lectures du jour:
black no more, de schuylder, georges s.
il existe un procédé dans les années 30 pour transformer les noirs en blancs, ceci inventé après le défrisant à cheveux. le pitch est intéressant, mais je suis complètement passée à côté.
si par une nuit d'hiver, un voyageur d'italo calvino.
le bouquin qui s'adresse au lecteur aurait pu être sympa si l'auteur ne présumait pas que le lecteur était forcément un homme. un gros meh.
in dubious battle, steinbeck
encore un gros meh pour cette lecture proche de l'anarchisme. après tout, steinbeck était un des piliers du mouvement beatnik.
mary barton, d'elisbeth gaskell. encore un gros meh. je n'étais pas d'humeur à bouquiner autant, il faut croire. une histoire d'amour sur fond meurtre était trop après la fantastique claque que fut vanity fair.
du coup le roman de sf pour couturières anarchiste fut la claque du jour et fortement apprécié: melmoth furieux, de sabrina calvo. une bombe. percutant.
black no more, de schuylder, georges s.
il existe un procédé dans les années 30 pour transformer les noirs en blancs, ceci inventé après le défrisant à cheveux. le pitch est intéressant, mais je suis complètement passée à côté.
si par une nuit d'hiver, un voyageur d'italo calvino.
le bouquin qui s'adresse au lecteur aurait pu être sympa si l'auteur ne présumait pas que le lecteur était forcément un homme. un gros meh.
in dubious battle, steinbeck
encore un gros meh pour cette lecture proche de l'anarchisme. après tout, steinbeck était un des piliers du mouvement beatnik.
mary barton, d'elisbeth gaskell. encore un gros meh. je n'étais pas d'humeur à bouquiner autant, il faut croire. une histoire d'amour sur fond meurtre était trop après la fantastique claque que fut vanity fair.
du coup le roman de sf pour couturières anarchiste fut la claque du jour et fortement apprécié: melmoth furieux, de sabrina calvo. une bombe. percutant.