Rêves.

[Poona]

J'ai rêvé que j'allais retirer 20 euros et puis quand j'ai pris mon billet, il y en avait un autre qui dépassait, puis encore un autre, comme les boites à mouchoirs.
Donc j'ai tiré, tiré, récupéré pleins de billets, bien une petite centaine jusqu'à remplir mon portefeuille. Et je suis partie.

Par contre quand je suis réellement allée retirer de l'argent le lendemain, ben ... :errf:

 

[Eloyce]

Je rencontrais un mec en vacances. On était dans une espèce de petit village du Sud, avec plein de petites maisons; il était dans celle en face de la mienne. C'était l'amour fou mais je ne savais rien de lui à part son prénom, et quand il a du rentrer chez lui on a pas eu le temps de s'échanger nos coordonnées.
Alors j'ai tapé son nom dans facebook (nom que j'ai retrouvé parce qu'il était sur la brochure du club de vacances O_o) et on a repris contact. J'étais énervée parce que ma famille ne croyait pas en notre histoire.
Je me souviens juste qu'il s'appelait Maximilien, j'ai aucune idée d'où je sors ça d'ailleurs. C'est dommage que je ne me souvienne pas du nom de famille, j'aurais probablement cherché effectivement sur facebook ce matin en me levant... Tout en m'imaginant retrouver le même visage que celui que j'ai rêvé aha (je divague... )

 

[Tromb0ne]

Je me regardais dans un miroir en levant les bras, et je voyais du poil qui poussait jusqu'à ma taille !
Et je comparais les deux bras et je disais : Ah, le gauche en a moins, c'est correct alors !

Traumatisant.

 

[Eloyce]

J'avais un frère jumeau et je lui parlais via facebook.

 

[Masha]

Mais pourquoi c'est quand on fait des rêves trop cool qu'on se réveille sans aucune raison ?!
J'ai rêvé qu'après être allée dans une animalerie étrange où il y avait des sortes d'hamster à tête de chien genre bouledogue, je retrouvais avec mon père et mon frère une voiture bleue dans laquelle nous attendait un mec, que je n'avais jamais vu.. Mon frère se met devant, je me baisse pour aller derrière et là... Je bloque 5seconde sur le mec, lui dit "saluuuut" PUTAIIIN il était magnifique. ensuite il conduisait et je le regardais dans le rétroviseur en serrant le siège de devant, rouge comme c'est pas permis.. et je me suis reveillée comme une connasse. Je VEUX trouver le même en vrai.

 

[AnonymousUser]

J'ai révé que j'étais dans une piscine et qu'il y avait une fille du nom de marlena qui se noyé et il y avait ma voisine qui me faisait des grand signe.Non enfait le plus bizarre c''est que dans mon rêve je me suis dis que j'irais le raconter sur mad parce qu'il était un peu bizarre.Sinon ca vous arrive de réver que vous lisez un livre mais vous arrivez à ne rien lire car comme vous dormez vos yeux sont fermés dons vous ne pouvez pas lire.C'est très bizarre comme sensation et c'est surtout très angoissant, j'ai l'impression que je suis la seule à faire ce genre de rêve.

 

[Mike]

Omagad, vos rêves sont si simples ...
Je ne rêve pas tout le temps, mais j'aimerai bien que quand je le fais, mes rêves soient plus simples, moins détaillés, et au final, moins fatigants....
Aller, je les raconte, pour les courageuses: cette nuit (et cette nuit seulement!), j'en ai fait 4.

1-Au ciné, avec mon père, le film se termine et on prend la sortie pour aller au parking souterrain. Bien sur, comme dans tous les multiplexes, c'est toujours un vrai labyrinthe. Je croise un mec qui bosse dans le ciné, qui me propose de le suivre dans le passage des employés ... Donc je le suis, intimant à mon père de rester dans le passage "normal", et d'attendre que je l'appelle pour lui dire que c'est bon. Donc je le suit, on monte des escaliers dont les marches sont de plus en plus étroites, et où le plafond ne s'élève pas, ce qui fait qu'au final on est obligés de ramper sur le sol (et sous le plafond, donc), pour atteindre....le vide. Le gus tire une espèce de règle en métal du mur, qui est en fait un escalier hyper branlant . Et super fin, juste en alu. Sauf que moi, le vide, et me casser la gueule, tomber en m'éclatant sur le sol comme une vieille merde en éclaboussant les alentours de mes viscères, de mon cerveau et autres litres d'hémoglobine, c'est pas trop mon kiff. Alors je lui dit que non, merci, on va prendre le chemin normal même si il est plus long, et merci au revoir, bisous bisous, rêve suivant.

2-J'étais au Pub, avec Vince, le patron, et Zoé, sa copine. Sauf que c'était dans une ville-village genre un peu paumée, et le pub était juste à côté d'un genre d'église ou de bâtiment historique. Zoé était triste, ou plutôt agitée, et Vince essayait de la consoler. Sur ce arrive ma mère, qui essaye de savoir ce qui se passe comme elle sait très bien le faire. La mère de Zoé est chez eux, elle est là parce qu'il s'est passé quelque chose de pas très heureux dans leur famille, mais Zoé doit travailler donc elle peut pas aller la voir. Vince lui propose de faire un câlin à ma mère parce que "les câlins de mamans c'est toujours réconfortant". Moi je sors, et je tombe sur les frères/soeurs/cousins/cousines de Vince, une bande de gamins, qui jouent. Ils s'amusent, et s'en vont tous, sauf deux. Là il se passe un truc quelconque, genre mini explosion ou chute, l'un des gamins n'a rien et s'en va, l'autre, le petit frère de Vince, a une plaie super profonde au crâne et la jambe comme scalpée. Sauf qu'il se relève l'air de "ouh un petit bobo" et me dit "tu viens on va voir dedans si y'a des pansements"... Moi évidemment, je panique, avec tout ce sang, j'attrape la "lamelle de jambe" et le prend par la main en lui disant de surtout pas regarder sa jambe et lui ne fait que me répéter "mais c'est pas grave, c'est pas grave..." Je me suis réveillée en panique.

3-A la fac, avec un pote du collège, on est en cours, je m'apprête à rendre un boulot qu'on avait à faire chez soi. Le truc est dégueulasse, super mal écrit avec plein de ratures etc. Là, petite surprise d'un DS. Okaaay, allons y, première chose à faire: prendre une feuille de brouillon genre petite carte déchirée et dessiner des conneries dessus. Le temps imparti s'écoule vachement vite, le prof ramasse les copies, je rend le truc crade à faire chez soi et rien pour le devoir. Je stresse. Mon pote me sort "non mais vas-y file lui ton brouillon, t'en as tellement envie..." Je regarde les copies qu'elle ramasse, et y'en a une, copie double perforée grands carreaux, pleins de dessins et sans aucun mot écrit dessus ... Nice!
On sort de cours et on se retrouve nez à nez avec un prof barbu... Qui se met un genre de mascara transparent sur la barbe. Il nous fait "alors, ça vous plait?" et moi je le sent "bah quoi, c'est censé être des phéromones, ou une merde du genre?" et on se fout de sa gueule.

4-J'étais dans ma coloc, dans un appart qui n'est pas le notre mais bref, et dans l'entrée qui servait de salon, le sol était jonché de trucs dégueulasses à l'une de mes colocs, genre des vieilles crèmes qui avaient coulé partout , des trucs vraiment gores, et sur le côté une grande table vachement belle et bien dressée avec une bonne 20aine de couverts. Donc je demande en quel honneur est-ce, et elle me dit "vu l'évènement qu'il y a ce week end au stade et qu'on invite tous des potes, vaut mieux que la table soit mise à l'avance" ...
Ensuite je me retrouve dans ma chambre, à jouer à un jeu vidéo bizarre où il est question de nourrir des gamins comme des singes dans un zoo, genre un peu à la Donkey Kong. J'entend mon autre coloc qui s'engueule avec son père, et là je me dis "putain ils vont réveiller la gamine..." sur ce, un beau mec entre dans ma chambre "Julia j'ai besoin de toi dans la cuisine". J'y vais, avec mon ordi, il me parle de viande qu'il a commencé à faire cuire, mais qu'en fait ça va prendre quelque chose comme 3h, et qu'il faut que je lui donne des conseils, et tu trouvesp as qu'ils font chier à gueuler comme ça, ils vont réveiller ma gamine et ma femme va faire la tronche après. Je regarde mon ordi qui a pris une forme izarre, parce qu'il était sur une surface chauffante, mais il marche encore. Le mec en question le retourne, gratte un peu la partie cramée du plastiques qui a commencé à se boursouffler, et à part sa forme bizarre, il est comme neuf et marche toujours.



Voilà. Enjoy

 

[AnonymousUser]

Cette nuit était fantastique. On voulait me tuer, bien sûr ! Donc il y avait des gars, genre des tueurs professionnels, pas vraiment humains ni sympathiques lors de l'exercice de leurs fonctions. Je me retrouvais avec le point rouge sur le corps, genre le type allait me tirer dessus. Alors je courais, j'usais et abusais de stratagèmes. Par contre je n'étais pas seule. J'étais entourée. D'amis. Il y avait un homme dehors qui prétendait être mon père. Je l'ai regardé mais je ne pouvais pas être sûre qu'il était réellement de mon côté - les apparences étant trompeuses. Alors j'ai refermé la porte et j'ai continué de courir. Il fallait échapper au prédateur, qui prenait multiples formes. C'était éreintant, mais je continuais, et je courais plus vite que lui (positif). Je passais par des portes, j'en fermais d'autres, je sautais à l'arrière, j'utilisais des astuces intéressantes, cela fonctionnait. Genre aussi je courais, j'avais le point rouge (laser) sur moi, alors je faisais genre que j'allais à gauche pour aller direct à droite, je tournais autour de poteaux, puis je faisais dix pas en arrière, sur le côté etc. \o/.
Ensuite j'étais à l'intérieur de mon frère (wtf ?), il me faisait réviser mon partiel, qui en réalité était l'exposé de ma recherche actuelle. Il comprenait rien, il ne voulait pas aller jusqu'au bout, alors que c'était vraiment important pour moi. Du coup j'ai fait mine de lui jeter du riz cuit au visage, et le prenant mal il a voulu me jeter de l'eau brûlante sur le visage. Catastrophée j'ai chopé une chaise, vénère de la vie, et je lui ai éclaté sur le visage. Ma mère était blasée, elle gueulait, elle se demandait ce qu'elle avait fait de ses enfants.
N'empêche c'est la première fois qu'un rêve me donne des indications sur mon exposé, je sais maintenant comment le faire, j'ai suivi avec un oeil extérieur le propre cheminement de ma pensée, et mes idées étaient loin d'être idiotes ! C'est comme si en le faisant dans mon rêve, je le faisais dans la réalité. Ma réflexion continuait, autonome. J'ai beaucoup appris.

 

[Bonnie]

L'amoureux et moi étions dans une salle de classe. Je ne sais d'ailleurs vraiment pas ce que nous faisions là mais à priori ça ne semblait pas nous poser de problème. On ce câlinait, au début tout à fait innocemment, debout devant le tableau noir. Et puis on en arrivait à beaucoup moins innocent. On ce déshabillait mutuellement en s'embrassant avec passion. Nous jetions les vêtements de l'un et de l'autre à travers la pièce.
L'amoureux ce retrouvait sur le bureau et moi en train de lui faire une fellation. Il me caressait les cheveux et me répétait qu'il m'aimait.
Quelqu'un arrive, une femme, la cinquantaine, vêtu dans un style assez décalé, d'un autre siècle je dirais.
Sur le coup je ne la voit, pas je fais dos à la porte. C'est l'Amoureux qui me le dit.
Je me retourne, mais ne suis pas gênée, lui non plus d'ailleurs. Nous sommes plutôt agacés.
La femme, elle, ne semble pas choquée juste également agacée.
Elle nous dit calmement mais fermement que si nous voulons apprendre "l'usage de la baguette magique" :rotate: il y a meilleur endroit qu'ici.
Mon copain lui répond que de toute façon on a pas trop le choix que d'être ici, que nous y sommes contraints. Que c'est tout les jours pareils et qu'on ne va pas attendre le soir pour avoir de droit de vivre et de nous aimer.
Il s'énerve et continue son discours, dont je ne me souviens pas parfaitement la suite. Je me souviens juste qu'il conclut en disant que si il y a bien un endroit comme elle le dit, il serait bien temps de nous le dire.
La femme ne répond rien, elle me regarde et semble attendre que je dise quelque chose.
Je lui demande juste ce qu'elle attend pour nous indiquer l'endroit ou nous devons aller vu qu'à priori ce n'est pas ici.
Elle nous sourit tendrement , et nous demande , d'une voix douce de nous lever.
Nous nous exécutons sans nous presser, et nous rhabillons tout en nous embrassant, comme si elle n'était pas là.
Une fois que nous sommes arrivés à sa hauteur elle ce retourne, sort de la pièce et avance dans le couloir. Nous la suivons en nous tenant la main. Elle recommence à nous parler, sans ce retourner. Elle nous dit qu'elle aurait du nous en parler avant, qu'elle aurait du ce rendre à l'évidence. Mais qu'il faut la comprendre, qu'elle doit toujours prendre son temps, être sûr. Qu'elle ne peut pas emmener trop de monde là bas, que ça perdrait tout son sens.
Je lui demande ou nous allons. Elle me répond qu'elle ne peut rien nous dire tant que nous ne seront pas un peu plus avancés sur le chemin.
Sans transition nous nous retrouvons dans un train.
Le train tout comme la femme semble tout droit sorti d'une autre époque. Du bois, du velours, des lampes à huile.
Mon copain lui demande pourquoi il n'a vu personne dans le train, et lui redemande ou nous allons.
Elle lui répond que nous sommes peu, mais qu'il n'y a pas que nous, et que ne serons très vite arrivés.
Le train s'arrête, nous nous retrouvons dans un parc. La femme nous sourit et nous souhaite la bienvenue à Poudlard .
Elle nous dit que l'école est déserte depuis bien longtemps, que nous y serons chez nous.
On ce retrouve au bord d'un lac , il y a une toute petite maison toute blanche. Elle nous fait entrer, et nous nous rendons compte qu'elle n'est pas si petite que ça. Il n'y a à priori qu'une pièce, mais très spacieuse et à l'allure confortable et très chaleureuse. Comme dans le train, bois, velours et lampe à huile.
Elle nous tend une baguette magique et nous dit qu'elle nous servira pour la nourriture. Que nous pouvons en avoir autant que nous le voulons.
Que nous ne croiserons jamais personne ici. Que nous ne sommes pas seuls, mais que les autres sont bien cachés aussi, qu'eux non plus ne veulent croiser personne. Que nous vivrons heureux ici et qu'elle s'excuse d'avoir tant tarder.
Mon copain la remercie, lui dit que le temps nous à sembler bien long et que l'attente nous aurait paru moins douloureuse si nous avions su que cet endroit existait et nous attendait.
Je pleure comme une madeleine et dit que je n'en pouvait plus. Je craque complètement et dit que j'étais à deux doigts de ne plus supporter, que ça avait été bien trop dur. Qu'il me fallait du temps pour réaliser que tout était terminer. Mon copain me prend dans ses bras et pleure aussi. Il me dit que lui n'en plus n'en pouvait plus, qu'il avait cru devenir dingue. Il m'apaisait me disait que du temps nous en aurions. Que tout était fini maintenant.
Je me suis réveiller, et ça c'est vache.

Moi qui adore chercher un sens à mes rêves je suis servie avec celui ci. Je crois bien que c'est la première fois que je me souviens d'un rêve avec autant de détail.
Je me souviens très souvent mes rêves. Des atmosphères, des endroits, des bouts de conversation, des émotions. Mais là c'est comme si il ne manquait aucun détail.
Je sais que j'ai eu ma période fan d'Harry Potter et d'ailleurs ça ne m'aie pas complètement passer. La petite maison, le lac, toute seule avec Lui. Tout ça ok. Un peu ma version de l'île déserte ^^ .
Mais alors le reste... Cette femme,le gros craquage à la fin , comme si on m'enlevait un énorme poids des épaules. La façon que j'avais de vouloir d'être sûr que "tout était fini maintenant" . Je serais bien curieuse de savoir ce que ça représente. C'était bien trop fort pour que ça ne veuille rien dire.

Je suis barrée :rotate:

 

[Ayden]

J'ai rêvé de Tavi (une jeune blogueuse). Je la rencontrais à un défilé (déjà, qu'est ce que JE fais à un défilé ? :eh2 et elle était habillée normalement, elle était très jolie. (ce reve doit être une réponse au temps passé sur le topic wtf? où tavi revient souvent)

 

[AnonymousUser]

Oh Mon Dieu !
J'ai fait un rêve atroce (enfin... inqualifiable). J'ai rêvé que je revoyais un pote (on l'appellera M)dont j'ai pas de nouvelles depuis longtemps, et auquel je trouve un certain charme. On se raconte nos vies, et comme ça, tout doucement, on se met à s'embrasser. Mais pas genre un truc de gamin. Genre ça devient passionné.
Bref, on s'embrasse, et chacun rentre chez soi. Je reçois un message de mon meilleur ami qui me dit "bonne pêche, c'est un chic type !". . J'envoie à M mes excuses pour cet épisode. Il me répond "tu n'as pas à t'excuser, c'était conscient pour chacun de nous". Et il renvoie ensuite "mais tu sais, je suis toujours homosexuel dans l'âme".
Et dans mon rêve... j'ai pleuré en lisant ça.

Et là, j'espère que mon amoureux ne passera pas sur le forum ! :errf:

 

[Dyspnée]

je sais pas de quoi j'ai rêvé l'autre nuit mais apparemment j'ai réveillé tout le monde en hurlant "NON NON NON!!!"