@ShySimone :
Il est possible qu'il ne veuille pas trop aborder le sujet de l'organisation parce qu'il n'a pas envie d'y penser. Ou parce qu'il pense que ce n'est pas nécessaire de s'organiser en amont, ou parce que dans sa tête c'est déjà clair. J'ai eu ce souci moi aussi, je me prenais la tête sur "comment on va communiquer et s'organiser à distance" alors que M. Heran avait l'air de s'en ficher totalement. J'ai fini par lui dire que j'avais besoin d'un plan parce que c'est comme ça que je fais face à une situation stressante : je me projette, je fais des plans détaillés dans ma tête pour rationaliser mon problème. Et lui m'a répondu qu'il pensait pas qu'on avait besoin de parler de cette organisation, parce que c'était clair qu'on allait s'envoyer des messages tous les jours et skyper aussi souvent que possible.
Donc je dirais que tu peux lui demander comment il envisage ça, ou juste lui dire qu'est-ce que toi tu aimerais au minimum. (J'avais posé la condition d'au moins un message de bonjour et un de bonne nuit par exemple) Mais de toute façon c'est difficile de vraiment déterminer à l'avance comment ça va se passer, parce que ça dépend de plusieurs facteurs que tu ne pourras pas forcément évaluer maintenant. Je sais que c'est facile à dire, mais l'organisation viendra toute seule. Vous pouvez toujours définir des grandes lignes par contre, ça évitera des potentielles tensions au début parce que l'un trouve que c'est pas assez/trop... Bon courage en tout cas, et n'hésite pas à venir ici quand ça va pas. 
(Et quand ça va aussi, comme ça ça remonte le moral de tout le monde 
).
Sinon, pour celles qui se rappellent de mon collègue et de sa remarque sadique : il s'avère que c'était bel et bien une blague (nulle et mal formulée certes). En fait sa copine partait aux Etats Unis pour deux mois quelques jours après cette "blague" donc c'était une tentative de connivence un peu ratée.
Mais du coup on en a parlé un peu cette semaine, et ça fait tellement du bien d'avoir quelqu'un "dans la vraie vie" qui comprend à quel point c'est nul d'être à distance. 
Et on s'est même partagé nos astuces pour survivre à l'ennui. Bref, maintenant je l'aime bien.
Cette semaine j'étais en congrès, et dans mon milieu pro il faut souvent bouger et changer de pays pour évoluer dans sa carrière (ou même avoir du travail tout court
). Y'a donc eu beaucoup de discussions sur les conjoints, la vie de famille et ces déplacements etc, et c'était assez agréable d'avoir en face de soi des gens qui comprenaient que non, c'est pas "juste 6 mois, ça va hein, y'a pire" (prix de la remarque la plus pourrie de la terre 
), que c'est douloureux de partir loin de son partenaire, parce que la majeure partie de ces gens a justement déjà été confrontée à ce cas de figure. Et je crois que c'est la première fois que j'ai eu en face de moi des gens qui ne jugeaient pas de la valeur de ma relation en mode "vous êtes encore jeunes, blablabla, se manquer un peu ça fait pas de mal" (
) ou qui me disaient que je ne devrais pas prendre en compte M. Heran dans mes choix futurs (parce qu'on est jeunes justement, et que je ne devrais pas "me sacrifier" pour cette relation ) mais qui me comprenaient et qui essayaient de me donner des pistes à explorer pour qu'on aie pas à se retrouver séparés à nouveau. J'ai eu une bonne dose de vraie compassion, de compréhension et de conseils que je n'avais jamais eu IRL, c'était vraiment agréable. 
Et puis je le retrouve dans maximum 2 mois maintenant, alors mon moral est bien remonté là. Du coup je vous fais plein de câlins et je vous envoie des bonnes ondes pendant que j'en ai un peu en stock.
Il est possible qu'il ne veuille pas trop aborder le sujet de l'organisation parce qu'il n'a pas envie d'y penser. Ou parce qu'il pense que ce n'est pas nécessaire de s'organiser en amont, ou parce que dans sa tête c'est déjà clair. J'ai eu ce souci moi aussi, je me prenais la tête sur "comment on va communiquer et s'organiser à distance" alors que M. Heran avait l'air de s'en ficher totalement. J'ai fini par lui dire que j'avais besoin d'un plan parce que c'est comme ça que je fais face à une situation stressante : je me projette, je fais des plans détaillés dans ma tête pour rationaliser mon problème. Et lui m'a répondu qu'il pensait pas qu'on avait besoin de parler de cette organisation, parce que c'était clair qu'on allait s'envoyer des messages tous les jours et skyper aussi souvent que possible.
Donc je dirais que tu peux lui demander comment il envisage ça, ou juste lui dire qu'est-ce que toi tu aimerais au minimum. (J'avais posé la condition d'au moins un message de bonjour et un de bonne nuit par exemple) Mais de toute façon c'est difficile de vraiment déterminer à l'avance comment ça va se passer, parce que ça dépend de plusieurs facteurs que tu ne pourras pas forcément évaluer maintenant. Je sais que c'est facile à dire, mais l'organisation viendra toute seule. Vous pouvez toujours définir des grandes lignes par contre, ça évitera des potentielles tensions au début parce que l'un trouve que c'est pas assez/trop... Bon courage en tout cas, et n'hésite pas à venir ici quand ça va pas. (Et quand ça va aussi, comme ça ça remonte le moral de tout le monde ). Sinon, pour celles qui se rappellent de mon collègue et de sa remarque sadique : il s'avère que c'était bel et bien une blague (nulle et mal formulée certes
). En fait sa copine partait aux Etats Unis pour deux mois quelques jours après cette "blague" donc c'était une tentative de connivence un peu ratée. Mais du coup on en a parlé un peu cette semaine, et ça fait tellement du bien d'avoir quelqu'un "dans la vraie vie" qui comprend à quel point c'est nul d'être à distance. Et on s'est même partagé nos astuces pour survivre à l'ennui. Bref, maintenant je l'aime bien. Cette semaine j'étais en congrès, et dans mon milieu pro il faut souvent bouger et changer de pays pour évoluer dans sa carrière (ou même avoir du travail tout court
). Y'a donc eu beaucoup de discussions sur les conjoints, la vie de famille et ces déplacements etc, et c'était assez agréable d'avoir en face de soi des gens qui comprenaient que non, c'est pas "juste 6 mois, ça va hein, y'a pire" (prix de la remarque la plus pourrie de la terre ), que c'est douloureux de partir loin de son partenaire, parce que la majeure partie de ces gens a justement déjà été confrontée à ce cas de figure. Et je crois que c'est la première fois que j'ai eu en face de moi des gens qui ne jugeaient pas de la valeur de ma relation en mode "vous êtes encore jeunes, blablabla, se manquer un peu ça fait pas de mal" () ou qui me disaient que je ne devrais pas prendre en compte M. Heran dans mes choix futurs (parce qu'on est jeunes justement, et que je ne devrais pas "me sacrifier" pour cette relation ) mais qui me comprenaient et qui essayaient de me donner des pistes à explorer pour qu'on aie pas à se retrouver séparés à nouveau. J'ai eu une bonne dose de vraie compassion, de compréhension et de conseils que je n'avais jamais eu IRL, c'était vraiment agréable. Et puis je le retrouve dans maximum 2 mois maintenant, alors mon moral est bien remonté là. Du coup je vous fais plein de câlins et je vous envoie des bonnes ondes pendant que j'en ai un peu en stock.
! Donc ce looong post / pavé va être un peu décousu 
)
)
(ouai j'avoue je ne l'aimais pas trop 
Peut-être que tu as juste besoin de t'adapter à la situation? Le choc peut être assez difficile au début... Après je te conseille de ne jamais te forcer, ce n'est bon ni pour toi ni pour lui.. Tu peux en parler avec lui et voir si vous pouvez trouver une solution ensemble, si lui ressent la même chose... etc
En tous cas, bon courage et prends du temps pour toi pour relativiser et réfléchir à ce que tu veux vraiment 
) Dans tout les cas j'espère y aller vraiment quand même mais d'un côté aussi j'espère avoir trouvé un contrat avant.. ! 
je suis sûre que sa pourrait marcher un livre sous forme de conversations ! 
Donc surtout n'hésite pas à lui parler. 
! 
)
Alors que bon, je m'en sortais bien toute seule, lorsqu'on s'est pas vu pendant un mois et demi mais là savoir que nos retrouvailles s'approchent à grands pas, je suis trop impatiente au point de ne vouloir rien faire. 
