie de pleurer.
