@Margot Et Sa Bulle Je dirais que ça dépend de la relation que tu as avec le travail et de ce que tu en attends. Difficile comme question.
Pour ma part, ce n'est qu'un moyen de payer mes factures, aucun métier ne m'intéresse au point de me donner envie d'y aller plusieurs heures par jour, au moins 5 jours par semaine, toute ma vie (en tout cas, je n'ai pas encore trouvé !) mais vu qu'il faut gagner des sous ben voilà. Clairement, si je pouvais ne pas travailler, je ne travaillerais pas.
Si toi ça te rend malade rien que d'y penser, effectivement, ce n'est peut-être pas un bon plan de partir sur un métier qui ne te plait pas un minimum (en tout cas, pas sur du long terme). Après, te lancer dans un truc ne t'empêche pas de bifurquer vers un autre en cours de route. Tu peux bosser pour payer tes factures tout en continuant à chercher le boulot de tes rêves (ou en créant ton propre emploi si l'activité s'y prête).
Après faut voir si le projet est "réaliste". Si c'est de devenir astronaute alors que tu as déjà 60 ans, une mauvaise condition physique et que tu ne parles ni russe ni anglais, ça parait mal parti. On peut quand même trouver quelque chose d'approchant, dans le même domaine. Astronaute est compromis mais l'anglais et le russe s'apprennent, on peut travailler dans un centre spatiale par exemple ! (je caricature à 100%, je ne te connais absolument pas).
Je pense que si tu as la chance d'avoir envie de faire un métier en particulier et que c'est quelque chose de réaliste (en gros, s'il ne s'agit pas d'aller compter les pâquerettes en haut de l'Everest, encore que... ), ma foi, ça se tente. En gardant à l'esprit que le chemin peut être long, qu'il faudra peut-être parfois s'en écarter, qu'il faudra peut-être faire des concessions.
Bref, beaucoup de blabla pour dire "p'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non" !