Thème d'écriture : Magique !

1 Janvier 2009
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twitter.com
Bonjour bonjour !

Vous avez deux choix pour cet atelier écriture :
- Vous devrez écrire une histoire à propos d'un magicien de rue, ou :
- Vous devrez écrire une chanson du Choipeau magique (:cretin:), avec les informations relatives aux maisons, des rimes et tout et tout.


On continue avec le nouveau fonctionnement de l'atelier écriture, et vous devez donc poster vos participations directement à la suite de ce message !

N'hésitez pas à commenter les textes publiés, et à faire des suggestions pour les prochains thèmes !
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6 Mai 2011
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Je me (re?)lance. Pfiou. Je suis la première. Pfiou. C'est gentillet. Un peu débile. Un peu ridicule. Mais on y va. J'ai pris l'option : - Vous devrez écrire une histoire à propos d'un magicien de rue.
J'ai écrit une histoire, en poème. Et non, il n'y a pas d'alexandrin... Juste des rimes.

C?était le matin et la pluie tombait.

C?était un matin, ça sentait le café.

On pouvait penser que Martin se baladait. Mais Martin cherchait.



Martin cherchait une maison. Pour réaliser sa prestidigitation.


Martin trouva un coin de rue. Et déposa son tapis sur le macadam nu.


Martin posa son escabeau. Et se hissa comme un matelot. Et il commença son show.


Il prit son parapluie, et il le fit.


Le parapluie vola, comme un choucas.


Le public resta inerte. Mais Martin n?en fit qu?à sa tête.


Il continua. Et se releva.


Il sortit son jeu de cartes. Et le transforma en marte.


C?était le meilleur magicien. Et il le savait bien.


Alors?
 

Evony

Je t'ai dans la peau mais pas sous les doigts.
18 Janvier 2010
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ANGLET
Je ne suis pas très convaincue, mais bon.


Il avait une drôle d’allure. Sa silhouette élancée, avec ses longs cheveux bruns, la blancheur éclatante de sa peau, et les traits fins de son visage. Il avait l’air d’un ange. Il n’avait rien plus d’enfantin du haut de ses vingt ans, comme si le début de sa vie, l’avait abimé.

Il voguait de villes en villes, c’était ça sa vie, c’était la liberté. Il avait besoin de peu pour vivre, juste de son talent. Il en avait du talent, pour certains c’était un don.

Il était magicien, et ce qu’il préférait. C’était le rire des enfants, quand il exécutait ses tours, leurs rires éclatés sur la place, et il était heureux de les entendre. Son enfance n’avait pas était gaie, alors, il avait décidé d’enjolivés celle des enfants qu’ils croisés.

Il en connaissait des tours de passe-passe, des dizaines, des centaines même. Dans divers styles et pour divers âges. Des tours qui effrayent, a ceux qui des qui émerveillent. Il fascinait les hommes autant que les femmes.

Il avait un peu, une vie de gitan, du haut de ses vingt ans. Mais, ce qui comptait pour lui c’était seulement le rire des enfants, qui résonnait sans cesse dans sa tête.
 
29 Juin 2011
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Trappes
Bonsoir, bonsoir !
J'aime vos styles. C'est léger, ça colle beaucoup au thème.
Bon, je me lance ? (C'est une première..)

16h13. Le prochain 409.
J'en avais assez d'attendre. D'attendre le bus, d'attendre la fin des oraux, le dernier DS, le dernier cours de maths d'une première année harassante, les vacances, puis la rentrée, une autre année scolaire, une seconde fin des cours, les concours.
Rien ne m'horripilait plus que de prendre conscience que ma vie n'était qu'une simple succession d'échéances, à commencer par ce putain de bus qui n'arrive pas.
Sur le trottoir d'en face, un type. Il a l'air jeune, et un peu louche avec son costume un peu trop grand pour lui. Un peu trop cheap, surement, aussi. Il accoste un passant. Il sort un truc de sa poche. Un jeu de cartes. Oh mon dieu. Divertissement pascalien, quand tu nous tiens. Encore des pseudos-artistes qui prétendent nous faire rêver. Quand ils ne se réclament pas mentalistes.
Et le voilà qu'il nous sort le grand tour de magie. Monsieur, prenez une carte, oui voilà, c'est ça. Maintenant regardez la bien, souvenez vous en. C'est ça. Maintenant, prenez le paquet, remettez la dedans, oui. Allez-y mélangez le. Donnez le moi. N'était-ce pas celle-ci*?
L'homme a l'air doucement surpris. Il n'était pas difficile de deviner la conclusion.
A présent, le type fait apparaître un bouquet de fleurs, ainsi qu'un tas d'autres petits accessoires. Il fait du feu en claquant des doigts. Fait disparaître des balles de ses mains. Pas comme si c'était du vu, et revu, et revisité, au moins. Tiens, mon bus.
Je compostai mon billet, puis avançai au fond du véhicule. Au dehors, le passant prend congé. Il a l'air enthousiaste, presque heureux. Il ne pensait probablement plus à son divorce, son boulot, à ses gosses, ou à ses emmerdes.

Il n'empêche que mon monde à moi aussi me sembla plus léger, rien que quelques minutes.
 
7 Juin 2011
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STRASBOURG
J'aime beaucoup vos textes!
C'est un peu (terriblement) HS, mais le thème du magicien me fait penser au film "Le Prestige". Je m'en vais le regarder tiens!
 
18 Septembre 2009
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Villenave d'Ornon
Bonjour ! Voici ma première contribution, très courte. J'ai particulièrement aimé le texte de Selachimorpha.

Des illusions de la rue.

C’était toujours la même rengaine, des refus à la chaine.
« La charité, m’sieur, dame ! ».

Rien n’y faisait, pour avoir l’aumône, gagner un peu de pain, il fallait être magicien.

Alors un jour, affublé de ses plus beaux atours, il commença à faire des tours.

Devant le public étonné, derrière son complice qui les délestait.

Des pièces, des objets, qu’ils n’auraient sans doute pas donné.

Finalement la magie, n’est qu’un outil de survie.

(si vous avez des conseils à me donner je suis preneuse ! A bientôt :))
 
13 Février 2009
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SAINT PALAIS DE NEGRIGNAC
Holà mis bellisimas!

Même si le Choixpeau valorise le "plus c'est long, plus c'est bon", je suis persuadée du contraire...


- Vous devrez écrire une chanson du Choixpeau magique, avec les informations relatives aux maisons, des rimes et tout et tout.




Il fut un moment où j'prévenais naguère
Révolu, ce fut le temps de la guerre
Il y a toujours des tensions,
La sure Serdaigle élève la perfection
La bienveillante Poufsouffle valorise l'équité
La vaillant Gryffondor glorifie la témérité
Le rusé Salazar prône toujours la rouerie
Mais rassemblées sont désormais aujourd'hui
Les quatre maisons de Poudlard comme des piliers.
Un avertissement cependant
Prenez garde à ne pas retomber dedans,
Cette période fut dure et horrible
Et par dessous tout prédictible
Bien que mon destin soit de vous séparer
Ne laissez surtout pas vous effleurer
L'idée que ce ne fut pas ainsi,
C'eut été pire qu'une médiocratie,
Si les fourbes avaient gagné.
Un groupe s'y était opposé:
Des quatre maisons issus, alliés et soudés,
Un Serpentard avait la tache de tromper
Aux Gryffondor de ne plus douter
A tous le devoir de montrer
La voie de l'espoir et du courage dévoués
Ceux de Serdaigle eurent la tache peu étonnante
D'offrir leurs connaissances impressionnantes
Et aux Poufsouffle de se consacrer
A se mobiliser du mieux qu'ils pouvaient
Il y eut de nombreux morts des deux cotés
Tant du bien que du mal, tous touchés,
La fin ne se termina pas proprement
Je vous confie la recherche de son aboutissement
De cette chanson c'est maintenant la conclusion,
Peut commencer dès lors la répartition




Nunnally et Neptuune (la suiiiite!), je suis amoureuse de vos textes! :jv: Horel, Selachimorpha, Super-flue et Melusino sont tout bonnement magiques! :chat:
 
11 Janvier 2011
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Londres
pushoconnor.wordpress.com
J'ai été eue avec deux mots :
Yana;2325509 a dit :
chanson du Choipeau magique (:cretin:), avec les informations relatives aux maisons, des rimes et tout et tout.

Ils étaient quatre au temps d'avant :
Deux fières dames, deux sires vaillants.
Quatre esprits brillants, visionnaires,
Qui d'une seule voix décidèrent
De rassembler et d'entraîner,
D'instruire et puis de cultiver
Les fils et filles de la magie
Afin d'en faire de vrais génies.

Avant de construire leur école
Ils partirent lui trouver un sol.
Rowena Serdaigle, la Sage,
Le voulait au d'ssus des nuages :
"Allons au sommet des montagnes,
C'est là qu'philosophie se gagne !"

Ses amis secouèrent le chef
De gauche à droite et derechef.

Salazar Serpentard, le Futé,
Voulait de l'onde profiter :
"Les reflets changeants d'un cours d'eau
Nous cacheront bien des badauds."

Ses amis secouèrent le chef
De gauche à droite et derechef.

Godric Gryffondor, le Courageux,
Voulait un bois comm' terrain d'jeux :
"Les créatures y sont féroces,
Nous éprouverons notre force !"

Ses amis secouèrent le chef
De gauche à droite et derechef.

Helga Poufsouffle, la Bonne,
La plus aimable des personnes
Ne voulait, pour êt'contentée
Que l'harmonie et l'amitié.
De son souvenir lui parvint
L'image d'un lointain terrain
Qui tous pourrait les satisfaire :
Des montagnes baignées de lumière
Un lac, immensité d'argent
Un bois de mystères débordant.

Ses amis opinèrent du chef
Et se mirent en route vers leur nef.
L'endroit tenait toutes ses promesses,
Ils y voyaient leur forteresse
L'une dans l'air, l'autre dans l'eau
L'un près d'la terre, l'autre bien au chaud.

Imaginez leur grande surprise
D'voir habitée leur terre promise.
Au centre de leur attention
Ronflait un gros et gras dragon
Dans une grotte aux parois luisantes
Entouré d'pièces étincelantes.
Gryffondor tira son épée
Dans l'idée de le confronter.
Serdaigle, elle, prônait la patience
Et l'exhorta à la prudence.

Elle concocta une stratégie
Pour combiner leur quatre magies.
Elle même coordonerait les troupes
Pour éviter les entourloupes.
Pendant qu'le brave et fort lion
Attaquerait la bête de front
Fidèle à lui-même pour ruser,
Serpentard la contournerait.
De loin Poufsouffle lanc'rait des sorts
Pour qu'il n'leur arrive aucun tort.

L'assaut fut lancé à midi
Et continua jusqu'à la nuit.
Tant l'animal était sauvage
Il fit dans la grotte un carnage
Si bien qu'avant qu'il fut occi
Chaos était leur paradis.

Quand enfin la bête fut à terre
Ils baignaient tous dans la poussière.

Serdaigle lâcha dans un soupir
Une phrase dont on peut se souv'nir
Contemplant le triste décors :
"On ne chatouille dragon qui dort"

Ses compagnons hochèrent la tête
Et retroussèrent leur baguette.

Des décombres, les Fondateurs
Firent la base de leur labeur
Ils érigèrent tours et donjon
Du château où nous nous trouvons.
D'la grotte où dormait le crotale
Ils firent cette magnifique salle
Les nouveaux y trouvent leur place,
Les aînés jamais ne s'en lassent.

Comme Serdaigle, les travailleurs
Se complaisent dans les hauteurs
Grâce à leur ingéniosité
Jamais sa porte ne reste fermée.

Comme Serpentard, les ambitieux
En public sont malicieux
Mais sous les reflets, les mirages
Entre eux montrent leur vrai visage

Comme Gryffondor, les sans peur
Ne craignent pas les premières lueurs
Apprêté dès le jour naissant,
Ils sont debouts, les combattants

Comme Poufsouffle, ceux qui ont du coeur
Se trouvent au centre du bonheur
Dans un cocon coquet et chaud
Près d'la Grande Salle, près des cuistots !

Maintenant pose-moi sur ton front,
Tu découvriras ta maison !


edit : quitte à faire long, j'y vais à fond avec le pourquoi du "Draco dormiens nunquam titillandus" ^^.
edit bis : tant qu'à faire, j'ai corrigé la faute sur le prénom de Poufsouffle aussi...
 
19 Août 2009
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Hop petite improvisation rapide !

Minuit, la pluie avait pris possession de la ville. Les pavés ruisselait, glissants sous le pas de quelques passants retardataires. Flotch flotch, de l'eau plein les bottes, elle avançait en évitant les gouttières trop pleines, longeant les murs suintant, sautant de porche en porche.
C'est là, qu'au détour d'une ruelle elle le vit, l'orgue de barbarie faisait résonner aux fonds de ses entrailles une vieille mélodie. L'homme caché sous une cape humide avait l'air d'un pantin désarticulé.
Les cartes volaient, les oiseaux filaient sous la pluie et revenait dans leur cage par quelques tours de passe-passe. Le magicien avait l'air d'être tout droit sortit d'un livre de contes, ses mains gantées maniait avec dextérité les pièces et gobelets.
Elle le regardait, fascinée par cet étrange personnage, elle essayait de percer le mystère de ces tours, de comprendre le cheminement des objets entre les mains habiles.
Puis elle se rendit compte qu'il n'y avait pas de public, personne pour l'acclamer ou l'applaudir, aucun rire ou étonnement. L'homme offrait son spectacle à une ruelle vide.
Elle passa son chemin en changeant de trottoir devant cet étrange magicien en ce demandant pourquoi était-il ici, à cette heure de la nuit. Arrivée au bout de la rue, la musique cessa, laissant place au chant rythmé des gouttes sur les pavés.
Elle regarda derrière elle, et le magicien n'était plus, laissant à sa place une flaque d'eau et le silence...
Elle resta quelques temps à observer le vide de la ruelle. Et en glissant sa main dans sa poche elle découvrit, surprise, la carte d'un joker sans visage...

Et sinon vous êtes toutes très fortes ! J'adore les textes qui ont été postés, et chapeau aux Madz qui ont osées se lancer sur la chanson :worthy:
 
3 Juillet 2011
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Dijon
Soyez indulgentes les Madz, j'ai pondu ça en moins d'un quart d'heure :Pom:.


« Tu veux un bonbon à la menthe ? » Sa petite voix d?adolescente frivole était si douce. Il l?aurait prit sa confiserie même s?il en était allergique tant l?océan qui logeait dans ses yeux l?ensorcelait. Ses petites lèvres devenues bleu par ce temps d?hiver tremblaient légèrement, et il voulait tant les aider à retrouver leur couleur originale. Mais il n?allait pas le faire. « C?est mal et tu le sais. » Mais pourquoi ? Où est le péché de ressentir cette boule de feu au fond de notre c?ur lorsque l?on est en présence de l?être aimé ? Les flocons de neige lui tombaient sur le visage, ce visage si angélique et magique. Comme le moment qu?il partageait là, dans le silence. Son poncho ne lui tenait guère chaud, il l?entoura alors de son manteau, frictionnant ses petits bras. « Tu sais, Jérémy et moi, c?est tendu en ce moment. » Il l?interrogea du regard, sans pouvoir s?empêcher de sourire face à son regard de biche. Jérémy n'était qu'un con soyons bref. Mais il était l'un de ses meilleurs amis. De la buée se formait sur les parois de l?arrêt de bus, ce dernier n?allait plus tarder à passer. Elle lui prit la main, la serra tellement fort qu?elle aurait pu sentir le c?ur de son partenaire battre inexorablement fort. Et tout simplement, comme si ce fut le geste le plus naturel au Monde, elle déposa sa bouche contre la sienne. Un feu d?artifice. Une explosion de sensations intenses. Serrant les yeux, ils profitèrent de cet instant éphémère et précieux avant que leur transport arrive et qu?elle s?en aille d?un coup de vent. Il n?eut pas le temps de reprendre son blouson mais, il s?en fichait éperdument. Il avait tellement chaud à l?intérieur. Malgré son départ, le seul mot qui lui venait à l?esprit fut :
Magique.
 
7 Avril 2011
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Montigny-Lès-Metz
Coucou !

C'est ma première participation au défi d'écriture, je viens de pondre ça d'un trait, alors soyez indulgentes. Enjoy !:)


Une fois de plus, il déplie sa table, un pâle meuble acheté 10€ dans une brocante, qui fait « clac ! » en se mettant en place. Il vérifie tous ses mouchoirs, les rouges, les bleus qui disparaissent, les verts qu’on sort de la manche… Tout est là, tout est prêt. Un petit tour du côté du jeu de cartes. As de pique, deux de trèfle, dame de carreau… Il ne manque rien.
D’un geste un peu malhabile, il dépose devant la table son chapeau. Un vieux feutre usé qui était anthracite à l’origine, avant d’acquérir cette étrange teinte indescriptible entre le marron et le gris ardoise. Aujourd’hui encore, il espère le remplir.
Avant toute chose, battre les cartes, scotcher le sourire de circonstance. Il est fatigué aujourd’hui, les coins de sa bouche sont un peu plus crispés que d’habitude. Ses longues mains fines s’agitent. Il fera bientôt apprécier leur douceur à quelques enfants en faisant apparaître fleurs, bonbons, pièces d’un euro derrière l’oreille ou sous la natte. Les gestes sont habiles, précis et sans même qu’il parle, le spectacle a déjà commencé. Deux petits garçons le regardent déjà avec leurs grands yeux noirs et leur mère le surveille d’un coin de l’œil.
« Mesdames et messieurs, pour vous spécialement aujourd’hui… » Ca y est, c’est reparti. L’opération séduction est lancée, et c’est satisfaite que je peux retourner à mon travail. Je connais le spectacle de ce grand homme fin et distingué par cœur, je le vois tous les jours depuis ma fenêtre. Au fond, cette douce tête grise m’émeut toujours un peu. Mais ce qui me plaît vraiment, c’est de la voir se préparer.


Voilà :shifty:
 

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