A
AnonymousUser
Guest
J'ai enchaîné les rêves complétement pourris ce matin \o/.
- Je suis avec une amie, on joue à un jeu qui nous prédit l'heure, la date et la couleur de notre prochain pet. Hum. Je suis contente parce que le mien, programmé à 19h45 le jour même, a effectivement lieu. Bon par contre pour la couleur ("black") je ne veux même pas chercher à comprendre.
- Je dois poster un colis mais il y a un souci avec le tramway. Le chauffeur nous explique qu'on va tous devoir se mobiliser pour former une chaîne immense et glisser à la queue leu leu sur les lignes de tram. Je suis en tête de ligne (t'inquiète) et on se retrouve à traverser des montagnes, des forêts... On mets un temps à chopper la technique mais on parvient finalement à notre but : une petite mare. Il y a un ourson dans l'eau qui attrape un énorme poisson et le fourre dans sa gueule. Il me regarde, l'air coupable, et je le rassure : "c'est pas grave tu sais, c'est triste pour le poisson mais t'as besoin de te nourrir, c'est comme ça...".
- Je ne sais plus trop où je suis, mais il y a des jumeaux qui viennent consulter un docteur. Je crois que c'est vaguement moi, le docteur, c'est un peu flou. En tout cas il examine les oreilles des jumeaux et ne note rien de particulier, puis il les ausculte et pousse un grand cri. "Vous n'avez pas de c?ur !". Il les ausculte encore pour vérifier et en effet, il n'entend aucun battement. Il s'ausculte lui-même pour être sûr que le problème ne vient pas du stéthoscope mais non, il entend bien ses propres battements. Il n'arrête pas de répéter "vous n'avez pas de c?ur...".
- Je suis avec G. et je ne sais plus comment, on se retrouve à se tenir chacun à l'extrémité d'un immense tube qui vole dans les airs. En regardant à l'intérieur du tube on peut voir le visage de l'autre qui se tient au bout. G. comment à chanter "Allison elle est mignonne, et elle mange des calzones...". Il me regarde dans les yeux avec un grand sourire. Je me sens désarmée au début mais je finis par rentrer dans le jeu. Il tient un donut à la main, il me le lance à travers le tube et je le mange avec plaisir (hinhin).
- Je discute avec mon frère pendant que G. écoute vaguement la discussion tout en mangeant des donuts. Mon frère me demande "tu serais capable d'assumer un autre mort ?". Il a le visage fermé. Je réponds "qu'est-ce que tu veux dire ?". Il ne dit rien. J'insiste, "arrête, mais pourquoi cette question ?". Il finit par m'expliquer qu'il a eu ma grand-mère au téléphone dans la matinée et qu'elle avait "des douleurs". Il a l'air persuadé de sa mort prochaine. G. intervient à ce moment-là pour demander "mais pourquoi vous parlez d'un autre mort ?". J'explique que le mois dernier, c'était mon arrière-grand-mère, et que deux enterrements en si peu de temps, je ne sais pas si je serais capable de tenir le coup.
- Je vais dormir, je pense encore à la discussion. J'essaie de me souvenir de la date de la mort de mon arrière-grand-mère. Je réalise que c'était le 16 octobre, et qu'on est le 16 novembre. D'un coup, je sens une pression sur tout mon corps, quelque chose cherche à m'étrangler. Je passe un long moment à me débattre, complètement paniquée, puis j'ouvre les yeux et vois un visage de jeune fille aux cheveux longs, qui flotte devant moi. Il est rouge et semble furieux. "On" essaie de m'étrangler, de plus belle. Je me réveille en sursaut.
- Je suis avec une amie, on joue à un jeu qui nous prédit l'heure, la date et la couleur de notre prochain pet. Hum. Je suis contente parce que le mien, programmé à 19h45 le jour même, a effectivement lieu. Bon par contre pour la couleur ("black") je ne veux même pas chercher à comprendre.
- Je dois poster un colis mais il y a un souci avec le tramway. Le chauffeur nous explique qu'on va tous devoir se mobiliser pour former une chaîne immense et glisser à la queue leu leu sur les lignes de tram. Je suis en tête de ligne (t'inquiète) et on se retrouve à traverser des montagnes, des forêts... On mets un temps à chopper la technique mais on parvient finalement à notre but : une petite mare. Il y a un ourson dans l'eau qui attrape un énorme poisson et le fourre dans sa gueule. Il me regarde, l'air coupable, et je le rassure : "c'est pas grave tu sais, c'est triste pour le poisson mais t'as besoin de te nourrir, c'est comme ça...".
- Je ne sais plus trop où je suis, mais il y a des jumeaux qui viennent consulter un docteur. Je crois que c'est vaguement moi, le docteur, c'est un peu flou. En tout cas il examine les oreilles des jumeaux et ne note rien de particulier, puis il les ausculte et pousse un grand cri. "Vous n'avez pas de c?ur !". Il les ausculte encore pour vérifier et en effet, il n'entend aucun battement. Il s'ausculte lui-même pour être sûr que le problème ne vient pas du stéthoscope mais non, il entend bien ses propres battements. Il n'arrête pas de répéter "vous n'avez pas de c?ur...".
- Je suis avec G. et je ne sais plus comment, on se retrouve à se tenir chacun à l'extrémité d'un immense tube qui vole dans les airs. En regardant à l'intérieur du tube on peut voir le visage de l'autre qui se tient au bout. G. comment à chanter "Allison elle est mignonne, et elle mange des calzones...". Il me regarde dans les yeux avec un grand sourire. Je me sens désarmée au début mais je finis par rentrer dans le jeu. Il tient un donut à la main, il me le lance à travers le tube et je le mange avec plaisir (hinhin).
- Je discute avec mon frère pendant que G. écoute vaguement la discussion tout en mangeant des donuts. Mon frère me demande "tu serais capable d'assumer un autre mort ?". Il a le visage fermé. Je réponds "qu'est-ce que tu veux dire ?". Il ne dit rien. J'insiste, "arrête, mais pourquoi cette question ?". Il finit par m'expliquer qu'il a eu ma grand-mère au téléphone dans la matinée et qu'elle avait "des douleurs". Il a l'air persuadé de sa mort prochaine. G. intervient à ce moment-là pour demander "mais pourquoi vous parlez d'un autre mort ?". J'explique que le mois dernier, c'était mon arrière-grand-mère, et que deux enterrements en si peu de temps, je ne sais pas si je serais capable de tenir le coup.
- Je vais dormir, je pense encore à la discussion. J'essaie de me souvenir de la date de la mort de mon arrière-grand-mère. Je réalise que c'était le 16 octobre, et qu'on est le 16 novembre. D'un coup, je sens une pression sur tout mon corps, quelque chose cherche à m'étrangler. Je passe un long moment à me débattre, complètement paniquée, puis j'ouvre les yeux et vois un visage de jeune fille aux cheveux longs, qui flotte devant moi. Il est rouge et semble furieux. "On" essaie de m'étrangler, de plus belle. Je me réveille en sursaut.