@Lytchie
C'est bien si elle a un but :-) . Si ça lui permet de garder la motivation et d'acquérir des compétences/connaissances. Qu'elle aille au bout au non. Puis il faut lui dire que même si elle change d'objectif les compétences acquises pourront peut-être lui servir ailleurs. Je pense à mettre mon anglais au service d'un autre milieu que l'EN. Même s'il faudra sûrement me reformer. Je suis plus agée qu'elle mais j'ai quand-même encore la possibilité de changer de voie. Elle devrait le prendre plus sereinement. Je sais c'est plus facile à dire qu'à faire. Je me sens plus libre de changer de voie qu'à 19 ans parce que on nous met des barrières dans la tête. Après ne avoir l'approbation parentale ce n'est pas drôle. Courage à elle. Au collège je pense que mon seul but c'était d'avoir des bons résultats ou au moins corrects. Je m'angoissais pas avec mon orientation. Pas à ce point. Au collège il y avait même pas de choix à faire. De type filière scientifique ou littéraire , générale ou pas... Il y avait pas de prise de décision donc je pense que je me prenais pas la tête. Mais j'ai peut-être pas subi la même pression. Après j'ai été prof en lycée je sais qu'en seconde certains étaient angoissé. J'en avais parlé à des secondes en parlant à un conseil de classe. Et oui sentir leur inquiétude m'a marqué.
C'est bien si elle a un but :-) . Si ça lui permet de garder la motivation et d'acquérir des compétences/connaissances. Qu'elle aille au bout au non. Puis il faut lui dire que même si elle change d'objectif les compétences acquises pourront peut-être lui servir ailleurs. Je pense à mettre mon anglais au service d'un autre milieu que l'EN. Même s'il faudra sûrement me reformer. Je suis plus agée qu'elle mais j'ai quand-même encore la possibilité de changer de voie. Elle devrait le prendre plus sereinement. Je sais c'est plus facile à dire qu'à faire. Je me sens plus libre de changer de voie qu'à 19 ans parce que on nous met des barrières dans la tête. Après ne avoir l'approbation parentale ce n'est pas drôle. Courage à elle. Au collège je pense que mon seul but c'était d'avoir des bons résultats ou au moins corrects. Je m'angoissais pas avec mon orientation. Pas à ce point. Au collège il y avait même pas de choix à faire. De type filière scientifique ou littéraire , générale ou pas... Il y avait pas de prise de décision donc je pense que je me prenais pas la tête. Mais j'ai peut-être pas subi la même pression. Après j'ai été prof en lycée je sais qu'en seconde certains étaient angoissé. J'en avais parlé à des secondes en parlant à un conseil de classe. Et oui sentir leur inquiétude m'a marqué.
Limite tu peux obtenir un prix Nobel, ça ne déclenchera jamais la même hystérie que quand tu annonces une grossesse.
