Ah les rêves !
Alors cette nuit, je me souviens de peu mais d'assez... J'étais avec mes Friends, la rue était ensoleillée, nous étions en plein centre-ville mais nous étions excentrés. Nous étions en train de jouer au basket. Il y avait lui #1, et lui #2, et une amie. Ils étaient beaux. Mon ami #1 avait une casquette bleue, il jouait au con, et je lui disais avec le plus grand sérieux "écoute-moi, non mais tu es beau comme ça, c'est vrai, ça te va bien, tu es beau-gosse". Oui, je voulais qu'il m'entende, j'étais en attente de quelque chose, d'une forme de retour. Ensuite, il ne faisait que répéter "je suis vil et hâle ! Je suis vil et hâle !" (entendre : "je suis viril et hâlé"), et il riait très fort, avec de grands cris. Et à ma pote je me mets à lui demander "et toi, tu es virile et hâle ?" (je voulais être sûre de conjuguer 'vil' [viril] au féminin) ; elle n'a pas répondu. Ensuite, ces deux idiots jetaient le ballon de basket sur "un noir" (en fait c'était le serveur du restaurant sri lankais), il le prenait dans la tête, le bruit était sec, ils continuaient de lui envoyer dessus pour que ça fasse du bruit, tac, tac, sec dans la tête. Je leur disais d'arrêter.
Plus tard, j'étais à l'amphithéâtre. Il y avait lui #2 mais il était différent. Il était avec une nana que je ne peux pas me blairer. Elle était bizarre, blonde, déformée, inconsciente, possédée. Il disait des choses comme "il faut chanter fais lui des bisous, embrasse-la", parce que c'était sa "dulcinée". Mais je restais interloquée. Elle avait soit disant une maladie grave, alors il fallait lui passer des choses, et je me disais que moi aussi j'avais une maladie grave et qu'il fallait me passer des choses, même si ma maladie grave n'était pas visible. Je suis partie.
Plus tôt j'étais dans ma baraque (en fait c'était ma bagnole), et j'étais garée sur un chantier. Ils me poussaient avec leurs engins pour me virer du lieu. Je les voyais malmener ma voiture, je ne comprenais pas, il n'y avait inscrit nul part que je ne devais pas me garer ici. Ils ont fini par dire "oui nous procédons ainsi", sans émotion. Plus loin j'ai vu un âne (l'animal) attaché, avec une barre de fer pas loin. Le gars ajoute "oui, nous avons une barre à mine", et je me suis dit qu'ils frappaient l'âne avec.
\o/.