A
AnonymousUser
Guest
J'ai fait un rêve de dingue c'te nuit !
J'ai rêvé d'abord qu'on était jeudi soir, j'étais avec un jeune homme, dans un petit appart' avec des murs blancs, c'était un soir d'été donc il y avait encore de la lumière. Il faisait chaud, on a ouvert la porte fenêtre du salon pour aérer. Puis on va se coucher, le lit est un matelas à même le sol. Après, j'ai des petits flashs de "partie de Scrabble" (huhu) et je me réveille, catastrophée, pensant que j'ai mon train. Je m'habille en gardant sa chemise (mraou) et je descends avec mon petit sac (non, j'lui dit pas au revoir, rustre power inside !). Là, je croise mon vieil ennemi, qui me tape la causette sur une terrasse de café, et qui me suit parce que j'ai pas le temps de m'arrêter, et me colle une main aux fesses
J'arrive à l'arrêt de bus de ma ligne habituelle, quand je vois deux potes de collège, A et L, qui attendent aussi le bus (alors qu'ils ne sont pas du tout dans la même ville que moi) et qui me disent qu'on l'a loupé de peu selon le gardien du bus (wtf?!). On attend en discutant, en riant comme quand on était en troisième, mais le bus ne vient pas et je commence à stresser grave.
Et là, je vois L courir vers une vieille grange et un amas de feuilles, il enlève le tout et nous montre la vieille 2CV bizarroïde cachée. Il essaie de la démarrer, A enlève un truc et elle démarre. C'est une voiture avec une banquette de trois places, ils se mettent tous les deux en passagers, et là je leur dit que je peux pas conduire, j'ai pas le permis et il n'y a pas mon accompagnateur ! Ils me disent qu'on s'en fout, on se fera pas prendre et que de toute façon faut bien rentrer.
Je me mets au volant, cherche les pédales qui sont sous un tissu et très difficiles à activer, et nous sommes partis. La route est en pente et en zig-zag, on passe par des prés, on défonce une barrière, on se marre comme des bossus et je me sens trop bien, je fuck le train puisque j'ai c'te voiture qu'est de la bombe ! On dévale encore des pentes et des pentes à travers de grandes herbes, et on se retrouve chez moi (qui n'est absolument pas ma maison en vrai), enfin je veux dire, on défonce un carreau, ma mère m'engueule de l'heure tardive tout en me servant un apéro, et A et L se faufilent dans la maison à pas de loup, avant que je leur dise de venir et on boit l'apéro tous ensemble dans notre belle 2CV rouge.
Haha, j'aime mon inconscient !
J'ai rêvé d'abord qu'on était jeudi soir, j'étais avec un jeune homme, dans un petit appart' avec des murs blancs, c'était un soir d'été donc il y avait encore de la lumière. Il faisait chaud, on a ouvert la porte fenêtre du salon pour aérer. Puis on va se coucher, le lit est un matelas à même le sol. Après, j'ai des petits flashs de "partie de Scrabble" (huhu) et je me réveille, catastrophée, pensant que j'ai mon train. Je m'habille en gardant sa chemise (mraou) et je descends avec mon petit sac (non, j'lui dit pas au revoir, rustre power inside !). Là, je croise mon vieil ennemi, qui me tape la causette sur une terrasse de café, et qui me suit parce que j'ai pas le temps de m'arrêter, et me colle une main aux fesses
J'arrive à l'arrêt de bus de ma ligne habituelle, quand je vois deux potes de collège, A et L, qui attendent aussi le bus (alors qu'ils ne sont pas du tout dans la même ville que moi) et qui me disent qu'on l'a loupé de peu selon le gardien du bus (wtf?!). On attend en discutant, en riant comme quand on était en troisième, mais le bus ne vient pas et je commence à stresser grave.
Et là, je vois L courir vers une vieille grange et un amas de feuilles, il enlève le tout et nous montre la vieille 2CV bizarroïde cachée. Il essaie de la démarrer, A enlève un truc et elle démarre. C'est une voiture avec une banquette de trois places, ils se mettent tous les deux en passagers, et là je leur dit que je peux pas conduire, j'ai pas le permis et il n'y a pas mon accompagnateur ! Ils me disent qu'on s'en fout, on se fera pas prendre et que de toute façon faut bien rentrer.
Je me mets au volant, cherche les pédales qui sont sous un tissu et très difficiles à activer, et nous sommes partis. La route est en pente et en zig-zag, on passe par des prés, on défonce une barrière, on se marre comme des bossus et je me sens trop bien, je fuck le train puisque j'ai c'te voiture qu'est de la bombe ! On dévale encore des pentes et des pentes à travers de grandes herbes, et on se retrouve chez moi (qui n'est absolument pas ma maison en vrai), enfin je veux dire, on défonce un carreau, ma mère m'engueule de l'heure tardive tout en me servant un apéro, et A et L se faufilent dans la maison à pas de loup, avant que je leur dise de venir et on boit l'apéro tous ensemble dans notre belle 2CV rouge.
Haha, j'aime mon inconscient !